La "Scala Provence" d’Avignon ouvre ses portes à Frédéric Biessy

“C’est l’ADN de la Scala ce mélange des arts et des artistes” affirme Frédéric Biessy, le directeur de la Scala qui refuse la séparation des arts. La Scala se veut à toutes les disciplines artistiques “il n’y a pas de genres” poursuit le producteur et cela se reflète parfaitement dans la programmation.

 

Le programme passe de représentations théâtrales comme Gisèle Halimi, une farouche liberté à Yé (l’eau) du baobab Circus, sans oublier la musicienne Jodyline Gallavardin. 

 

“Un théâtre privé d’intérêt public”

 

L’éducation culturelle et artistique est un des objectifs du Haut conseil de l’éducation artistique et culturelle. Par conséquent, une charte avait été publiée à l’initiative de ce Haut conseil pour la démocratisation de la culture. “On se contente pas de faire consommer les gens” justifie Frédéric Biessy sur la particularité de son théâtre et de sa vision qu'il définit comme “un théâtre privé d’intérêt public”.

 

Une vision globale 

 

“C’est complètement le même projet” répond le producteur sur la différence entre la Scala Paris et la Scala Provence. Celui-ci explique par la suite le caractère “philanthropique” de l’initiative et sa vocation à devenir une “fondation” à long terme.