Une fois par semaine, écrivaines et auteurs de la région lyonnaise (ou de passage) présentent leur ouvrage à Lætitia de Traversay, et dévoilent un peu de leur personnalité, de leurs passions, de leur vie.
L'émission est diffusée :
- sur RCF Lyon le mardi à 14h15,
- sur RCF Isère le mardi à 12h15 et le samedi à 11h15.
La Turquie jusqu'à Chypre, un Empire millénaire, une République qui se cherche, c'est le titre de l'ouvrage de Jean Étèvenaux publié aux éditions Les acteurs du savoir.
Docteur en Histoire et diplômé de l’Institut d’études politiques de Lyon, journaliste, Jean Étèvenaux a écrit plus de trente livres d’Histoire.
Il s'intéresse cette fois à l'histoire de la Turquie qui a été au départ le grand empire ottoman, régnant sur la Méditerranée.
"Aujourd’hui, ses ambitions ne sont pas qu’européennes, car elle reprend le vieux concept de monde turcique lui permettant de considérer comme des frères des pays plus ou moins proches. Son histoire n’a d’ailleurs pas toujours été conflictuelle avec le vieux continent, comme en témoignent ses anciennes relations avec la France. Mais, dépecée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, elle a voulu renaître de ses cendres à travers le grand sursaut nationaliste du début des années 1920 et l’établissement de la République en 1923. Incarné par un combattant militaire qui s’est révélé un fin politique, Atatürk, elle a voulu allier modernisation et référence à l’islam. Aujourd’hui, sait-elle où elle veut aller ? Et que dire de la Chypre du Nord, gangrénée par toutes sortes de fléaux ? "
Autant de questions que nous évoquons avec l'auteur qui préside deux cercles culturels et appartient à une dizaine d’autres, dont l’Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon.
« Le chien est un vrai cadeau pour l'humanité ! » c'est ce que l'on comprend en lisant Petit éloge de mon chien publié aux éditions Les Pérégrines.
Didier Tronchet est humoriste, dessinateur, écrivain et réalisateur. Il s’est notamment fait connaître par ses séries BD. Il avait hâte de consacrer un livre à la plus grandes de ses passion : son chien Biloo et les chiens qui ont « accompagné son parcours terrestre ».
À travers les lunettes de son fidèle compagnon, Didier Tronchet regarde notre monde autrement. En se mettant à l'école de l'animal, il retrouve son coeur d'enfant, une relation plus simple au vivant, à la nature et aux gens. Il évoque aussi le rôle thérapeutique de cette fidélité sans faille et de cette forme d'amour inconditionnel, qui ,peut soulager des blessures affectives et des traumas.
Une école de vie qui permet de se reconnecter à soi-même et aux autres et tisser du lien dans la cité.
Filer, tisser, coudre, laver, balayer, raccommoder, cueillir, porter, nourrir, soigner. Des travaux accomplis pendant des siècles et qui ont rythmé le quotidien des femmes. Ce sont ces petits gestes invisibles que Sophie Coste choisit de célébrer dans son ouvrage Gestes de femmes publié aux éditions Philippe Rey.
En prenant les mots au sens propre comme au sens figuré, Sophie Coste nous introduit à la découverte de l’épaisseur des mots.
"Son approche originale qui fait écho aux ateliers d'écriture qu'elle anime, mêle la poésie à la réflexion, et ouvre un chemin de découvertes à la croisée de ses souvenirs personnels et de nos représentations du travail féminin. Loin de toute idéalisation ou nostalgie d’une époque révolue."
Une façon originale de rendre hommage aux femmes qui portent l'humanité depuis la nuit des temps, soignent ses bleus à l'âme, raccommodent ses plaies pour balayer ses soucis.
La Légende de Mi, c'est le titre de la nouvelle bande dessinée d'Alain Auderset, publiée aux éditions Atelier Alain Auderset. Un conte initiatique qui nous parle de la rencontre avec soi-même et avec Dieu, à travers de multiples péripéties et épreuves à surmonter.
« Le héros est Minéloïda, le souffre-douleur de son quartier. Il va rentrer dans le fantastique royaume qu’il aperçoit depuis sa mansarde délabrée.
Va-t-il rencontrer le Roi de légende que tout le monde craint sans le connaître ?
Rien ne se passe comme prévu pour Minéloïda qui nous entraînera malgré nous dans une aventure pleine de rebondissements, où le bon et le mauvais ne sont pas ceux qu’on croit… et même quand il nous entraînera au fin fond de situations injustes, celles où la souffrance ne s’explique pas, il vous apportera peut-être quelques réponses à vos propres interrogations au sujet de l’espoir et de l'espérance »
Agrégée de philosophie, Marie Grand enseigne en classes préparatoires et donne régulièrement des conférences publiques au Collège supérieur de Lyon, qu'elle dirige. Elle revisite l'histoire du Bon Samaritain avec un ouvrage intitulé Géographie de l'amour, Une autre histoire du bon Samaritain publié au Cerf.
Dans ce livre, l'auteur interroge l'amour du prochain et même de l'amour du lointain.
« C'est le pari que relève avec brio Marie Grand : cartographier la charité, une terre inconnue dont elle explore les lieux insoupçonnés. Pour cela, elle s'inspire autant de la philosophie de Paul Ricoeur que de la Bible ou l'art de Rembrandt. Libre dialogue donc entre les sciences humaines, l'Écriture, la peinture, tout en gardant un regard constant sur notre actualité.
Voici, par une plume vive et originale, une histoire du bon Samaritain qui rend toute sa place au personnage souvent négligé de l'hôtelier. Car, au-delà des élans de générosité, le service efficace et durable exige le renfort d'institutions. Dans cette Géographie, les sentiers éthiques doivent à terme rejoindre les routes politiques et économiques.
Un livre qui réinterroge les grands textes pour mieux nous aider à questionner nos vies. »
Dans son nouveau roman L'oeil de la perdrix publié aux éditions Le bruit du monde, Christian Astolfi raconte une histoire poignante, celle de l'amitié entre Rose et Farida, deux femmes déracinées, dans le Toulon des années 1940 et 1960. Une rencontre qui va bouleverser l'histoire de ces deux femmes venant d'horizons différents, l'une corse et l'autre algérienne. Elle vont s'accompagner et s'encourager sur le chemin de l'émancipation qui passe par l'apprentissage de la lecture et de l'écriture.
Une façon pour l'auteur d'aller à la rencontre "des gens du bidonville" qu'il avait côtoyé dans sa jeunesse, sans jamais les rencontrer.
Comme quoi, l'écriture aide à franchir des barrières.
A l'heure de la célébration de la restauration de Notre-Dame de Paris, nous menons l'enquête sur le départ du feu avec un officier de police judiciaire, Edouard, héros du nouveau roman de François Bert "Les feux de Notre-Dame ", publié chez Edelweiss.
« Il a été aussitôt dépêché pour faire son enquête. Le flic, pourtant rompu à la discipline des coups durs, s'est momentanément laissé gagner par l'angoisse considérable qui a saisi son coeur de Français.»
Au-delà de l'histoire, l'auteur nous emmène faire un pèlerinage au coeur de nous-même, au contact de Marie. Il le dit lui-même : « On doit être des chercheurs de joie. C'est la vie divine, cette éclaboussure de joie, qui est prête à sortir à partir du moment où on sait l'accueillir.»
François Bert, ancien officier, consultant, conférencier, intervenant dans les médias, est passionné par les thématiques de management d’équipe, de leadership et de discernement dont il a fait un métier (le cabinet “Edelweiss RH”) et une école (l’école du discernement).
Ecrire une "Lettre de Pénélope à Homère", c'est l'idée de Brigitte Joseph-Jeanneney dans son nouvel ouvrage publié chez Elan Sud.
Au bout de vingt ans d’attente, Pénélope est pleine d'incertitude. "Son époux est-il mort ? Calypso a-t-elle envoûté Ulysse, le retenant captif ? Quelle conduite adopter pour préserver Télémaque ?
Pénélope dévoile ses pensées et ses craintes les plus intimes, s’interroge sur ce que signifient l’amour, la chasteté, le compromis.
Dans l’Odyssée, elle apparaît comme une femme réduite aux statuts de reine, d’épouse, de mère, de belle-fille dans lesquels elle reproche à son créateur de l’avoir cantonnée. Elle refuse d’être devenue, sous la plume d’Homère, une icône de la fidélité. Et, décidée à sortir du silence, elle prend la parole.
Un texte qui explore la place donnée à la femme dans la nuit des temps."
Le Père Gaspard Craplet est prêtre de la Société Jean-Marie-Vianney, responsable de la Pastorale des Jeunes. Ingénieur, ancien marin et alpiniste, il enseigne au séminaire d’Ars et sur les réseaux sociaux. Et il propose de redécouvrir la joie que procure le sacrement de réconciliation dans son ouvrage intitulé "Joie de la confession, conseils et encouragements", publié aux éditions Yeshoua.
Nombreuses sont les personnalités de l’ombre à avoir contribué à l’ascension du nazisme et à l’exercice du pouvoir hitlérien.
Dans son nouvel ouvrage intitulé « Les éminences grises du nazisme », l'historien Gérard Chauvy dresse une série de portraits éclairants et très documentés sur les personnalités qui ont compté parmi les plus influentes.
« Le poète Dietrich Eckart a par exemple permis à Hitler de s’affirmer dans son rôle de leader. Le système nazi doit beaucoup aussi au déploiement de la propagande et au contrôle implacable exercé sur la presse par l'intermédiaire d'Otto Dietrich. Hitler a également bénéficié du concours de personnages qui lui ont permis de subsister puis de prospérer en lui offrant des soutiens financiers importants : Max Amann, Kurt von Schröder.
Parmi les autres protagonistes de son entourage, on trouve nombre de préconisateurs d’expérimentations humaines dans les camps de concentration (Karl Brandt, Ernst Grawitz), des gestionnaires de la solution finale (Oswald Pohl) ou du développement de la race aryenne (Inge Viermetz). Enfin la « justice » du IIIe Reich a eu également ses exécuteurs des basses œuvres (Roland Freister).
Restées longtemps méconnues, ces émissions grises, artisans influents et néfastes du régime hitlérien, sont ici replacées en pleine lumière. »
Gérard HOUSSIN est né en Normandie en 1949. C’est à l’abbaye de Tamié qu’il vit un choc spirituel. Depuis, il propose de redécouvrir la foi avec des yeux nouveaux. C'est son invitation dans son nouvel ouvrage intitulé "Dieu, Marianne et les garçons", publié chez Saint Léger éditions.
Il met en scène des enfants qui revisitent les fondements de la foi en entrant dans une église.
« Pierre emmène sa cousine Marianne à la messe. Elle entre pour la première fois de sa vie dans une église. Marianne se passionne, au grand étonnement de son père, directeur de l’école laïque. Mille questions fuseront au fil des visites de l’église, au long de toute une année liturgique. Pierre, catéchiste en herbe, aidé par son ami François, fait preuve d’un belle spiritualité dans ses réponses spontanées, face aux interrogations déroutantes de sa cousine. C’est quoi, le vin de messe ? Jésus, c’est un paysan qui sème son blé ? Son père, c’est Joseph ou pas ? Sur le vitrail, qui donc a un arbre qui lui pousse dans le ventre ? La vie éternelle, c’est automatique ? Les homélies du jeune curé Timothée, complice du trio, apporteront des éclairages sur les Écritures. Mais finalement, la foi se transmettra-t-elle, si elle est un don de Dieu lui-même ? »
Dans son nouvel ouvrage intitulé "L’incandescence", publié aux éditions des Instants, Gérard Vincent revient sur un épisode de folie traversé dans sa jeunesse et sur le chemin humain et spirituel qu'il a effectué à cette occasion.
« L'auteur relate sa traversée de la folie et sa rémission aussi bien psychiques que spirituelles. De sa descente en enfer il semble qu’il soit sorti avec une nouvelle vie, éclairée par l’écriture. Incandescence noire, incandescence lumineuse, ce livre est une chronique des jours qui brûlent. »
Gérard Vincent est un écrivain français né à Boulogne-sur-mer en 1953. Il a écrit, entre autres "La mort d’un chartreux" (Ed. du Rocher, 2022).
Dans son nouvel ouvrage intitulé "Les Enfants De La Balme, au coeur du maquis", publié chez Mame, Charlotte Grossetête raconte aux enfants et aux ados l'histoire de jeunes engagés dans la résistance en Haute-Savoie.
"Il s'agit des aventures de Philippe, Marie et Paul, trois enfants, pris dans le tumulte de la seconde guerre mondiale. Dans leur village savoyard, ils décident de ne pas se soumettre et de résister. De tout petits actes, qui vont cependant leur faire côtoyer des grands héros de la Résistance française. Ce cinquième tome relate leurs aventures de l'automne 1943 au printemps 1944, au coeur du maquis des Glières.
Le roman se conclut par un petit dossier historique qui présente les faits et les personnages qui servent de cadre au récit."
« Lettres aux jeunes amants pour leur donner le goût de l’alliance », c'est le titre de l'ouvrage par Franck H. Laurent paru aux éditions Labor et Fides. Après avoir été membre fondateur et directeur artistique des Éditions Jade et directeur artistique de Milan Music, Franck Laurent se consacre désormais à l’écriture. Dans ce livre, il évoque Les différentes phases de la rencontre amoureuse et de son caractère unique.
Au début de la relation, il y a le temps du « mûrissement intérieur et l'importance du silence quand on avance l'un vers l'autre », souligne l'auteur. « La vie conjugale, c'est le génie du quotidien », précise-t-il. On est invités à apprendre à dialoguer en profondeur et se poser la question « Où en es-tu, et non qu'est-ce que tu as fait ? ».
« Dans le couple, le nous devient une personne à part entière », conclue l'écrivain qui propose un vrai parcours de réflexion sur ce qui fonde l'amour dans la durée, à travers une série de lettres échangées avec un jeune couple.
Michel Durand, né en 1942, s’est passionné dès les années 1970 pour les questions qui agitent aujourd’hui notre société. Dans l'ouvrage intitulé Michel Durand, un prêtre engagé entre fidélité et insoumission publié aux éditions Karthala, il répond aux questions de Goulven JEZEQUEL. Très tôt, il a pris conscience des impasses de notre modèle de développement. Il n’a cessé d’approfondir ses engagements écologiques, jusqu’à impulser le groupe lyonnais « Chrétiens et pic de pétrole » qui fut un signe avant-coureur de Laudato Si’. Il a montré également un vif intérêt pour les questions sociales. Il a été au travail, au Creusot et à Lyon. C’est un prêtre qui fréquente les églises, mais aussi les manifestations contre les réformes néo-libérales. À plus de 80 ans, il battait encore le pavé contre la dernière mouture de la réforme des retraites. Dès le séminaire, il a fait le choix du dépouillement et de la proximité avec les plus pauvres en s’affiliant au Prado. Son orientation sociale a été ainsi pleinement incarnée. Michel Durand a consacré par ailleurs beaucoup d’énergie à défendre les droits des exilés et, très concrètement, à les héberger. Il est le fondateur du « cercle de silence » lyonnais qui, en se rassemblant silencieusement une heure, une fois par mois, signifie depuis 2008 que la France ne connaît pas de submersion migratoire, mais une crise de l’accueil. Son ouverture aux questions politiques s’articule à la certitude que le monde pourrait et devrait être plus beau. Cette vision l’a conduit à organiser une galerie d’art, puis à mettre en place une biennale d’art sacré contemporain. »
Dennis Gira, né en 1943 à Chicago, est un théologien chrétien, chercheur et écrivain français d'origine nord-américaine. Spécialiste du bouddhisme, il est professeur honoraire à l’Institut catholique de Paris. Il a publié aux éditions Chemins De Dialogue un ouvrage intitulé : Dialogue interreligieux : une perspective chrétienne : Les questions qui vous brûlent les lèvres, mais que vous n'avez jamais osé poser.
« L'objectif de ce livre est de donner des réponses aux questions qui sont posées par des chrétiens. Non seulement par ceux qui critiquent sévèrement le dialogue et ceux qui n'en voient simplement pas l'intérêt, mais aussi par ceux qui le pratiquent mais qui ne savent pas comment répondre aux questions que les autres leur posent (ou qu'ils se posent à eux-mêmes) sur leur engagement. La réponse à chaque question voudrait être à la fois cohérente avec la foi chrétienne et respectueuse des traditions qui font vivre ceux avec qui nous souhaitons entrer en dialogue, quelles qu'elles soient. »
En lien avec la Procure de Lyon.
Dans L'inconnu de la rue Vivienne, son premier roman publié chez Istya & Compagnie, Blandine de Lestrange nous emmène dans les ruelles de la fin du 18e siecle, aux côtés des enfants des rues, des femmes et de familles de cabaretiers à Paris, percer le mystère du petit Louis XVII, fils de Louis XVI. « Le 19 janvier 1794, trois silhouettes pénètrent dans la prison du Temple pour faire s'évader Louis XVII, mais les choses ne se passent pas comme prévu. Le lendemain matin, l'enfant royal se retrouve seul dans les rues de Paris. Déboussolé, affaibli, il est détroussé et laissé pour mort dans une ruelle crasseuse. Louis ne doit son salut qu'au courage d'une jeune fille, Juliette Ramponneau qui lui porte secours et l'accueille chez ses parents. Pendant ce temps, Pierre de Saint-Régent part à la recherche du fugitif et parvient à remonter sa trace jusqu'à la maison des Ramponneau. Ne pouvant pas garder Louis chez elle plus longtemps, la mère Ramponneau le confie au boulanger-pâtissier du quartier, Fernand Dubrest. Louis XVII devient Antonin, et livreur de pains au lait. L'histoire reprend cinq ans plus tard à la faveur de deux évènements : la sortie d'un roman intitulé " Le cimetière de la Madeleine " défendant la thèse de l'évasion de Louis XVII ».
En lien avec la Procure de Lyon.
« La Constance de la louve » de Cécile Baudin publié aux Presses de la Cité nous emmène en Lozère pendant l'hiver 1835.
" Un étudiant en médecine est découvert mort devant l'asile d'aliénés qui l'accueillait en formation. Il se serait perdu dans la tempête de neige qui faisait rage la nuit précédente. Mais le juge de paix de Saint-Alban, par ailleurs lieutenant de louveterie, s'interroge sur l'étrange décès. Aidé par une infirmière de l'asile, il met au jour une série d'incohérences, et d'indices troublants. La piste encore fraîche le mène jusqu'au canton voisin où il déterre d'autres mystères, plus anciens, plus obscurs, qui impliqueraient des notables.
En ce début de XIXe siècle, dans une ruralité où les progrès scientifiques et technologiques se font attendre, l'ombre de la bête du Gévaudan plane toujours sur les monts de la Margeride.
Mais n'y aurait-il pas pire prédateur qu'elle ? "
Le tome 7 de la série de BD du Réseau Papillon est sortie. Nicolas Otéro, dessinateur, nous rappelle le contexte de l'histoire de ces jeunes résistants qui se battent pour défendre la Liberté.
« Automne 1942 : l’étau se resserre autour du peuple juif. Alors que les rafles débutent en France, la famille d’Edmond est arrêtée. Lui n’échappe que de justesse aux policiers… C’est une course contre la montre qui est lancée pour saboter le voyage et sauver les siens. Avec ses amis du Réseau Papillon, Edmond tentera tout pour empêcher leur déportation »
Un BD en lien avec la Procure.
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