Chaque jour de la semaine à 12h, Anaïs Sorce reçoit celles et ceux qui font bouger la région lyonnaise, le Roannais et le Nord-Isère, en rendant notre quotidien meilleur.
Depuis 2021, les patients souffrant de maladies graves peuvent bénéficier de l'expérimentation de l'usage médical du cannabis, dans un cadre contrôlé et limité. Une expérimentation censée durer deux ans mais prolongée à deux reprises. À défaut d'une généralisation, le ministre de la Santé, Yannick Neuder, a annoncé une nouvelle prolongation de l’expérimentation pour six mois.
Une « bulle d'air » pour des patients qui redoutent de devoir stopper leur seul traitement efficace, comme l'explique le Dr Françoise Durand-Dubief, neurologue à l'Hôpital Pierre Wertheimer de Bron et membre du comité de suivi de l’expérimentation cannabis thérapeutique à l’ANMS.
À partir des lettres écrites par Georges Nossent, un prisonnier de guerre entre 1940 et 1945, cette pièce de théâtre nous emmène au cœur des émotions et des épreuves d’un homme séparé des siens par les tumultes de l’Histoire. Entre résilience, amour familial et quête de dignité, ce témoignage vibrant résonne avec force aujourd’hui.
Rencontre avec Gilles Champion, auteur et metteur en scène de la pièce.
« Moi, Georges Nossent, prisonnier de guerre 1940 - 1945 », du 14 au 19 janvier au Temple de la rue Lanterne à Lyon.
La nouvelle campagne de recensement de la population l'INSEE se lance jeudi 16 janvier 2025 sur l'ensemble du territoire français, pour maximum 5 semaines. Objectif : obtenir une cartographie représentative de la population. Obligatoire, le recensement peut avoir lieu tous les ans dans certaines zones.
Stéphan Challier, chef du service Etudes et Diffusion à l'INSEE Auvergne Rhône-Alpes et Patrick Dayan, chef du service statistique à l'INSEE Auvergne Rhône-Alpes, expliquent à Anaïs Sorce l'intérêt du recensement et reviennent sur les grandes tendances démographiques de la Métropole de Lyon.
Que signifie être humain à l’heure des neurosciences et de l’intelligence artificielle ? Le projet de recherche-action international NHNAI vise à faire émerger, faciliter et soutenir une réflexion sociétale sur l’humanisme à l’heure des neurosciences et de l’IA dans différents pays du monde. Objectif : apporter une boussole éthique afin d’encadrer les actions humaines en conduisant une réflexion au moyen du débat sociétal.
L'heure est aux résultats pour Mathieu Guillermin, docteur en physique et en philosophie, coordinateur du réseau NHNAI.
Après Passion Japon, Tempora présente sa nouvelle exposition à La Sucrière : POMPEII. Cité immortelle. L'éruption du volcan qui détruit la ville romaine de Pompeii en l'an 79 est une catastrophe pour ses habitants. Elle nous permet pourtant d’être les témoins de la vie de ces femmes et ces hommes près de 2 000 ans plus tard.
Florence Boyer, responsable d’exploitation chez Tempora, présente l'exposition à Anaïs Sorce.
Grand classique de la gastronomie française, au point d’avoir son propre championnat du monde depuis 2009, le pâté-croûte s’offre une nouvelle adresse au cœur de la Presqu’île de Lyon : BRU, une charcuterie pâté-croûtière exclusivement dédiée à la lyonnaiserie.
Au poisson, thaï ou encore veggie, le pâté-croûte se réinvente sous la main de Bruno Poncet.
Le Centre Hospitalier du Vinatier et la Maison de Danse lancent en janvier les ateliers de leur quatrième programme « Danse et santé mentale ». Conduits par la chorégraphe Anne Martin accompagnée de la musicienne altiste Camille Bonamy, des patients souffrant de troubles psychiatriques chroniques et leurs soignants vont créer une pièce présentée en mai au studio de la Maison de la danse.
Un projet qui remet la création et la culture au cœur des lieux de soins et interroge ce qui fait soin dans la psychiatrie, comme l'expliquent Emmanuel Monneron, psychiatre au Centre Hospitalier du Vinatier et le chorégraphe Louis Combeaud, qui a mené le précédent projet « Partitions d’Instinct » avec le Vinatier.
Il se consomme presque une galette chaque seconde en France, en janvier. Après les boulangeries, les pâtisseries et les grandes surfaces, les restaurants se mettent à vendre des galettes des rois pour l'Épiphanie. Pour se différencier, les boulangers rivalisent d'ingéniosité. Chaque année, la boulangerie paysanne Le Pain du Gone à Limas (69) sort une nouveauté. Cette année, place à la brioche aux fruits confits.
Dans un contexte inflationniste, comment se renouveler dans la tradition ? Rencontre avec Quentin Sany, fondateur du Pain du Gone.
À Fleurieux-sur-l'Arbresle, l'atelier Cassegrain perpétue avec passion l’art de la fabrication des santons, ces petites figurines qui enchantent nos crèches depuis des siècles. Entre gestes traditionnels manuels, innovations créatives et défis d’un métier d’art en 2024, cet atelier emblématique de Rhône-Alpes mêle héritage et modernité. Quels secrets se cachent derrière ces personnages miniatures ?
Découvrez l’histoire, le savoir-faire et les nouveautés d’une maison qui fait rayonner la magie de Noël avec Claire Franot-Souche, à la tête de la maison familiale.
En 2022 en France, 244 301 victimes de violences conjugales ont été enregistrées par les forces de sécurité : plus de 8 victimes sur 10 sont des femmes. 450 000 femmes seraient victimes de violences « hors ménage ».
Pour les accompagner, la Maison des Femmes a été co-créée par les Hospices Civils de Lyon et le Collectif associatif Maison des Femmes 69. La psychiatre Liliane Daligand, élue présidente du collectif associatif de la Maison des Femmes, présente cette union unique entre le monde associatif et le service public.
Fondée dans l'Ain, l'association Les Enfants de Bohème se lance dans la Métropole de Lyon. Elle propose du parrainage de proximité à des enfants accueillis au sein de l'aide sociale à l'enfance. Eva Landry, co-directrice de l’association Les Enfants de Bohème, et Virginie Chambard, éducatrice spécialisée Parrainage de proximité, présentent les enjeux à Anaïs Sorce.
Connaissez-vous Ching Shih, la plus redoutable pirate de tous les temps, Alice Guy-Blaché, pionnière du cinéma, Annette Kellerman, créatrice du maillot de bain, Alfonsina Strada, pionnière du cyclisme féminin ou encore Julie-Victoire Daubié, première française à passer le baccalauréat ? Toutes ces femmes ont dû batailler contre les préjugés, transgresser les interdits, s’engager, s’imposer.
Elles se retrouvent dans « Le grand almanach des femmes pionnières et aventurières » de Mireille Delaunay. L'auteur est au micro d'Anaïs Sorce.
D'ici la rentrée 2025, les élèves du groupe scolaire St Thomas d'Aquin d'Oullins devraient bénéficier d'un nouveau centre sportif Henri Didon de 1 600 m² flambant neuf. Un terrain de handball, quatre de basket dont un officiel, neuf de badminton, une salle de gymnastique, des espaces modulables et un plateau sportif d’extérieur… l’établissement a décidé d’investir cinq millions d’euros pour le projet et d'en financer une partie en crowdfunding.
Xavier Gouët, directeur général du Centre scolaire Saint-Thomas d'Aquin, revient sur le projet d’éducation intégrale du Centre scolaire au micro d'Anaïs Sorce.
Alors que 95 % des fidèles catholiques pensent qu’une formation oratoire est nécessaire et urgente pour les prêtres et séminaristes, l'association Parole d'Homme s'est lancée le défi de former les prédicateurs à la rhétorique chrétienne.
Objectif : les aider à mieux formuler leurs idées pour mieux les transmettre en mettant « la rhétorique au service de la vérité, qui est le Christ » comme l'explique Luc Desroche, l'un des cofondateurs, à Anaïs Sorce.
Comme une bulle d'air, les ApARTés de la Fondation Art Explora offrent des respirations au public en situation d’isolement ou de fragilité présents dans les EHPAD médicalisés. Plus de 3 500 bénévoles s'engagent partout en France pour des échanges à l’hôpital, en maison de retraite, en centres de loisirs, avec des conversations informelles autour d'œuvres d'art, un accompagnement pour sortir, une découverte de lieux culturels à côté de chez soi.
Sébastien Thubert, directeur du bénévolat de la Fondation Art Explora, revient avec Anaïs Sorce sur l'intérêt de ces sessions, dont la prochaine est programmée au samedi 14 décembre après-midi à l'EHPAD Korian Saison Dorée de Lyon.
Il y a dix ans ouvrait à Lyon l’Espace Culturel du Christianisme à Lyon pour mettre en valeur les origines du christianisme en Gaule. Devenu depuis le musée de l'Antiquaille, ll’espace organise une journée anniversaire samedi 14 décembre de 10h à 16h30.
Bernard Villeneuve, secrétaire de l’association Antiquaille - Espace culturel du christianisme à Lyon, auteur du Petit guide de l’Antiquaille et Eliette Gerfaud, vice présidente de l’association, reviennent sur ces 10 ans au service de l'histoire chrétienne à Lyon.
Un an et demi après la fermeture de leur restaurant étoilé l'Apothicaire, devenu trop petit pour permettre leur développement, Ludovic et Tabata Mey ont ouvert le restaurant gastronomique Ombellule en octobre et la brasserie Roseau. Deux établissements côte à côte mais indépendant et à la signature culinaire bien distincte, comme l'explique le couple au micro d'Anaïs Sorce.
Elles viennent de Madagascar, d'Algérie, du Chili, de Chine, de Syrie ou d'Ukraine et toutes ont en commun d'avoir fait leur vie en France. Ces femmes migrantes sont au cœur du nouveau projet de l'ONG We Talk France : Mémoires Tissées. Un livre mêlant témoignages intimes de 20 femmes, racontés par leurs petits-enfants, analyses académiques et réflexions prospectives pour lutter contre certains stéréotypes liés aux migrations et aux liens intergénérationnels.
Nathalie Bondetti, présidente et cofondatrice de We Talk France, revient sur l'intérêt d'un tel ouvrage avec Anaïs Sorce.
De sa Condrieu natale aux montagnes où elle a travaillé huit saisons, en passant par ses origines algériennes, la cheffe Sarah Hamza a vu de nombreuses cuisines et elle a su en tirer le meilleur à chaque fois. De ses expériences et de son envie de partage sont nées le bistrot moderne Söma, ouvert dans le Vieux Lyon début 2024 et déjà distingué dans le guide "109" du Gault & Millau. Interview témoignage avec Anaïs Sorce.
C'est un honneur qu'ils ne sont pas prêts d'oublier. La quinzaine de verriers du Vitrail St-Georges à Saint-Genis-les-Ollières (Rhône) a restauré 440 m² de vitraux de la cathédrale Notre-Dame de Paris, après l'incendie qui l'a ravagée en avril 2019. Entre leurs mains sont passés les vitraux du chœur et de la sacristie.
Jean Mône est l'un de ces artisans verriers du Vitrail St-Georges et il raconte son expérience à Anaïs Sorce.
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