Du Blues... Autrement RCF - page 3
Le blues : cette musique faite par les anciens Afro-Américains pour se soulager de l’effort surhumain sur les plantations, née des profondeurs de l’âme, une musique pour se plaindre, pour s’apaiser, pour rire, pour danser, pour parler de la vie. Aujourd’hui, tout en conservant sa force, sa douceur, sa capacité d’émouvoir, le blues continue à parler de la vie – ses haut et ses bas, amour et humour, entrain et chagrin.
De plus, c’est lui qui a engendré maints d’autres genres musicaux : si vous aimez le jazz, si vous avez virevolté sur du rock’n’roll, si vos enfants écoutent du heavy metal, eh bien, c’est grâce au blues que tout ça se passe. Un voyage qui commence avec le blues, qui y revient après des escales variées, et qui finit avec? L’émission « Du blues… autrement » est là pour vous.
Episodes
- O fortuna, velut luna, statu variabilis… o, fortune, comme la lune, changeante quant à l’état, dit Carl Orff dans ses Carmina Burana. C’est donc une édition qui parlerait d’un autre des thèmes favoris du blues, la (bonne ou la mauvaise) chance.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
- Au début, les bluesmen voyageaient fréquemment d’une ville à l’autre, à la recherche de meilleures conditions de vie. Dans leur musique, les villes étaient concrètes ou des métaphores de l’âme, c’est-à-dire des endroits à vivre ou des symboles de la tristesse ou de la joie.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
- Né pendant la période où les afro-américains étaient encore des esclaves, ce n’est pas étonnant que le blues parle bien souvent de la pauvreté, toutefois sur une musique forte et rythmée, l’image-même de la vie.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
- Mahalia Jackson, Queen, Marc Martel, The Drifters, Lady Gaga… de quoi faire une émission qui vous porte, à travers les sons de la musique blues ou autrement, vers la fête de Noël.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
- Les bluesmen sont des gens comme nous tous. Ils mangent et ils boivent, comme nous tous. Des fois, ils boivent peut-être un peu plus qu’ils ne devraient, et c’est pourquoi dans le dictionnaire blues l’on trouve des termes faisant référence à l’alcool.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
- La Rue Beale à Memphis, Tennessee, était non seulement une importante rue commerciale : elle a attiré nombre d’afro-américains qui y pourraient faire de la musique et acheter des propriétés.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
- Chitlin circuit – le nom générique par lequel l’on appelait les endroits où les musiciens et comédiens afro-américains étaient autorisés de jouer pendant la période de ségrégation raciale.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
- Il y a un siècle, les labels regroupaient sous le terme générique « race record » (« les disques de la race »), toute la musique des afro-américains. C’est pourquoi dans les titres de beaucoup de chansons blues figure ce mot, blues, car il aidait les gens à distinguer le genre qu’ils allaient écouter.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
Killing floor, le plancher-échafaud – un terme pour indiquer, dans le blues, moments difficiles dans la vie, de la survivance, de la société injuste, en dernier des relations entre homme et femme.
Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique- Comme tous les genres musicaux, le blues a son jargon à lui. Killing floor, juke joint, Tin Pan Alley parlent d’un objet, d’un endroit, d’une manière de vivre le blues. Ouvrons ensemble ce dictionnaire et essayer d’y voir plus clair.Droits image: © image d'illustration - Pixabay.com / RCF Sud Belgique
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