Patois

Filou le chat n'est pas rentré au petit matin, son maitre trouve un cadavre de chat dans son verger, l'enterre pensant que c'est Filou mais l'histoire est toute autre...

L'histoire d'un homme qui chiquait, comment donc se procurer du tabac bon marché en Suisse ? Et des chocolats pour l'enfant. Une histoire de douaniers, toujours présents à la frontière.

Une histoire drôle sur le rôle du cheval dans la vie d'une famille paysanne de Saint-Dizier l'Évêque.

Et voici un autre souvenir d'école à Delle : "Un buvard s'il vous plaît". On fait des taches quand on écrit avec un porte-plume ! Le buvard sert donc à éponger l'encre, mais il faut en acheter et ça coûte à l'époque une certaine somme ! Par quoi alors le remplacer ??

D'après un texte de Valérie Bron : apprendre le français en 1927 pour une écolière dont la langue maternelle est le patois, écrire à la plume les pleins et les déliés, réapprendre à écrire de gauche à droite...

Un mystère à l'école de Banvillars : pourquoi donc le "s" sur la porte d'entrée des filles est-il gravé à l'envers ?

"Mon Dieu, je t'aime !" une prière en Patois lue à la fin des obsèques dans les églises. Fin de siason, rendez-vous en septembre.

Au bistro cette fois, l'histoire finit mal comme souvent, autour d'un jeu de cartes avec Albert, le curé, l'instituteur et Léa, la femme de l'Albert...

L'histoire de l'Auguste, ouvrier agricole à Banvillars dans le Territoire de Belfort.

Sur l'école, le médecin, le mariage, la vie quotidienne, le curé ou bien encore le juge...

En Patois cela se dit "les lôvres" et elles avaient de l'importance dans la vie du village. C'était un moment pour se retrouver ensemble, mais elles attiraient aussi des gens de l'extérieur, le ramoneur, des chiffoniers, et même des étrangers racontant leurs voyages et leurs exploits...

En Patois cela se dit "les lôvres" et elles avaient de l'importance dans la vie du village. On parle ici de ce que font les hommes (casser les noix,écosser les haricots, faire des paniers en osier...) et les femmes (tricoter, coudre, filer...) C'est là aussi qu'on se racontait des histoires et des nouvelles du village et des gens alentours...

Avec sept petites blagues : la troupe de théâtre, les pièces de monnaie à l'école, le chirurgien, la conjugaison à l'école, le bouledogue dans la rue, la violence au collège et les 6 mois de prison.

Des souvenirs mais pas que, l'histoire des cuisinières à bois leur fonctionnement, les avantages, les inconvénients, leur place au sein du foyer, etc.

Encore un texte de George Becker : quand plante-on les haricots ? Des querelles de personnes, et la paix qui revient grâce au garde champêtre. Le fameux.

Pour commencer un texte de George Becker et puis pour finir des blagues : la casserole carrée, la belle-mère, l'ivrogne...

Les voeux de la tante Madeleine pour la nouvelle année d'après un texte de Georges Becker : des voeux pour les hommes, les filles, les jeunes mariés, les enfants, les paysans, etc.

Aujourd'hui c'est une histoire drôle sur la fête partonale, plus particulièrement la messe, vue par les yeux d'un enfant : Alexis

Nous sommes à Banvillars c'est les vacances, la neige, la veillée de Noël, la messe de minuit à Bavillers, le retour, la fatigue, les gâteaux, etc.

Lecture d'un texte de Michel Freyburger, patoisant de Belfort sur les métiers d'autrefois dans les villages : le bistrot, le laitier à cheval, le maréchal ferrant, le scieur de bois, le fossoyeur...