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Carte Blanche de Raphaël de la Croix RCF - page 6

Émission présentée par RAPHAEL DE LA CROIX

Chaque semaine, une personnalité du Maine et Loire nous partage son regard sur l'économie, l'actualité locale, la société, la culture...

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Episodes

  • © RCF Anjou
    5 novembre 2020

    Mettre le pays par terre à cause d'un virus, est-ce bien responsable ?

    3 min
    Les millairds d'euros déversés dans une économie sans que cela la sauve pour autant sont autant de millairds dont l'hôpital ne verra pas la couleur....
  • © RCF Anjou
    29 octobre 2020

    Islamisme avons-nous autre chose à proposer que des caricatures

    3 min
    Et le terrorisme islamiste encore une fois vient d'endeuiller la France avec sauvagerie
  • © RCF Anjou
    22 octobre 2020

    Attentats islmaistes, ces questions qui demeurent

    3 min
    Une victime de plus vient inscrire son nom sur la très longue liste des morts par attentat commis au nom d’Allah en France. Ils sont plus de 260, en 5 ans à peine, à avoir payé de leur sang la fureur islamique. L’indignation ne suffit plus. Les grands discours non plus. Il est temps à présent, pour éviter de nouveaux égorgements, de répondre à un certain nombre de questions. Pourquoi faut-il attendre qu’un attentat ait lieu pour que systématiquement le ministère de l’intérieur nous annonce le renvoi d’islamistes radicaux dans leur pays d’origine ? Pourquoi attend-on l’horreur à chaque fois pour agir ? Abjecte tactique politicienne… Pourquoi les mosquées salafistes ne sont-elles toujours pas fermées ? Pourquoi Abdouallakh Anzorov, l’auteur du crime, s’est-il fait débouter de sa demande d’asile en Pologne mais a été accueilli en France ? Peut-on laisser entrer sur le sol Français des personnes dont on connaît le profil d’islamiste radical ? Ne faut-il pas, enfin, affiner notre politique d’accueil pour s’assurer que les étrangers qui arrivent en France ne soient pas susceptibles de lui faire la guerre ? C’est une petite précaution qu’on serait bien avisés de prendre. Ces attentats sont toujours perpétrés pour des raisons religieuses. Comment comprendre la place de l’Islam dans tout ça ? C’est bien la question que personne n’ose poser par peur de stigmatiser les musulmans qui ne se reconnaissent pas dans ces atrocités. Mais si des musulmans se sont montrés écœurés par ce qui s’est passé, comme l’imam de Drancy par exemple, il est temps que les autorités islamiques proposent une clarification de leur doctrine, sur l’islam politique, sur l’islam conquérant et qu’ils proposent une unité d’interprétation du Coran, de la charia, dont se revendique à chaque fois les terroristes. Aucun attentat terroriste n’a jamais été revendiqué par un catholique radical, un protestant radical, un orthodoxe radical, un bouddhiste radical ou je ne sais quoi d’autres. Il y a dans l’Islam des clarifications à apporter afin que personne ne puisse se revendiquer du Coran pour assassiner quelqu’un. « Nous devons reconnaître que le Coran contient des phrases qui justifient, si on les prend à la lettre, des actes pareils » souligne Monseigneur Ginoux évêque de Montauban. La question théologique doit être soulevée et débattue. A l’inverse, jeter le discrédit sur LES religions en général sous prétexte que l’assassin a commis son crime au nom de Dieu relève de la mauvaise foi et de la paresse intellectuelle. C’est au contraire parce que l’occident s’est petit à petit défait de son lien avec la chrétienté qu’il a laissé la voie libre au refus de Dieu d’un côté et aux religions venues d’ailleurs de l’autre, telle que l’Islam qui doit encore convaincre sur sa compatibilité avec la culture occidentale.
  • © RCF Anjou
    15 octobre 2020

    Covid : oui à la vie mais pas sous cellophane !

    3 min
    Le président de la République a annoncé hier, vous le savez, de nouvelles mesures restrictives pour faire face au Covid. Tout cela ne va-t-il pas trop loin ?
  • © RCF Anjou
    8 octobre 2020

    Le bon sens paysan

    3 min
    Vous nous invitez aujourd’hui Raphaël à retrouver le bon sens paysan. Pourquoi ? Tout simplement David parce qu’en observant ce qui se passe autour de nous, on a l’impression que l’on marche sur la tête. Et que nous gagnerions beaucoup à retrouver ce qu’on appelle, sans doute avec un peu de mépris, le bon sens paysan. Celui qui vous rappelle que la terre ne ment pas. Celui qui vous remet en face du monde réel. Or que voit-on autour de nous ? J’entends ici la fameuse élue de Paris, Alice Coffin, auteur de l’ouvrage le génie Lesbien nous expliquer qu’il faut éliminer les hommes, ne pas écouter de la musique composée par des hommes, ne pas regarder les films réalisés par les hommes. Elle est écolo, mais devrait peut-être faire un petit tour dans la nature, dans cette nature qu’on croyait que les écolos aimaient défendre. Ça l’aiderait peut-être à comprendre un principe aussi naturel que la complémentarité homme femme, l’équilibre mâle femelle... Cette haine des hommes vous en conviendrez est tout bonnement délirante et stupide. Ce qui m’étonne, c’est qu’il y a des gens qui ont voté pour elle, et des gens qui achètent ses bouquins. Je vois aussi à la télé que le piètre Yann Barthès l’animateur de Quotidien l’émission militante de propagande, est très fier de donner le micro à ce petit garçon de 8 ans habillé en fille expliquer avec aplomb qu’il avait des idées suicidaires, qu’il se sentait mal dans son corps et qu’un soir il dit à maman, je suis une fille. Et la mère de témoigner de son soulagement : son enfant a enfin trouvé son identité. Je vois le groupe parlementaire Ecologie, démocratie solidarités porter un projet de loi pour allonger le délai légal de l’IVG de 12 à 14 semaines, supprimer la clause de conscience pour les praticiens. Mais oui, on est passé de 220 000 avortements par an à 232 000 en 2019, ce n’est pas assez pour eux. Il faut avorter plus. Que se passe-t-il entre 12 et 14 semaines pour que l’embryon qui n’était pas avortable hier le devienne aujourd’hui, mystère. Il faudrait qu’on pose la question à Matthieu Orphelin, le sémillant député du Maine et Loire qui appartient à ce groupe parlementaire apparemment avide d’arracher quelques dizaines de milliers d’enfants supplémentaires au ventre de leur mère. Curieuse motivation politique. Je me dis qu’on vit donc une époque bizarre. C’est si compliqué de comprendre qu’un homme et une femme sont complémentaires, biologiquement, psychologiquement, que l’on naît sexué avec une détermination biologique et que ce n’est pas un choix, que l’enfant dans le sein de sa mère n’est pas à la disposition d’un parlementaire qui voudrait s’en débarrasser ? Tout cela est en fait si simple. Ce sont là des écologistes urbains qui ont perdu le bon sens paysan. Ce bon sens qu’il serait bon que l’on retrouvât.
  • © RCF Anjou
    1 octobre 2020

    Tribune de 250 médecins et chercheurs contre le catastrophisme sanitaire

    3 min
    Dans cette chronique nous laissons la parole en quelque sorte à la tribune signée par 250 médecins, chercheurs, universitaires qui dénonce la dérive catastrophiste du gouvernement. Tribune qui devait être publiée dans le Journal du Dimanche, le 27 septembre dernier et qui a été refusée au dernier moment. Parmi les signataires on retrouve le professeur Toussaint, Pérone, le chercheur Laurent Toubiana et de nomreux autres.
  • © RCF Anjou
    24 septembre 2020

    Le catho est-il un écolo comme les autres ?

    3 min
    Le lien entre catholique et écologie est-il évident ? Il l’est et depuis toujours. Dès le livre de la genèse. Le récit montre que la nature est non seulement soumise à l’homme, mais qu’elle avant tout œuvre de Dieu. L’homme a donc une grosse responsabilité vis-à-vis d’elle : on ne fait pas n’importe quoi avec l’œuvre de Dieu. Le chrétien contemple dans la nature tout l’amour que Dieu y a mis, mais aussi toute son intelligence, son omniscience, son génie. Les catholiques sont donc en phase avec la grande prise de conscience écologique actuelle ? J’ai envie de vous dire oui même si on ne peut pas à proprement parler d’une prise de conscience parce que ça fait bien longtemps que les catholiques se sont emparés du sujet. Le pape François n’est pas le premier pape à aborder les questions écologiques. Il s’inscrit dans une longue tradition magistérielle. Mais sur bien des aspects, les catholiques ne sont pas en phase voire en opposition avec le courant écologique telle qu’on l’entend souvent aujourd’hui. En opposition ? Oui. Parce que l’écologie n’est pas une conception univoque qui consisterait à être végétarien, promouvoir les éoliennes et faire du vélo. La conception catholique de l’écologie c’est comprendre pour reprendre l’expression du Pape François dans Laudato si que tout est lié. Or aujourd’hui, beaucoup défendent une écologie totalement incohérente et contradictoire. Ce sont souvent les mêmes qui défendent la protection de l’orang outang tout en militant pour la PMA, GPA, l’euthanasie ou autre allégement de l’accès à l’IVG. On prétend défendre les arbres en s’attaquant à la tradition de Noël, on se bat contre les gaz à effet de serre, et on nie la différentiation des sexes. Quand le pape nous dite que tout est lié, i englobe l’économie, la dignité des personnes, la culture, les sciences mais aussi la vie morale et spirituelle. Tout cela est cohérent. Isaïe souligne ce lien entre vie spirituelle et la planète « Voici que Yahvé dévaste la terre et la ravage, il en bouleverse la face et en disperse les habitants. [...] car ils ont transgressé les lois, violé le décret, rompu l'alliance éternelle ». C’est au chapitre 24. Ainsi, puisque tout est lié, il ne peut y avoir de conversion écologique sans conversion spirituelle. La réconciliation avec Dieu comme chemin de conversion écologique, voilà une autre conception de l’écologie qui mériterait d’avoir sa place dans le débat.
  • © RCF Anjou
    17 septembre 2020

    Quand la peine de mort reprend du poil de la bête

    3 min
    Si pour la première fois la majorité des français se prononce en faveur de la peine de mort, c'est sans doute que les forces de l'ordre et la justice n'arrivent pas à faire leur travail correctement.
  • © RCF Anjou
    10 septembre 2020

    La détresse psychosiciale ou la libéralisation de l'infanticide

    3 min
    Pendant qu’on se remettait d’une journée passée à se dorer la pilule sous le soleil de l’été, certains parlementaires eux étaient au boulot. Alors que la France oscille entre Covid et vacances bien méritées, l’assemblée profite de ce répit pour adopter en douce en deuxième lecture le projet de loi de bioéthique. La méthode est vieille comme le monde, elle n’en n’est pas moins scandaleuse. Outre l’ouverture de la PMA pour toute sur laquelle je me suis maintes fois exprimé sur cette antenne, l’interruption médicale de grossesse, l’IMG, se voit désormais autorisée dans des circonstances nouvelles, celles de la détresse psychosociale. Autrement dit, avant, vous pouviez avorter jusqu’au 9 mois de la grossesse à condition que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic ou que la poursuite de la grossesse mette en péril grave la santé de la femme enceinte. On était déjà en face d’un flou sémantique autour de l’affection grave et incurable. Et là on rajoute la détresse psychosociale. Autrement dit, la mort de l’enfant est devenue légale si la mère est en détresse psychosociale. Bonne chance pour les juges quand ils devront se prononcer sur l’évaluation de ladite détresse. Accodrons à la députée Marie-Noëlle Battistel l'intention d'entendre la détresse des femmes enceintes comme celles en situation de violences conjugales par exemple. Et il ne faut jamais oublier effectivement les souffrances de ces femmes en détresse. Mais cette douleur ne peut pas, ne peut jamais, ne pourra jamais justifier que l’on tue un enfant de 9 mois parce que sa mère souffre. Qu’est-ce que c’est cette façon de faire. On répond au drame par un assassinat ? Vous avez déjà vu à quoi ressemble un enfant à 9 mois de grossesse ? Moi j’ai plusieurs enfants nés à 8 mois. Je peux vous dire que qu’à cet âge-là vous ne vous posez pas la question de la potentialité de la vie ou du statut de l’embryon. Il faut appeler les choses par leur nom. Enlever la vie à un enfant quelles qu’en soient les raisons, c’est un infanticide. C’est la détresse des femmes qui a motivé l’amendement ? Très bien. Que faisons-nous pour aider ces femmes ? Plutôt que de s’acharner sur l’enfant à naître, qu’attendons-nous pour aider ces femmes, qui oui, sont, en détresse. C’est à ça que les députés devraient s’atteler. A ces maisons d’accueil de femmes, qui sont bien souvent soutenues ou crées par des associations pro-vie. C’est très grave ce qui se passe ici. Quand les représentants du peuple votent une libéralisation de l’infanticide, c’est qu’on vit des heures très graves. Nous ne pouvons plus feindre l’ignorance. Alors mobilisons-nous pour que le Sénat ait le courage d’être le dernier rempart face à cette folie.
  • © RCF Anjou
    25 juin 2020

    Convention climat : convention pipeau ?

    3 min
    La méthode de la consultation citoynne est attirante, elle a ses limites. Vraie avancée démocratique ou démagogie ?
  • © RCF Anjou
    18 juin 2020

    Apprendre l'histoire plutôt que la juger

    3 min
    Les déboulonneurs de l'histoire marchent dans les pas des dictatures. Il faut assumer son histoire, ce qui ne veut pas dire la cautionner, pour qu'elle nous enseigne entre autres des erreurs du passé à ne plus commettre.
  • © RCF Anjou
    11 juin 2020

    Castaner : le jeu dangereux de l'émotion pourrait lui coûter son poste

    3 min
    L'affaire George Floyd a plongé le pays dans l'émotion. Mais l’émotion rime rarement avec raison.
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    4 juin 2020

    La dangereuse dérive dictatoriale de l'UNESCO sur les fake news

    3 min
    Raphaël de la Croix s’intéresse aujourd’hui à ce message diffusé sur les ondes par l’UNESCO pour traquer les fausses informations.
  • © RCF Anjou
    28 mai 2020

    Relancer l'économie par la consommation : vraiment ?

    3 min
    La crise économique guette notre pays. Pour y faire face de nombreux responsables aspirent à une relance de la consommation. Est-ce la voie que nous devons prendre ?

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