Du Blues... Autrement - page 2

Agréable, entrainante, surprenante, bizarre, parfois : la musique du groupe Electric Light Orchestra.

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Pas nécessairement un genre de musique, mais un genre de danse inspirée par le rock’n’roll : l’entrainant twist.

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C’est un seul nom qui sera sur les lèvres de tous quand on parle de rock’n’roll– celui d’Elvis Presley.

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Des standards de Noël plus anciens ou plus neufs pour une édition de fête !

Des talents de compositeur, une voix uniquement mélancolique et une guitare incisive, souple, chantante : c’est Mark Knopfler.

Avec leurs harmonies chorales riches, leurs guitares sonores, et l’écriture finement ouvragée de Paul Simon, voilà Simon & Garfunkel.

The Who, l’un des groupes les plus innovateurs et puissants du rock britannique et, en tant que tel, fiers et dignes successeurs de l’ancien blues.

Fondé par deux discophiles et historiens du blues, Alan Wilson et Bob Hite, précisément pour promouvoir l’intérêt pour le blues et ses artistes originaux, c’est Canned Heat sur RCF.

Racontant des histoires qui créent un monde aussi réel que fantastique, les chansons de Creedence Clearwater Revival ont de la vigueur, du lyrisme, de la mélancolie.

Queen n’a pas joué du blues ; ils ont même délibérément tenté, surtout au début de leur carrière, de se débarrasser de son influence. Mais justement parce que le blues est celui qui a fait naitre nombre d’autre genres, ils ont enregistré, ici et là, une chanson dans ce style.

Une musique qui a l’essence du blues, l’expression personnelle d’un artiste enraciné dans un passé qu’il honore tout en étant un visionnaire : John Mayall and the Bluesbreakers.

Le groupe vocal proéminent de la Californie des années 1960s, The Mamas & the Papas ont fait une musique construite autour des harmonies radieuses sur une solide base folk.

a crème de la crème », à savoir Cream, car parfois oui, il y a bien quelque chose dans un nom.

Quatre concerts complets en moins d’une heure ? Ça ne peut être que Cream.

O fortuna, velut luna, statu variabilis… o, fortune, comme la lune, changeante quant à l’état, dit Carl Orff dans ses Carmina Burana. C’est donc une édition qui parlerait d’un autre des thèmes favoris du blues, la (bonne ou la mauvaise) chance.

Au début, les bluesmen voyageaient fréquemment d’une ville à l’autre, à la recherche de meilleures conditions de vie. Dans leur musique, les villes étaient concrètes ou des métaphores de l’âme, c’est-à-dire des endroits à vivre ou des symboles de la tristesse ou de la joie.

Du blues chrétien, avec même des chansons qui parlent de la Résurrection.

Des chansons assez lentes, méditatives, chargées d’une émotion sinon sobre, au moins tranquille.