Isère Classique RCF - page 5

Grand Maître du piano français, Dominique Merlet explique les exigences auxquelles étaient notamment liées son rôle de professeur, pour transmettre un savoir et ses valeurs.

 

Immensité du compositeur français Jacues Ibert qui rejoint le poète irlandais Oscar Wilde dans sa geôle de Reading pour l'en délivrer de l'effroi.
Une rencontre entre deux astres que nous évoque Eric Rouyer.

La saison 2021/2022 de Musée en musique se termine, Pascale Galliard, sa directrice artistique, nous propose de découvrir quelques moments forts de la saison musicale 2022/2023 de l’auditorium du musée de Grenoble. Pour ce dernier rendez-vous de la saison, elle nous invite à un petit voyage dans le temps sans ligne directrice particulière, sans chronologie, comme si nous feuilletons avec elle au hasard les pages de la programmation.

La pratique de l’improvisation en musique, bien connue dans le jazz, était tout aussi présente dans la musique des XVIIe et XVIIIe siècles. Les instrumentistes à clavier notamment improvisaient tout autant qu’ils jouaient les pièces composées. Mais si l’on a de nombreux témoignages rapportant le talent d’improvisateurs de plusieurs musiciens, ces improvisations n’ont malheureusement pas été conservées, faute de possibilité d’enregistrement. Certaines pièces nous en donnent cependant une idée sonore, parce qu’elles sont composées dans un style improvisé, ce qui indique qu’elles furent peut-être inventées sur l’instant avant d’être retravaillées à l’écrit.

L’un des grands compositeurs de notre époque, Valentin Silvestrov, qui a fui la guerre en Ukraine pour se réfugier en Allemagne a composé une œuvre pour piano Kiev/Berlin pendant son exil que Boris Berman va enregistrer pour le label Le Palais des Dégustateurs chez Louis Jadot à Beaune
L’occasion en attendant ce premier enregistrement mondial de redécouvrir ses Bagatelles.
La première diffusion radiophonique de Kiev-Berlin sera offerte à RCF.

Pascale Galliard, directrice artistique de Musée en musique, revient sur un concert organisé à l'auditorium du musée de Grenoble autour des écrits de Marcel Proust et du compositeur français méconnu Reynaldo Hahn.
Elle nous présente également le dernier concert de la saison de Musée en musique, qui aura lieu le jeudi 2 juin à partir de 12h30 avec la pianiste Sandra Chamoux qui interprétera l’intégrale des « Ephémères » pour piano seul de Philippe Hersant, en présence du compositeur. Un véritable privilège de recevoir en même temps le compositeur et son interprète pour un concert exceptionnel à l'auditorium du Musée de Grenoble.

Marie Demeilliez nous propose une exploration musicale du printemps avec des oeuvres de Le Jeune, Vivaldi, Chédeville, Dandrieu et Boismortier.

Comprendre la dimension d’un musicien (le pianiste Jean-Claude Vanden Eynden) et d’un compositeur pour y importer leur quête dans les doutes liés à l’élaboration d’un grand vin de Bourgogne.

Pascale Galliard, directrice artistique de Musée en Musique nous propose de redécouvrir des musiques des XXe et XXIe siècles en lien avec les concerts programmés à l'auditorium du Musée de Grenoble les 5 et 8 mai prochain.
Au programme de l'émission : "Les 6 danses roumaines" de Béla Bartók, "Celestial mechanics" de Georges Crumb, "Codex Domini" d'Olivier Greif, "How Now" de Philipp Glass et "Piano Phase" de Steve Reich.

Dans le contexte géo-politique qui conduit à l’exil des millions d’ukrainiens, Marie Demeilliez vous invite à écouter quelques mises en musique du psaume 136/137 (Super flumina Babylonis) qui évoque l'exil des juifs à Babylone.

Eric Rouyer, nous replonge dans une époque où sans aucune revendication féministe, ni célébration factice, les femmes illustraient les plus hautes autorités pianistiques qui soient. Un exemple avec Blanche Selva, pianiste corrézienne exemplaire.

Pascale Galliard, directrice artistique de Musée en Musique, nous présente, en musique bien sûr, les concerts du mois d'avril à l'auditorium du Musée de Grenoble.
Au programme : Des œuvres de Beethoven, Fauré, Schoenberg mais aussi un peu de Flamenco !

En ces temps où la guerre en Ukraine préoccupe tous les esprits, Marie Demeilliez s'est souvenue qu’au XVIIe siècle, une époque où la guerre était bien plus présente en Europe, les épisodes guerriers et les batailles étaient devenus des thèmes fréquemment mis en musique.

L'artiste du bon goût nous rend visite dans nos studios de RCF pour une petite promenade de sa discographie.

Pascale Galliard, directrice artistique de Musée en Musique, nous présente les concert des 3 et 10 mars à l'auditorium du musée de Grenoble, avec deux très belles sonates de musique française.

Pascale Galliard, directrice artistique de Musée en Musique nous propose cette semaine un petit survol, entre parodie et hommage, de la contribution de la musique classique à notre musique populaire.

Lors d’une émission précédente, nous avions écouté la musique de compositeurs nés en 1722 qui s’étaient ensuite épanouis dans la 2e moitié du XVIIIe siècle. Aujourd’hui, nous entendrons quelques échos de la vie musicale française et allemande de 1722.

Si l’année 1722 marque l’histoire de la musique occidentale, c’est entre autres parce que cette année-là, le français Jean-Philippe Rameau publie son Traité de l'harmonie.
Cette année là le compositeur qui continue d’être le plus joué est Jean-Baptiste Lully, pourtant mort depuis plus de 3 décennies.
Toujours en 1722, un célèbre claveciniste de la cour, François Couperin, publie son 3e livre de pièces de clavecin.
Et enfin, c'est aussi l’année de la composition de l’un des plus célèbres recueils pour clavier de l’histoire de la musique, le Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach.

Roger-Ducasse, compositeur français rendu invisible par la paresse intellectuelle des interprètes

Dominique Merlet, grand Maître du piano français rend hommage à un immense compositeur complètement oublié : Jean Roger-Ducasse, qui fut le disciple tellement aimé de Gabriel Fauré.

Puisque nous fêtons cette année l’accession de Grenoble au titre de Capitale Verte Européenne, Musée en musique a voulu dédier à la nature sa plus importante manifestation de l’année. Un peu sur le modèle de La Folle Journée de Nantes, La Folle Nuit de Grenoble concentrera en une seule journée et en un seul lieu, l’auditorium du Musée de Grenoble, 5 concerts et une conférence, tous axés sur le même sujet : « Dame Nature ». Comment les compositeurs l’ont-ils évoquée à travers leurs compositions. Samedi 5 février prochain, une partie de la réponse vous sera donnée, avec un premier concert débutant à 11h00 et le dernier à 20h30.

Dans cette émission, Pascale Galliard, directrice artistique de Musée en Musique vous propose un petit florilège de ce que vous pourrez entendre pendant ces 5 concerts.

L'un des grands Maîtres du piano de notre époque relie deux âmes viennoises dans un programme qui suggère que Haydn est plus proche de Beethoven et Schubert que de Mozart. Un disque presque initiatique distingué d'un CD d'Excellence par la très exigeante revue Chrétienne La Nef