Halte spirituelle

On dit que le diable se cache dans les détails quand une broutille est susceptible de mettre en péril un projet en cours ou une situation quelconque. On pourrait dire exactement la même chose de Dieu, à ceci près que Dieu ne met rien en péril ! Au contraire, c'est souvent dans les trois fois rien de la vie ordinaire qu'il s'invite, apportant un supplément de vie, un souffle léger.

Véronique Alzieu reçoit le Père Raphaël Buyse, prêtre du diocèse de Lille, membre de la Fraternité diocésaine des parvis, auteur de "Rikiki tutti - Ou la saveur secrète du trois-fois-rien" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).

Le scandale des indulgences n'est pas seulement celui de l'argent : il est aussi celui nos liens aux morts. Sortir d'un attachement négatif qui nous rend esclave pour être en communion, voilà à quoi est invité le chrétien.

Le purgatoire, ce n'est pas l'antichambre de l'enfer, c'est déjà le moment de l'amour de Dieu. C'est goûter l'amour définitif, en acceptant ce qui doit être mis en lumière, en vérité. Père Paul Denizot au micro de Madeleine Vatel.

L'Eglise expliquent en s'appuyant sur la Bible, que nous sommes appelés à nous laisser transformer. Durant toute notre vie...et dès la mort. Que veut dire ce temps de purification ? Les explications avec le père Paul Denizot.

Après la mort, l'Eglise catholique affirme qu'il y a le purgatoire. Personne n'en est revenu, alors sur quoi s'appuie t-elle pour en parler ? Cinq épisodes pour revenir sur cette rencontre avec soi-même et le Christ. Père Paul Denizot, recteur du sanctuaire de Montligeon et auteur du livre "le purgatoire dans tous ces états", aux editions des Béatitiudes revient sur ce temps de miséricorde.

On dit que le diable se cache dans les détails quand une broutille est susceptible de mettre en péril un projet en cours ou une situation quelconque. On pourrait dire exactement la même chose de Dieu, à ceci près que Dieu ne met rien en péril ! Au contraire, c'est souvent dans les trois fois rien de la vie ordinaire qu'il s'invite, apportant un supplément de vie, un souffle léger.

Véronique Alzieu reçoit le Père Raphaël Buyse, prêtre du diocèse de Lille, membre de la Fraternité diocésaine des parvis, auteur de "Rikiki tutti - Ou la saveur secrète du trois-fois-rien" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).

On dit que le diable se cache dans les détails quand une broutille est susceptible de mettre en péril un projet en cours ou une situation quelconque. On pourrait dire exactement la même chose de Dieu, à ceci près que Dieu ne met rien en péril ! Au contraire, c'est souvent dans les trois fois rien de la vie ordinaire qu'il s'invite, apportant un supplément de vie, un souffle léger.

Véronique Alzieu reçoit le Père Raphaël Buyse, prêtre du diocèse de Lille, membre de la Fraternité diocésaine des parvis, auteur de "Rikiki tutti - Ou la saveur secrète du trois-fois-rien" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).

On dit que le diable se cache dans les détails quand une broutille est susceptible de mettre en péril un projet en cours ou une situation quelconque. On pourrait dire exactement la même chose de Dieu, à ceci près que Dieu ne met rien en péril ! Au contraire, c'est souvent dans les trois fois rien de la vie ordinaire qu'il s'invite, apportant un supplément de vie, un souffle léger.

Véronique Alzieu reçoit le Père Raphaël Buyse, prêtre du diocèse de Lille, membre de la Fraternité diocésaine des parvis, auteur de "Rikiki tutti - Ou la saveur secrète du trois-fois-rien" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).

On dit que le diable se cache dans les détails quand une broutille est susceptible de mettre en péril un projet en cours ou une situation quelconque. On pourrait dire exactement la même chose de Dieu, à ceci près que Dieu ne met rien en péril ! Au contraire, c'est souvent dans les trois fois rien de la vie ordinaire qu'il s'invite, apportant un supplément de vie, un souffle léger.

Véronique Alzieu reçoit le Père Raphaël Buyse, prêtre du diocèse de Lille, membre de la Fraternité diocésaine des parvis, auteur de "Rikiki tutti - Ou la saveur secrète du trois-fois-rien" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).

On dit que le diable se cache dans les détails quand une broutille est susceptible de mettre en péril un projet en cours ou une situation quelconque. On pourrait dire exactement la même chose de Dieu, à ceci près que Dieu ne met rien en péril ! Au contraire, c'est souvent dans les trois fois rien de la vie ordinaire qu'il s'invite, apportant un supplément de vie, un souffle léger.

Véronique Alzieu reçoit le Père Raphaël Buyse, prêtre du diocèse de Lille, membre de la Fraternité diocésaine des parvis, auteur de "Rikiki tutti - Ou la saveur secrète du trois-fois-rien" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).
 

Comment les théologiens contemporains se saisissent de la question de la compassion de Dieu ? Les souffrances perpétrées aux plus vulnérables interogent aussi aujourd'hui sur ce que Dieu vient consoler.

Dieu souffre-t-il avec nous ? Depuis la Shoah et l'horreur de la seconde guerre mondiale, la représentation de Dieu a changé.

Dieu tient-il compte de la vie des hommes sur terre...ou vit-il loin de nous, loin de nos souffrances ? Au micro de Madeleine Vatel, le théologien Michel Fédou part dans le nouveau Testament pour chercher des signes que Dieu nous aime.

Quand nous souffrons, nous ne percevons pas que Dieu nous aime. Son silence apparait comme un abandon. Et pourtant. Le père Michel Fedou vient nous redire, comme dans le Livre de Job, Dieu est là, et de toute éternité. C'est ce qu'il appelle le "saut dans la foi".

Dieu tient-il compte de la vie des hommes sur terre...ou vit-il loin de nous, au-dessus des nuages ? Au micro de Madeleine Vatel, le théologien Michel Fédou remonte la pensée philosophique et chrétienne pour essayer de saisir comment notre image de Dieu a changé. Dieu n'est pas impassible, il est présent en tout ce qui concerne la vie des hommes.

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus de vie.

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus de vie.

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus de vie.

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus de vie.

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus de vie.