Après une année sabbatique, Monseigneur Kockerols se voit confier de nouvelles missions. Il sera notamment responsable des relations avec le judaïsme au sein de la Conférence épiscopale de Belgique et évêque référent pour la liturgie et la catéchèse. Il accompagnera également l'archevêque dans diverses missions et prendra en charge une paroisse bruxelloise.
Après une année sabbatique démarrée en septembre 2023, Monseigneur Jean Kockerols, évêque auxiliaire de l'archidiocèse de Malines-Bruxelles, se voit confier de nouvelles responsabilités. Il ne reprendra pas les rênes du vicariat de Bruxelles, désormais géré par le chanoine Tony Frison, son ancien adjoint qui l'y a remplacé, mais il gardera un agenda chargé. Au sein de la Conférence épiscopale de Belgique, il intègre la Commission Théologique et prend en charge les relations avec le judaïsme, un rôle crucial dans le contexte actuel. Il sera également l'évêque référent pour la liturgie, la catéchèse et le catéchuménat pour la partie francophone du pays. À partir du 1er janvier 2025, il sera de plus responsable des aumôneries carcérales francophones.
Dans l'archidiocèse de Malines-Bruxelles, Mgr Kockerols assistera l'archevêque dans diverses missions, notamment liturgiques et spirituelles. De plus, il se verra confier la charge d'une paroisse, dont le nom sera communiqué ultérieurement par les évêques de Belgique.
Ordonné évêque auxiliaire de l'archidiocèse de Malines-Bruxelles en 2011, Mgr Kockerols a occupé la fonction de vicaire général pour Bruxelles jusqu'en septembre 2023. C'est par un communiqué lacunaire, sans commentaires, que la nouvelle d'un pas de côté s'est fait entendre. Il était alors indiqué que suite à la demande de Jean Kockerols d'avoir une année sabbatique, celle-ci lui avait été accordée par le pape François et par le nouvel archevêque, Mgr Luc Terlinden. Les raisons de ce pas de côté n'ont jamais été communiquées par l'Église ni par l'intéressé. Selon La Libre, aucun dossier pénal ne se cachait derrière cette mise à l'écart. Certains analystes décryptaient la situation par les tensions pastorales et la nomination récente du nouvel archevêque, alors que le nom de l'évêque auxiliaire revenait régulièrement aux lèvres avant cette nomination.
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