Mercredi 9 février, le Secours populaire d'Antibes a été victime d'un cambriolage. Les dons récoltés par les bénévoles au profit des plus pauvres ont tous été dérobés.
"Voler le Secours populaire, c'est voler les pauvres", déplore Jean Stellittano, le secrétaire général du Secours populaire dans les Alpes-Maritimes.
Dans la matinée du jeudi 10 février, les bénévoles du Secours populaire se rendent au siège d'Antibes, au 53 boulevard Wilson. Ils remarquent que la porte arrière est ouverte. Lorsqu'ils entrent dans le bureau, ils ne peuvent que constater les dégâts : le bureau est renversé, la fenêtre est cassée et l'argent n'est plus là. Ils comprennent que c'est un cambriolage. "Il y a eu d'abord beaucoup de stupeur et derrière de l'incrédulité", raconte monsieur Stellittano.
Quelques milliers d'euros récoltés par les bénévoles pour les plus pauvres ont été dérobés. Bien plus qu'un vol d'argent, aujourd'hui, c'est toute une équipe de bénévoles qui est choquée.
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