Chaque jour, dans la matinale RCF, la parole est donnée à un membre de l'Église catholique ou de l'Église protestante.
Le mois de janvier vient de s’achever et avec lui le Dry January. Chaque année, de nombreuses personnes tombent dans le fléau de l'addiction. Vouloir s’en sortir est un acte héroïque. Benoist de Sinety invite à assumer son combat car personne n’est seul dans une épreuve d'une vie.
Derrière le mot pouvoir se cache en réalité une fragilité: celle d’exercer seul. Pour un enfant issu de la protection de l’enfance, l’autorité est au service de son cadre de vie. A travers l’évangile de Marc, Elisabeth Wallbaum s’interroge sur l’autorité comme un service plutôt qu’un pouvoir.
C'est sans doute l'un des pires désastres apportés par la modernité : la complexification considérable des formalités administratives. Aujourd'hui, Benoist de Sinety s'insurge de l'étouffante complexité administrative qui partout nous entoure.
C'est une voix qui sera désormais dans les tribunes chrétiennes du lundi. Cyrille Payot est pasteur au sein de la paroisse de l'Eglise protestante unie du Cognaçais. Pour sa première chronique, il nous parle de l' importance de l' unité des chrétiens.
La nouvelle ministre de l'Education Amélie Oudéa-Castéra est actuellement empêtrée dans de fragiles justifications autour de la scolarisation de ses enfants au sein de l'école privée Stanislas à Paris. Benoist de Sinety réagit à la polémique qui bouscule l'établissement hors-contrat.
Nous sommes aujourd'hui le 15 janvier. C'est aujourd'hui le Blue Monday, journée considérée comme la plus déprimante de l'année. S'il n'y a pas de statistiques officielles qui justifient le choix de cette date, le contexte s'y prête : météo défavorable, les fêtes de fin d'année sont loin et les bonnes résolutions de début d'année faiblissent. Ce jour est aussi l'occasion de parler de la solitude qui frappe massivement en France. Elisabeth Walbaum appelle à se soucier des sept millions de français qui souffre chaque année de l'isolement.
A l'Education Nationale, Gabriel Attal a imprimé sa marque. Mais pour Benoist de Sinety, si cette manière de procéder n'est qu’une stratégie de communication, les conséquences pourront être désastreuses. Car de Matignon aux couloirs du Vatican, l'action doit toujours être préférée à la communication. Dans l'Eglise, preuve en est avec la publication de Fiducie Supplicans, texte dans lequel le Saint-Siège autorise la bénédiction des couples homosexuels.
En ce début du mois de janvier, c'est le retour des traditionnelles bonnes résolutions que l'on se promet de tenir chaque année. Faire plus de sport, passer plus de temps avec sa famille etc... Un français sur trois aurait pris une ou plusieurs bonnes résolutions pour l'année 2024 selon un sondage de Statista. Elisabeth Walbaum revient sur l'importance de bien choisir ces résolutions.
Pour 2024, est-il possible de souhaiter que les propagateurs de peurs se fassent artisans de paix, que nous puissions parler, dialoguer échanger, histoire de sortir d’une politique névrotique où seules comptent la communication et la réaction à l’évènementiel ? Possible aussi de souhaiter que ceux qui se recueillent devant une crèche n’oublient jamais qu’ils y contemplent des pauvres et des futurs migrants ? Benoist de Sinety nous partage ses souhaits pour l'année 2024.
Une petite croix tracée sur le front affectueux d'un enfant avant qu'il n'aille se coucher. Le père ou la mère qui chaque soir pose ce geste sur le petit qui vient lui dire bonsoir, lui rappelle avant que les feux ne s'éteignent de quel amour il est aimé et qui en est la source. Au moment de l'abandon de la nuit, où tous fermeront les yeux, il en est un qui demeure veilleur, dont l'attention et la tendresse ne faiblissent jamais. A quelques jours de Noël , Benoist de Sinety développe l'importance de la bénédiction et sur la loi immigration qui a secouer la France cette semaine.
Aujourd'hui le 18 décembre, c'est la journée internationale des migrants. Alors que la thématique du migrant s'ancre toujours plus dans l'actualité politique, Elisabeth Walbaum rappelle la nécessité de l'hospitalité des ces personnes exilée et déracinée de leur terre natale.
Le lycée privée musulman de Lille a perdu son contrat qui le liait à l'Etat depuis 2008, accusé notamment de dérives religieuses. Alors que la polémique autour la fermeture de cet établissement fait grand bruit, Benoist de Sinety analyse la symbolique de cette décision.
La lumière de Noël nous vient d'une région, loin d'être en paix. Cette année face au contexte géopolitique, la fête de la Nativité ne sera pas comme les autres à Bethléem lieu de naissance du Christ. Aujourd'hui, Marc Schaefer encourage à entretenir cette lumière et à œuvrer pour la paix.
Une maman, tellement fière dans une grande église froide. Une maman dont la fille de cinq ans est baptisée. Benoist de Sinety nous partage aujourd'hui une tranche de vie.
Le titre peut paraître surprenant compte tenu de la période. Cependant, sans la fête de Noël ,il n' y aurait pas de fête de Pâques. Marc Schaefer, revient sur le lien très étroit qui unit ces deux célébrations les plus importantes du calendrier chrétien.
Le "voyage en hiver" de la ville de Nantes a fait grand bruit ces dernières semaines. En cause, des décorations qui vont à l'encontre de l'esprit du Noël chrétien traditionnel. Une volonté de la municipalité de rendre cette fête multiculturel.
L'Avent commence le dimanche 3 décembre. A cette occasion, le pasteur Marc Schaefer revient sur les différentes traditions : entre le Black Friday et les marchés de Noël, il faut retrouver l'esprit de Noël et de Thanksgiving. Et pour cela, rien de mieux que de repartir aux racines historiques.
Il y a des jours où des tas de petites choses ne vont pas comme elles devraient. Mais ce qui console, c'est bien de voir en actes, banal et quotidien, l’Amour qui s’exprime, réconforte et rassure. Et cet amour là, ne passera jamais.
Du 24 au 26 novembre aura lieu la collecte nationale des banques alimentaires. Plus de 110 000 personnes sont attendues pour aider. En 2022, la Collecte Nationale a permis de recueillir l'équivalent de 24 millions de repas. Une œuvre de solidarité nécessaire.
On pense avoir tout vu et puis on est surpris de constater qu’il reste encore tant à contempler... C’est ce que j’aurais pu me dire au sortir de la messe de semaine que je présidais l’autre jour, un soir un peu gris de ce mois de novembre. Dans la rue humide, la lumière de l’intérieur de l’église est un peu, en fin d’après-midi, un petit rayon de joie dans un univers un peu triste. Une petite vingtaine de personnes se perdent dans la grande nef. Il y a les habitués, quelques-unes, vaillantes et efficaces. Il y a ceux sur lesquels on ne mettra jamais de nom car ils sont de passage. Ont-ils entendu le carillon ? Se sont-ils laissés guidés par le trait de clarté qui illumine par-dessous la porte du sas ? Ils sont là. Ils prient. Ils écoutent. Ils célèbrent avec l’Eglise du ciel cette liturgie par laquelle ils croient que Dieu se communique à l’homme et nous donne à nous de communier à Lui.
RCF est une radio associative et professionnelle.
Pour préserver la qualité de ses programmes et son indépendance, RCF compte sur la mobilisation de tous ses auditeurs. Vous aussi participez à son financement !