Belle île en mer, Le cœur grenadine, Rock collection, Le pouvoir des fleurs, Jésus, on a tous un air en tête, quand on évoque Laurent Voulzy. Dans le cadre de sa tournée des églises et des cathédrales, le chanteur vous propose, non pas un ticket pour Liverpool, mais un ticket pour Annecy. Son rapport à la foi, son attachement à la Venise des Alpes, et son projet 2025 dédié à Jeanne d'Arc : entretien avec Laurent Voulzy au micro de Victorien Duchet.
Laurent Voulzy : Annecy m'est cher. J'ai passé une bonne partie de ma vie à dans le bassin annécien, à Veyrier notamment. C'est une région que j'aime beaucoup.
Laurent Voulzy : L'église est un partenaire avec qui il faut compter. Contrairement aux Zéniths, qui sont neutres. Les églises et cathédrales sont déjà habitées. Le bâtiment impose des arrangements musicaux pour être en accord avec le lieu.
Laurent Voulzy : Je suis en quête. La composition d'une chanson, d'un air, ça vient bien de quelque chose. Les sentiments qu'on éprouve pour quelqu'un, la beauté de la nature, les fleurs, c'est quand même quelque chose d'extraordinaire. Mon rapport à la foi, je ne l'ai pas encore trouvé, je cherche.
Laurent Voulzy : J'ai adoré son interprétation. Mais pour l'instant, ce n'est pas prévu. Les castings ne sont pas faits. On est toujours dans un travail de composition, avec Alain Souchon, ou encore l'historien Franck Ferrand. J'ai en tête une à deux personnes qui pourraient participer à cet opéra-pop.
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