Avec l’hydrogène vert « une ère nouvelle » s’ouvre pour John Cockerill

L’hydrogène vert, quèsaco ? 

Produit principalement par l’électrolyse de l’eau à partir d’électricité renouvelable comme l’éolien ou le solaire, l’hydrogène vert, représente un des secteurs d’avenir pour accélérer la transition vers la neutralité carbone. Actuellement l’hydrogène est produit à base de gaz naturel et produit beaucoup de CO₂. Raphaël Tilot, CEO Hydrogène chez John Cockerill :  

Demain, l’objectif est de transformer cet hydrogène dit gris, parce qu’il émet du CO₂ , par de l’hydrogène dit vert, parce que produit sans CO₂ , grâce à des électrolyseurs 

Concrètement, les électrolyseurs, produits notamment par John Cockerill, permettent de produire de l’hydrogène en cassant les molécules d’eau (H₂O). L’appareil permet ainsi de séparer les molécules de H₂ des molécules de O₂. L’hydrogène peut ensuite servir à un grand nombre d’usage tels que dans l’industrie ou en tant que carburant dans la mobilité lourde (camion, péniche, navire…) 

John Cockerill sur le devant de la scène

Depuis 2017, John Cockerill s’est concentré sur la production d’hydrogène vert. Au cours des dernières années, le groupe s’est particulièrement développé dans le domaine des énergies bas-carbone pour répondre aux besoins de la transition et à la demande croissante de clients. Aujourd’hui, John Cockerill est l’un des leaders mondiaux dans ce domaine et a déjà livré 1300 électrolyseurs. Plusieurs machines de ce type seront notamment implantées au sein de la première usine belge de production d’hydrogène vert en construction actuellement à Zeebruges. Preuve de son développement à l’échelle mondiale, John Cockerill construit actuellement une usine en Inde et une autre au Texas aux États-Unis.