Pétulante, souriante, pleine d’idées, cette Française en Suisse, Pauline Desnuelles traduit en français depuis l’allemand dans une organisation internationale. Avec son chalet en Valais, ce sont, outre ses deux filles, la montagne et la marche qui la passionnent, ainsi que l’écriture. Avant l’émission elle m’a confié : « Rassurez-vous, je suis croyante… » Une personne à découvrir.
La rencontre
Entre deux travées du Salon du livre à Genève il y a cinq ans, la jeune-femme m’approche avec son dernier livre à la main : 200m, nage libre. Le titre retient mon attention. Je le lis. Cela me plaît. Puis les relations se font de façon très éloignée, et puis la crise du Covid, puis nous gardons le contact, elle revenant vers moi lorsque je signe des livres l’an dernier. Nous abordons les soucis de la vie, nos enfants, l’éducation, nos activités professionnelles, dont, pour elle comme pour moi, sont liées à nos envies. Puis Pauline Desnuelles me parle de son prochain ouvrage : Une ascension, « Sans majuscule ! » précise-t-elle, malicieusement.
Il me vient alors l’idée de l’inviter cette année pour l’émission.
Nous aborderons, outre la foi et les croyances, la recherche de soi, le parcours de vie, les zig-zags et la montagne ! La montagne chère à son cœur et à celui de son héroïne dans son dernier roman, et pas n’importe laquelle. Marguette Bouvier fut la première femme à redescendre du Mont-Blanc à ski en 1929. Y a-t-il des similitudes entre ces parcours distincts ?
Une chose est sure : de Catherine d’Estivelle à Orianne Aymard ou Claude Marthaler, la philosophie de la vie ne surgit pas seulement au coin d’une table. Il faut une vie saine, de l’entraînement et une bonne condition physique.
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