Un livre en écoute - page 18 | RCF

Peintre des âmes et des paysages, René Bazin confie quelques-uns des récits qu'on lui contait, enfant, au coin du feu à l'heure où les ombres s'allongent. Ces anecdotes angevines dont la grâce et le style ont enchanté des générations de lecteurs mêlent histoire locale, tradition orale et merveilleux chrétien. Reflets d'un monde disparu, leur noblesse s'inspirent des idéaux, des joies et des peines d'une vie sociale citadine ou paysanne devenue étrangère aux déracinement de la vie moderne. Un hymne aux forces de l'Esprit.

vision numéro 4 du Scivias et explication. Début du chapitre 4, la vie dans le monastère de Bingen.

Lecture de la troisième vision du livre d'Hildegarde "le Scivias" et explication par la visionnaire. début de la lecture de la quatrième vision.

Hildegarde accepte après bien des luttes intérieures, d'écrire les visions dont elle favorisée. Le pape Eugène III approuve et encourage Hildegarde par courrier et lors d'un concile. Mère abbesse, elle décide de déménager les religieuses trop à l'étroit, dans un monastère sur les bords du Rhin, à Bingen, lieu extraordinairement beau. Elle écrit les biographies des deux saints qui y habitèrent au VIIIème siècle.

Religieuse allemande du XIIème siècle et grande figure de la culture européenne médiévale, Hildegarde de Bingen composa soixante-dix-sept symphonies. Elle est l'auteur génial de livres de visions qui fascinèrent son époque et anticipent plusieurs découvertes des astrophysiciens modernes, et de traité de médecine douce qui font encore autorité...Des milliers de fidèles vinrent écouter ses sermons dans les cathédrales de Mayence, Trèves et Cologne. Des rois, des papes, l'empereur Frédéric Barberousse lui même prétêrent attention aux conseils- ou aux réprimandes - de cette femme inspirée, généreuse pour qui l'élévation spirituelle allait de pair avec la passion du savoir.

Ce que laisse le père Jacques; rôle de sa soeur Rosline dans les pas de son frère; Guérison miraculeuse; Prix père-Jacques-Hamel

Roseline Hamel témoigne de sa difficulté à accepter la façon dont est mort son frère, assassiné; sa difficulté à "partager" son frère et en même temps, elle reconnait humblement que celui-ci est au Christ, à l'Eglise.

Roseline explique que Jacques était bouleversé par la mort de sa mère, à quel point il était un très grand snsible et incapable de dire ses émotions pour ne peser sur personne. Elle nous explique son sacré caractère; l'importance de sa famille pour lui. Lors de son arrivée à Cléon, ses paroissiens ont été d'un très grand soutien. Le père Jacques n'a pas voulu prendre sa retraite afin d'être prêtre jusqu'au bout...

Nous suivons Roseline dans son émancipation, dans la fuite de chez son père pour vivre avec sa mère, dans son apprentissage de la coiffure, dans son mariage, ses vacances chez son frère avec sa famille...Et puis Jacques, passant de clocher en clocher, de presbytère mitheux en presbytère mitheux...Toujours accompagné de sa maman qu'il se refuse à voir vieillir et malade.Celle-ci va mourir et lui nie l'évidence.Ce sera très douloureux pour lui de voir mouri sa mère.

Fin du récit du martyr puis découverte de l'enfance difficile, le divorce des parents, la séparation de Jacques et de sa soeur pendant plusieurs années. Jacques entre au séminaire en s'opposant pour la première fois à son père pour se donner à sa vocation qu'il a depuis son enfance.

Dans cette émission, Roseline Hamel, petite soeur du père Jacques Hamel, nous raconte le martyr de son frère le 26 juillet 2016 à saint Etienne du Rouvray, près de Rouen.

Le pape invite les chrétiens au combat, à la vigilence et au discernement. Le mal existe, sachons le voir et ne pas tomber dans ses griffes. Discernons dans la lumière du Seigneur, pour un don total et généreux.

Le pape nous invite à vivre de la joie du Christ, à rechercher l'intimité avec Lui, à être des témoins de sa joie, jusque dans les périphéries où le Christ nous précède.

Le pape nous invite à suivre le Maître dans la fidélité; nous invite à faire attention aux idéologies qui mutilent le coeur de l'Eglise et à recevoir la Miséricorde de Dieu pour en vivre dans l'endurance, la patience et la douceur.

Le pape François commente avec les simplicité les Béatitudes, règle de vie du saint que nous sommes tous appelé à être.

Le pape fait une rapide présentation de deux ennemis subtils à la sainteté: le gnosticisme actuel et le pélagianisme actuel. Pour le premier, c'est tout expliquer, tout renfermer et réduire Dieu à une explication. Pour le second, c'est mettre la volonté comme unique moyen de sanctification, sans laisser la grâce agir. Heureusement...un saint est jugé sur sa "foi opérant par la charité". "Celui qui aime autrui a de ce fait accompli la loi. La charité est donc la loi dans sa plénitude"

le pape François nous invite personnellement à ne pas avoir peur de désirer la sainteté puisqu'elle est ce qu'il y a de meilleur pour nous conformément à ce que Dieu veut pour nous ! Il nous invite à vivre pelinement dans notre situation personnelle, dans notre état de vie propre à accueillir le royaume de Dieu afin d'être un réceptacle de sa joie. Le premier chapitre est rempli de joie, d'élan simple vers l'Amour.

André raconte la conversion d'un de ses collègues du journal...Puis un soir, avec son ami Willemin, il part dîner...Mais sur la route, son ami s'arrête dans une chapelle pour faire ce qui prend beaucoup de temps aux chrétiens...Impatient, André entre dans cette chapelle...

Nous suivons l'évolution de monsieur Frossard père au fauteuil ministériel et celle de andré, fils, d'un journal à l'autre, dans des postes de bases, chargé de recenser les crimes et les suicides. Il fait la rencontre d'un jeune homme de quelques années son aîné qui devint comme un grand frère. Puis voilà la conversion dont nous ignorons encore les circonstances, mais André Frossard raconte l'après, l'état de grâce qui a fait s'inquiéter des parents...

Le jeune André nous emmène dans les raisons que le parti socialiste avait de rejeter la religion, la foi en une autre personne que l'homme qui vit par et pour la collectivité. Elève de primaire brillant, il entra au lycée mais le décalage de milieu social fût tel qu'André Frossard fut plus assidu aux lectures sur les bancs publics qu'aux cours...il parti donc développer son art du dessin mais là aussi il déserta les cours. André Frossard était alors désintéressé de tout sauf de lui et son cas devint désespéré aux yeux de ses parents.