Halte spirituelle

Les indulgences renvoient, dans la pensé collective, au commerce des indulgences qui a suscité l’indignation de Luther et provoqué la Réforme au XVIème siècle. Mais les indulgences existent toujours, elles ont un sens spirituel et elles sont particulièrement liées au pardon et à l’année jubilaire. Une indulgence consiste à recevoir une grâce pour réparer les marques que le péché a laissé en nous et autour de nous. Quand Dieu nous accorde son pardon, il rétablit avec nous la relation. Mais il nous demande de réparer, dans la mesure du possible, en nous et autour de nous, ce que le péché a blessé, telle relation abîmée, tel élément matériel qui aurait, lésé l’autre, etc.

Le sacrement de réconciliation est un signe posé à un moment précis. mais un sacrement n’est pas magique : il implique un vrai désir de changement de la part de celui ou celle qui demande pardon. C’est un sacrement donc il est célébré par l’Eglise. Cela signifie que nous avons besoin d’un autre pour recevoir le pardon de Dieu. L'intervention d'un tiers me rappelle que le péché blesse toujours le corps de l’Eglise et qu'il y a une dimension sociale associée au péché.

Le pardon n'est pas un remède à toute situation de mal. On peut subir un mal dans sa vie sans qu’il y ait quelque chose à pardonner à quelqu’un. En régime chrétien, on pardonne le péché. Le péché implique un acte volontaire. Quand il n’y a pas acte volontaire, il s’agit plus de faire miséricorde à celui qui a été vecteur du mal que de lui pardonner. Faire miséricorde signifie reconnaître le mal subi et nommer celui qui en a été vecteur, y compris auprès de la justice dans les cas les plus graves.

Jésus demande à ses disciples d’avoir une attitude radicale à l’égard du pardon en demandant de pardonner de tout son coeur. Mais sa manière de vivre éclaire cette parole. Sur la croix, il ne dit pas « je vous pardonne » à des bourreaux. Il dit « Père, pardonne-leur ». Cela aide à sortir de l’interrogation parfois sans fin pour savoir si nous avons pardonné aux autres de tout notre coeur, notamment ce qui est très grave.
Alors pourquoi ne pas le remettre Père?

Le retour d'un temps fort, d'un pélerinage est chargé de souvenirs...mais aussi d'attente. Comment retrouver son quotidien, tout en laissant infuser ces découvertes spirituelles ? Le père Jean-Yves Ducourneau y répond.

"Tu vas faire quoi là-bas ?". Celui qui pose cette question interroge le "là-bas" étonnant qu'est la messe, ou le pélerinage vers un sanctuaire. Car la vie spirituelle est un pélerinage permanent qui interroge ceux qui nous entourent. Marcher, écouter, rencontrer, permet de s'engager une démarche intérieure.

Pourquoi sortir de ses habitudes peut-il nous permettre de retrouver la liberté ? Ce qui compte dans le pélerinage, c'est le but, c'est d'avoir le désir de Dieu. Parfois cela passe par les obstacles.

Qu’est ce qui fait notre inspiration, notre respiration ? Pour le retrouver, il y a le pelerinage. Marqué au tout début par le rituel de la bénédiction. Le père Ducourneau nous dira combien il est important que chacun "se sente bien avec Dieu, quelle que soit son histoire, car pour Dieu, c’est toujours une histoire sacrée".

Pourquoi le pèlerinage n’est pas un rite d’un autre temps, mais une expérience qui peut nous bousculer, même aujourd'hui ? Sortir de ses habitudes, reconnaitre qu’on a envie de rejoindre Dieu, et oser rencontrer d’autres personnes qui ont le même désir : voilà comment l’ancien aumonier militaire, le père Jean-Yves Ducourneau, décrit le pèlerinage.

Pendant le carême, il est recommandé d'accorder un peu plus de temps et de place à la prière. D'autant plus en cette année jubilaire, où nous pouvons nous interroger sur notre vie de foi et nos pratiques, pour faire un bilan et chercher ce qui est pour chacun un chemin de vie.

Pendant le carême, il est recommandé d'accorder un peu plus de temps et de place à la prière. D'autant plus en cette année jubilaire, où nous pouvons nous interroger sur notre vie de foi et nos pratiques, pour faire un bilan et chercher ce qui est pour chacun un chemin de vie.

Pendant le carême, il est recommandé d'accorder un peu plus de temps et de place à la prière. D'autant plus en cette année jubilaire, où nous pouvons nous interroger sur notre vie de foi et nos pratiques, pour faire un bilan et chercher ce qui est pour chacun un chemin de vie.

Pendant le carême, il est recommandé d'accorder un peu plus de temps et de place à la prière. D'autant plus en cette année jubilaire, où nous pouvons nous interroger sur notre vie de foi et nos pratiques, pour faire un bilan et chercher ce qui est pour chacun un chemin de vie.

Pendant le carême, il est recommandé d'accorder un peu plus de temps et de place à la prière. D'autant plus en cette année jubilaire, où nous pouvons nous interroger sur notre vie de foi et nos pratiques, pour faire un bilan et chercher ce qui est pour chacun un chemin de vie.

Pendant le carême, il est recommandé d'accorder un peu plus de temps et de place à la prière. D'autant plus en cette année jubilaire, où nous pouvons nous interroger sur notre vie de foi et nos pratiques, pour faire un bilan et chercher ce qui est pour chacun un chemin de vie.