Depuis deux ans, l’Union européenne a intensifié ses relations avec les différentes familles religieuses pour proposer des dispositifs nouveaux de lutte contre le radicalisme. Elle considère, en effet, que les religions ne sont pas en Europe un problème en soi, car elles proclament et initient la paix, mais au contraire des interlocutrices fondamentales pour trouver des solutions contre la montée du terrorisme.
Les explications de Fabrizio Capogrosso chef de cabinet d’Antonio Tajani, premier vice-président du Parlement européen.
Antonio Tajani, qui aurait dû participer à cette table ronde, a été appelé en dernière minute à Rome. Il a délégué son chef de cabinet, Fabrizio Capogrosso, pour affirmer toute la volonté des parlementaires européens de promouvoir le dialogue avec les religions et d’apporter un socle commun à tous les états de l’Union pour enrayer la montée du radicalisme; La première exigence est de travailler à l’éducation à la paix et à la fraternité.
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