Un pas vers l'autre

" …Le bonheur, c’est tout petit, Si petit que parfois on ne le voit pas, Et on le cherche dans le béton, l’acier, la fortune, Mais le bonheur n’y est pas, Ni dans l’aisance ni dans le confort… On veut se le construire mais il est là, À côté de nous, et on passe sans le voir. Car le bonheur est tout petit. Petit comme nos yeux pleins de lumière. Et comme nos cœurs pleins d’amour. Il ne se cache pas, C’est là son secret. Il est là, près de nous Et parfois en nous. "


Cette semaine dans " Un pas vers l'autre ", Maroun Khoury, nous propose un bref rappel de la vie de Sainte Mère Térésa de Calcutta, suivi de son poème sur le Bonheur.

Cette semaine dans Un pas vers l'autre, Mgr Syméon, Père abbé du monastère orthodoxe de St Silouane à St Mars de Locquenay, se penche sur le commandement de Dieu : " Ne jugez pas ". Peut-être l'un des plus difficile a respecter. C'est pourtant se que nous invite à faire cette semaine, Mgr Syméon, à prier pour ceux et celles qui sont tombés dans le péché, à les couvrir du manteau de la miséricorde. Bref à avoir un cœur miséricordieux.

PLus d'explications avec Lionel Minard, pasteur de l’Église Baptiste du Mans.

" Que brûlent les oppressions ! ". Voilà ce qui est inscrit en tag devant le temple d'Angers en ce mois de mai 2023. Est-ce violent ou est-ce un message d'Evangile ?

" Il faut ", une injonction pas vraiment dans l'air du temps, pas très en phase avec les préoccupations et les envies de notre époque. Mais que l'on retrouve bien souvent dans la bible, et notamment dans la bouche de Jésus. L'occasion pour le pasteur Lionel Minard, de l’Église Baptiste du Mans de revenir sur cette injonction, et surtout sur le fait qu'il nous faut faire la volonté de celui qui nous a envoyer, de faire la volonté du Père Céleste.

Au troisième jour de son voyage slovaque, le Pape François a célébré, le mardi 14 septembre 2021, une Divine Liturgie selon le rite byzantin de saint Jean Chrysostome à Presov, en Slovaquie orientale, troisième plus grande ville du pays.

Commentaire du père André Lossky, professeur de théologie liturgique à l'Institut Saint-Serge de Paris :

https://www.vaticannews.va/fr/eglise/news/2021-09/voyage-pape-slovaquie-liturgie-saint-jean-chrysostome.html

Dans un monde où de plus en plus on parle pour ne rien dire, écoutons-nous vraiment, ou ne faisons-nous qu'entendre ?

Saroug est, aujourd’hui, une ville de Turquie, frontalière de la Syrie. Jacques de Saroug est né vers 450 et mort, sans doute, en 521. Il est célèbre pour ses nombreuses homélies versifiées, il s'agit de suites plus ou moins longues de stances de quatre vers de douze syllabes ; une forme poétique qui fut qualifiée de " sarougienne " ; sortes de récitatifs épiques qui furent intégrés à la prière liturgique. Il est surnommé " la flûte du Saint-Esprit " et la " Harpe de l'Eglise ".

Formé à l'école d'Edesse, en Mésopotamie, (de nos jours, Urfa en Turquie), Jacques de Saroug devint évêque de l'Eglise en 519. Devant les disputes théologiques qui déchiraient son époque, il ne rêvait que de : " se munir d'ailes spirituelles et s'envoler vers le ciel, l'endroit où le mystère peut être adoré dans l'étonnement, le respect et le silence ".

Christ est ressuscité, et c'est une bonne nouvelle ! Comme nous le rappelle cette semaine le pasteur Lionel Minard, pasteur de l'Église Protestante Baptiste du Mans.

Et si on parlait de vocation, des vocations dans l'Église ? C'est ce que vous propose de faire ce soir Mgr Syméon, Père abbé du monastère orthodoxe de St Silouane à St Mars de Locquenay.

Pouvons-nous dire que nous ne savons pas, que nous ne voyons pas, que nous n'entendons pas ce qu'il faut faire dans ce monde aujourd'hui ?

Début de réponse avec Sophie Ollier, Pasteure de l’Église protestante unie de France pour la Sarthe.

En cette période de Carême, le pasteur Lionel Minard de l'Église Protestante Baptiste du Mans, nous invite à nous replonger dans le livre des lamentations de Jérémie, un livre encore trop souvent méconnu.

Né à Alep il y a plus de 53 ans, après être entré au Séminaire de Charfet, au Liban, formation en théologie et liturgie, il entre dans la Communauté monastique syrienne de Deir Mar Musa Al-Habashi, dont il est le co-fondateur. Il y prononce ses vœux le 20 juillet 1993, puis le 28 août il est ordonné prêtre et incardiné dans l’Archéparchie de Homs des Syriens. De 2000 à 2015, il a été responsable du couvent de Mar Elian et de la paroisse de Qaryatayn. Enlevé par les islamistes de DAECH, en mai 2015, et libéré au bout de 5 mois, il est resté dans les succursales des monastères de Cori (Italie) et Sulaymanyah (Irak). De retour en Syrie en 2020, il était jusqu’à présent vice-supérieur et économe de la Communauté de Mar Elian.

Le Père Jacques Mourad nous invite à signer cette pétition et à la partager le plus largement possible : Stop sanctions on Syria https://chng.it/NyLR8ngX

« Un moine en otage. Le combat pour la paix d’un prisonnier des djihadistes », Jacques Mourad, Amaury Guillem, Editions de l’Emmanuel.

Vatican News (avec Fides) 03 mars 2023, 17:35)


Le nouvel archevêque de Homs, dans sa nouvelle mission au service du Christ et de l’Église, continuera d’œuvrer pour la pacification de son pays natal, en s’appuyant sur la grâce de Dieu. «J'ai aussi besoin, écrivait-il dans le livre-témoignage où il raconte les mois de cohabitation forcée avec les djihadistes, de répéter à chaque instant mon abandon absolu entre les mains du Seigneur, j'ai besoin d'accepter que je ne contrôle rien, j'ai besoin de crier vers lui pour qu'il me sauve : "Seigneur Jésus, aie pitié de moi, pécheur !". Cette demande de miséricorde est la seule réalité immuable de notre vie. Un jour, tout aura une fin, même nos plus belles œuvres, même nos plus belles vies, tout aura une fin pour l'homme, sauf le besoin de la miséricorde divine : nous aurons toujours besoin d'être sauvés par Dieu».

Le Carême est une période très importante dans la vie de tous les chrétiens, l'occasion pour chacun et chacune d'entre-nous de nous repentir. Comme nous le rappelle aujourd'hui l'Archimandrite Syméon, Père abbé du monastère orthodoxe de St Silouane à St Mars de Locquenay.

Cette semaine dans Un pas vers l'autre, le pasteur Lionel Minard de l'Église Protestante Baptiste du Mans nous invite à " Semer la parole de Dieu, la parole de vie ".

Fêté le 9 février selon le calendrier Catholique Maronite et le 14 février, selon le calendrier Orthodoxe. Le Liban populaire et officiel célèbre chaque année le souvenir de Maroun, un Saint ermite qui vécut au IV ème et au début du V ème siècle, en Syrie du Nord, et dont les disciples (appelés les maronites), après avoir élu domicile, au Liban et au Moyen-Orient, ont essaimé, depuis, dans le monde entier.

Saint Maroun a vécu et rayonné avant qu’éclatent les divisions entre les chrétiens, en Orient comme en Occident. Notamment avant le Concile de Chalcédoine, en 451, qui a défini les deux natures de Jésus-Christ, divine et humaine. Saint Maroun est vénéré autant par l’église catholique que par l’église orthodoxe. Au-delà de la séparation douloureuse survenue entre le catholicisme et l’orthodoxie en 1054, nous constatons que Saint Maroun est un Saint « œcuménique » dont le témoignage de vie est reconnu par l’église universelle.

Pour aller plus loin :


Théodoret de Cyr | Sources Chrétiennes

MARONITE HERITAGE

Fresques Médiévales du Liban - Arefml | Facebook

https://www.facebook.com/LaFondationMaroniteDansLeMonde

Retrouvez " Un pas vers l'autre ", cette semaine en compagnie de l'Archimandrite Syméon, Père abbé du monastère orthodoxe de St Silouane à St Mars de Locquenay. Mgr Syméon qui s'interroge aujourd'hui sur ce que devrait-être une communauté Chrétienne.

Comment je construis ma vie, mes pensées, ma foi ? Selon un plan ? Ou selon un chemin ?

Traditionnellement, le début d'année c'est la période dite des vœux. Des vœux que nous faisons parfois de façon un peu mécanique, par politesse, par habitude. Mais au lieu de faire des souhaits aux autres, ne devrions-nous pas plutôt prier pour eux, bref a transformer nos paroles en prières. Le pasteur Lionel Minard, de l'Église Protestante Baptiste du Mans nous dit pourquoi, cette semaine sur RCF Sarthe.