Du vin dans les coins - page 2

Entre début et mi-avril, le gel s’est de nouveau invité dans les vignes. Le président d’Interloire et vigneron dans le Loir-et-Cher, Lionel, Lionel Gosseaume nous explique de quelle manière la filière viticole s’organise de Sancerre à Nantes pour résister à ce qui n’est désormais plus un accident, mais un phénomène récurrent en Val de Loire.

Mais pourquoi donc changer de modèle pour passer en agriculture biologique ? Peut-être parce que cette évolution est souvent la conséquence d’un engagement à conduire sa vigne et ses vins autrement. Tel est le cas de Stéphane Delettre, vigneron installé à Saint-Nicolas-de Bourgueil et de Christophe Deschamps, vigneron sur Bourgueil et co-président de l’association professionnelle Loire Vins bio.

Aujourd’hui nous demanderons à deux vignerons installés dans le bourgueillois les raisons qui les ont fait choisir l’agriculture biologique.

En publiant "Le vin au fil des saisons, un an dans le costume d’un œnologue", Jean-Michel Monnier nous offre la possibilité, mois après mois, de suivre l’activité du vigneron et de l’œnologue. Cette somme de connaissances nous est aussi très utile pour apprendre à boire intelligemment.

Le 18e concours national des indications géographiques protégées, les IGP, s’est déroulé le 11 mars à Angers. Cet événement nous offre l’occasion de mieux savoir ce que nous goûtons grâce à Catherine Motheron, vigneronne à Martigné-Briand et présidente du syndicat des vins IGP Val de Loire ; un vignoble réunissant 1 438 vignerons et vigneronnes, 7 caves coopératives et 65 maisons de négoce. A ses côtés, Raphaël Fattier, directeur de ce syndicat.

Pour reprendre les termes de Sylvie Augereau, vigneronne angevine : « Nul n’est censé ignorer la Loire ». Tel est justement le propos des organisateurs des salons viticoles Demeter et la Levée de la Loire récemment organisés au parc expo du Breil de Saumur. Le point commun entre ces trois manifestations destinées aux professionnels : proposer une belle vitrine des vins bio ou en biodynamie du Val de Loire, de France et d’Europe. Pour en parler avec nous Hélène Darras, chargée de communication pour l’association Demeter, Sébastien David, président de l’association Loire vin bio, ainsi qu’Hélène Gras, restauratrice du Ververt à Montsoreau.

A l’instar d’un certain Obélix ? Dominique Hutin est tombé tout petit dans une barrique de vin de Loire.
Le chroniqueur de la dominicale franceinterienne On va déguster a fait du vin sa quasi religion. Il est aussi connu comme un défenseur du cidre artisanal, et tout particulièrement celui de son Cotentin. Merci donc à Dominique Hutin d’avoir quitté sa plage et son transat pour rejoindre le studio de RCF Caen afin d’évoquer sa Loire viticole idéale.

Il y avait la Tulipe Noire que les cinéphiles connaissent bien. Il faudra aussi compter avec la Tulipe Rouge : un nouveau guide des vins au parti pris régional et bilingue. Au micro, son créateur, Olivier Borneuf vient nous présenter son petit dernier : une sélection des vins de Loire à moins de 20 €.

La vague verte se porte bien, celle des vins issus de l’agriculture biologique dont les ventes progressent sans cesse. Comment les négociants et metteurs en marché les choisissent-ils pour les porter ensuite jusqu’au consommateur ? Robin Gilis, de la société Brill et Gilis et Philippe Gérard, de la société Biovidis, tous les deux installés en Touraine répondent à nos questions.

La néo vigneronne, le repreneur de l’exploitation familiale optant pour la conversion en agriculture biologique sont-ils condamnés à travailler seuls dans leurs parcelles de vigne ? Que nenni ! Ils peuvent bénéficier d’une précieuse assistance technique à la vigne comme au chai au moment de la vinification Le détail de ses prestations avec Romain Baillon, conseiller en viticulture biologique au sein du Gabbto en Indre-et-Loire, et Jérémie Cébron, œnologue en Pays de la Loire.

En janvier 2019, un article du quotidien Le Monde évoquait le « grand nombre de vignerons qui se demandent s’il est souhaitable de passer à l’agriculture biologique ? ». Trois ans plus tard, les chiffres montrent que cette question n’est plus d’actualité.. Explications avec Emmanuelle Chollet, chargée de mission pour la Coordination de l’agriculture biologique des Pays de la Loire, et Paul Fouassier, vigneron à Sancerre et secrétaire de la Fédération nationale de l’agriculture biologique (FBNAB) pour la partie viticole.

La viticulture biologique, c’est quoi au juste ? Comment les vigneronnes et vignerons y travaillent tout au long de l’année pour mériter le précieux sésame bio ? Allons en terre de muscadet pour chercher la réponse auprès de Rémi Branger en son domaine de la Pépière.

Les créateurs de la Microwinerie ont décidé d’associer deux univers ayant peut-être plus de points communs qu’on ne le suppose. C’est le pari tenté par un spécialiste de l’œnotourisme, Léo Gabillard, un sommelier, Kevin Signez et un brasseur, Nicolas Ducrocq, Leur objectif : piquer la curiosité des amateurs des deux mondes en leur proposant des dégustations et des ateliers de brassage de bière et de création de micro-cuvées de vins.

Bienvenue au domaine des Terres Blanches chez Céline et Benoit Blet à Oiron en pays Thouarsais, dans les Deux-Sèvres : une enclave vigneronne en pays céréalier accrochée conjointement à l’Anjou et au saumurois voisins. Village gaulois à la mode Poitou-Charentes, le vignoble local ? A voir...

Christelle Pineau a de nouveaux amis qui ont pour jolis noms melon de Bourgogne, gamay et pinot gris, les cépages de ses vignes dominant la Loire à La Varenne et Champtoceaux. Docteure en anthropologie habituée du vignoble, journaliste, et maintenant vigneronne, elle nous invite au cœur de son tout premier millésime.

Il y a Néo, le personnage né avec Matrix. Depuis quelques années, on compte aussi de plus en plus avec les néo vigneronnes et vignerons. Guillaume Noire est de ceux-là. Ce fan de vin nature, nous invite dans son quotidien à Rablay-sur-Layon.

Peut-on être vigneronne hors-sol ? Autrement dit, faire son vin comme chez soi, mais sans terre et sans vigne ? C’est l’aventure dans laquelle s’est lancée une passionnée de vin, Pauline Lair avec 1006, nom donné à son chai urbain planté au cœur d’Angers, en référence à la longueur de la Loire.

Partons à la découverte des quelque 900 pièces de la donation des époux Clingman, parmi lesquelles des œuvres de Corot, Van Dongen, Degas ou Toulouse Lautrec… présentée au musée d’art moderne de l’Abbaye Royale de Fontevraud. Depuis le 13 octobre, à raison d’une rencontre mensuelle, Dominique Gagneux, directrice et conservatrice, confronte certaines de ces heures à une sélection de vins du Val de Loire. Tel est le propos de « Une heure, une œuvre, un vin ».

Un vin se prépare à 95 % dans les vignes. Marie-Françoise Ratron elle-même nous l’affirme. C’est chez elle, à Souzay-Champigny en son domaine du Clos des Cordeliers, que nous allons tenter de comprendre comment tout le travail d’une année se retrouve en cuve pour être transformé en vin.

Vous êtes un professionnel du vin, un candidat potentiel à la reconversion professionnelle ou tout simplement un ou une vrai passionné du vin, et vous cherchez la vigneronne ou le vigneron qui saura vous faire partager son expérience ? Bienvenue au domaine Mélaric à Doué-la-Fontaine.