Le traumatisme de l’entrée à l’école
En partenariat avec 1001mots
La fondation d'entreprise du groupe ADP a pour objet d'accompagner les actions visant à développer, soutenir et promouvoir la lutte contre l'illéttrisme en France métropolitaine, dans les DOM-TOM et dans le monde.
La Fondation du d'entreprise du groupe ADP souhaite, en partenariat avec RCF, soutenir une émission de radio qui traite de la question de l'illéttrisme et qui participe à sa prévention par le biais de chroniques, émissions, interviews et reportages...
Après 3 saisons d'émissions Livre comme l'air réalisées par Véronique Macary avec la collaboration de l'association Lire pour en sortir, qui agit en milieu carcéral, RCF s'attache cette année à la petite enfance.
Chaque semaine, retrouvez Florent de Bodman ou Nathalie Encinas pour décrypter l'actualité touchant à la petite enfance et relayer les actions de 1001mots.
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En partenariat avec FONDATION D'ENTREPRISE DU GROUPE ADP
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C'est une histoire qui a compté pour moi : elle m’a fait comprendre que l’éveil des bébés peut changer le cours de leur vie.
Les parents sont souvent demandeurs de conseils. J’ai banni de mon vocabulaire professionnel le mot : conseil. Car qui suis-je pour dire aux parents que faire avec leur enfant ? Explique Nathalie Encinas dans la chronique 1001 mots sur RCF.
Ce matin dans la chronique 1001 mots sur RCF je voudrais commencer par un chiffre déprimant : si un bébé naît dans une famille qui gagne un SMIC, il a quatre fois moins de chances d’être gardé dans une crèche que s’il naît dans une famille riche.
Il y a deux mois, ma femme et moi nous avons eu un deuxième enfant. Aujourd’hui, nous sommes à la fin du congé maternité, donc nous pensons beaucoup au mode de garde de notre bébé. Nous avons la chance d’avoir trouvé une solution pour les prochains mois grâce à une crèche à côté de chez nous...
Ce matin, je voudrais commencer avec un petit quiz pour nos auditeurs. Parmi les familles qui ne gagnent pas plus qu’un SMIC, combien ont une place en crèche pour leur enfant ? D’après vous, est-ce que c’est 5 % de ces familles, ou bien 15 %, ou bien 30 % ?
Lorsqu’on a un bébé pour la première fois, on se pose énormément de questions et il arrive alors qu’on rencontre certaines bonnes fées dont je voudrais vous parler ce matin. Ces bonnes fées, ce sont les puéricultrices de PMI.
Alors, on profite de cette matinale pour refaire passer le message aux futurs papas qui travaillent : vous avez tous droit à un mois de congé paternité bien rémunéré !
Ce matin dans la Chronique 1001 mots, on vous parle de ce que vivent les jeunes papas, avec une question : faut-il être pour ou contre le congé paternité ? Moi, j'y suis extrêmement favorable, mais ce n’est pas le cas de tout le monde en France.
Dans ma pratique, je rencontre beaucoup d’enfants de moins de 3 ans bilingues. Je constate que des parents n’osent pas parler leur langue familiale à leur enfant, que certains pour parler dans leur langue chuchotent ou n’osent pas nous le dire. Car il y a encore la crainte que nous leur reprochions.
À 1001 mots, nous offrons des livres aux bébés et aux parents, mais quelle idée de proposer des livres à des enfants qui ne savent pas lire !
Pourquoi parler à un enfant qui ne parle pas ? L’origine du mot enfant vient du latin infans : celui qui ne parle pas. Alors oui, le bébé ne parle pas, mais il va le faire. Car l’enfant est équipé pour cela, son cerveau est déjà organisé à la naissance et même avant (son cerveau est prêt) pour parler, mais il faut lui parler. In utero : il entend dès la 26ᵉ semaine de grossesse, il entend la musique de la langue. À la naissance, le nouveau-né reconnaît la voix de sa mère parmi d’autres voix féminines.
Une étude récente nous dit que les 2/3 des enfants de 2 ans regardent la télévision tous les jours. Énormément de parents donnent aussi leur smartphone à l'enfant, par exemple pour regarder des comptines sur YouTube.