Chaque mardi à 8h45, Guillaume Goubert et Simon de Monicault présentent une exposition ou un événement qui raconte l'histoire de l'art.
C'est une exposition-phare de la rentrée, celle que le Centre Pompidou de Paris consacre au peintre Gérard Garouste. Pas seulement par le nombre des œuvres exposées - plus d’une centaine. Pas seulement parce qu’elle couvre l’ensemble de la carrière de cet homme aujourd’hui âgé de 76 ans. Cette exposition marque aussi une reconnaissance pour un artiste qui n’a jamais eu tout à fait droit à la considération qu’il mérite, contrairement à Pierre Soulages ou Daniel Buren...
Aujourd'hui Guillaume Goubert évoque l'art textile, un art contemporain trop souvent peu considéré. En ce moment se tient à Paris une exposition où l'on peut admirer les œuvres d'Olga de Amaral, l'occasion de découvrir cet art de laine, coton et crins de chevaux.
Un « bol-sein » ! On imaginerait ce concept osé tout droit sorti de l’inventivité d’un Salvador Dali ! Mais il nous plonge en fait à la veille de la Révolution. Louis XVI se lance dans un projet artistique inouï afin de faire aimer Rambouillet à la reine. La laiterie de Marie-Antoinette est une réalisation aussi ambitieuse qu’audacieuse. Elle s’accompagne de la commande de pièces en porcelaine parmi lesquelles ces fameux bols qui déchaînent, encore aujourd’hui, la passion.
Aujourd’hui, Guillaume Goubert nous emmène au théâtre, ou plus précisément à la découverte d’un artiste dont l’œuvre s’est développée à partir de décors de scène. Cet artiste s’appelle Richard Peduzzi, et une très belle exposition, actuellement visible à Paris, retrace plus d’un demi-siècle de son travail. Âgé de 82 ans, Peduzzi a créé non seulement des décors de théâtre, mais aussi des dessins, des peintures, des architectures et des meubles.
En ce moment à la Kasbah de Tanger se tient une exposition mettant à l'honneur l'art contemporain cubain. Simon de Monicault s'y est rendu et livre ses impressions, en particulier sur les œuvres montrant Fidel Castro et le Pape Jean-Paul II.
Aujourd'hui Guillaume Goubert nous parle de Corita Kent. Aussi bien religieuse, artiste, éducatrice que militante pour la paix, Sœur Corita a imposé son style en sérigraphie. Le collège des Bernardins lui consacre une exposition.
Perdu dans un merveilleux musée florentin consacré aux pierres et marbres, le chef-d’œuvre du peintre Domenico Remps (1620-1699) est un trompe-l’œil représentant un cabinet de curiosité. La savante juxtaposition des merveilles qui le composent offre de nombreuses grilles de lecture.
Aujourd'hui Guillaume Goubert nous présente Charlotte Perriand. Cette designeuse et architecte française s'est fait connaître pour son utilisation unique du bois ainsi que pour ses tabourets, inspirés des tabourets de traite.
La Biennale de Lyon vient d’ouvrir ses portes. Cette exposition d’art contemporain couvre neuf sites, parmi lesquels les mythiques Grandes Locos, un fleuron du patrimoine industriel des XIXe et XXe siècle. Une puissante œuvre de Myriam Mihindou entre en résonance avec cette monumentale architecture, chargée d’histoire.
Aujourd'hui, Guillaume Goubert nous parle de népotisme. Ce mot, qui désigne le fait de favoriser des membres de sa famille, trouve son origine dans le fonctionnement du Vatican. Découvrons-en davantage dans cette chronique culturelle.
Aujourd'hui, Simon de Monicault nous emmène à la découverte d'un artiste des plus insolite : Hubert Robert. Ce peintre français du XVIIIe peignait sur des assiettes pendant sa captivité à la prison de la Bastille.
Aujourd'hui, Guillaume Goubert nous fait découvrir la fondation agnès b, située à Paris dans le 13ème arrondissement. Lieu peu connu du grand public conçu pour abriter la collection d'art de la stylist agnès b, il héberge désormais près de 5000 œuvres. On vous en fait découvrir davantage dans cette chronique culture.
Le musée Hyacinthe Rigaud de Perpignan consacre une rétrospective à Jean Lurçat. Une exposition qui a marqué Simon de Monicault, en particulier l'épée d'académicien de ce touche-à-tout qui est présentée dans l'itinéraire. Sur cette épée, l'homme avait fait gravé une devise, dont on retrouve d'ailleurs sur sa tombe les deux premiers mots : "c'est l'aube".
Pour sa dernière chronique de la saison, Guillaume Goubert nous propose une promenade architecturale, à la Cité internationale universitaire de Paris, un beau parc boisé de 34 hectares dans lequel on peut déambuler au milieu d’un véritable musée d’architecture, non pas en maquettes, mais grandeur nature avec plus de quarante pavillons hébergeant des étudiants.
L'histoire de l'art de la semaine de Guillaume Goubert est consacrée au design et il est question de mobilier pour enfant. "L’enfance du design" est une exposition au Centre Pompidou à Paris, jusqu’au 12 août.
Guillaume Goubert nous raconte l’histoire d’un ex-voto. Ces objets d'arts placés dans un lieu saint à la suite d'un vœu. L'ex-voto de Marguerite Maeght est à découvrir au musée des beaux-arts de Draguignan, jusqu’au 22 septembre !
Dans son histoire de l'art, Guillaume Goubert nous emmène à Dinard, en Bretagne pour l'exposition "Élizabeth & Gérard Garouste, l’art à La Source" jusqu’au 1er septembre.
Aujourd’hui, il est question de photojournalisme avec l’exposition « La France sous leurs yeux » que l’on peut voir à la Bibliothèque nationale de France, sur le site de Tolbiac. Cette exposition nous propose, c’est son sous-titre, « 200 regards de photographes sur les années 2020 »
Qu'est-ce que l’on appelle « l’art brut ». De quoi s’agit-il ? C'est le thème de la chronique de Guillaume Goubert à la découverte notamment de l'exposition "L'esprit singulier" de Richard Treger et Antonio Saint Silvestre à Paris, à la Halle Saint-Pierre, jusqu’au 14 août 2024.
Le Musée national de l’histoire de l’immigration au Palais de la porte dorée à Paris, propose une exposition qui raconte l'histoire des olympiades depuis Athènes en 1894 jusqu’en Paris en 2024.
Une exposition de la Fondation Vuitton est consacrée à un seul tableau, "L’atelier rouge" peint par Henri Matisse en 1911.
RCF est une radio associative et professionnelle.
Pour préserver la qualité de ses programmes et son indépendance, RCF compte sur la mobilisation de tous ses auditeurs. Vous aussi participez à son financement !