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Yves Duteil, "J’ai la vie qui me démange..."
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Yves Duteil, "J’ai la vie qui me démange..."

RCF Haute-Savoie,  -  Modifié le 17 juillet 2023
On connaît tous la chanson qui a fait d'Yves Duteil, l'un des plus grands chanteur français : « J’ai la guitare qui me démange »… Dans cette émission, on découvre, outre le chanteur, l’homme engagé dans la vie citoyenne, l’écrivain, le mari et sa femme Noëlle, le père : l’homme est aussi simple, en apparence, que ses chansons. Un vrai bonheur à écouter.
Daniel Bernard 2018 Daniel Bernard 2018

Comme tous les adolescents durant la fin des années 70, j’ai gratouillé l’une ou l’autre chanson d'Yves Duteil, en essayant de trouver les accords, en regardant, à la télévision, la position des doigts de la main gauche sur le manche de la guitare. Et puis, chemin faisant, le chanteur est devenu incontournable : il devient le nouveau troubadour.
 

Sa chanson Prendre un enfant est élue Meilleure chanson du XX° siècle en 1987 !

Puis l’homme s’est éloigné des micros et des caméras. Il est devenu maire de sa commune, dans la banlieue de Paris, fortement investi et engagé pour une simple affaire de décharge publique. Sans parti, comme on disait à l’époque. Cela a duré de très nombreuses années, avec la réussite à la clé. Aussi est-il resté un chanteur gentil, un peu tranquille, qui avait des paroles pour chacun, mais en des temps où la parole ne suffit peut-être plus.
On aime ou on n’aime pas Duteil, mais on le respecte : il chante en français, il écrit ses textes, ses musiques.

Aujourd’hui, il écrit aussi des livres, et ceux-ci montrent son engagement dans la vie et son sens de la spiritualité. La vie des citoyens de sa commune, la vie des enfants, la vie de son épouse, sérieusement malade il y a quelques années, et sa propre vie qui a failli lui glisser entre les mains…
 

"La spiritualité n'est pas entrée en moi par effraction : j'ai compris qu'elle était déjà là, qu'elle attendait le moment opportun pour me proposer son bras..." 

Comment fait-il ? C’est ce qu’il nous raconte, attablé dans un bistrot genevois, à peine descendu de son train de Paris qui l’amène à Genève pour la signature de son dernier ouvrage : « Et si la clé était ailleurs ? »

 

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