Quelle réponse politique face au coût de l’énergie ?

Face à la hausse des prix du carburant, les politiciens ont été pleinement conscients du besoin d’apporter une réponse rapide, d’où la mise en place par le gouvernement de la prime de 100€. Cependant, à long terme les solutions sont plus difficiles à trouver ; pour Damien Pichereau, rien de miraculeux, nous devons garder de bonnes relations avec les pays producteurs afin de négocier directement une baisse de prix du baril.

En attendant, que nous reste-il à faire ? Tout d’abord, la conversion du parc énergétique français est en marche permettant progressivement une moindre dépendance au pétrole.   De notre côté, pourquoi ne pas faire davantage de covoiturage par exemple ?

 

Voiture autonome, qu’est-ce que c’est ?

La voiture autonome existe déjà !

Comme le rappelle le député sarthois, nos voitures possèdent déjà quelques qualités autonomes, comme le régulateur de vitesse ou l’aide au maintien dans la voie. Progressivement, nos véhicules seront de plus en plus autonomes et pourront par exemple avancer seuls dans les bouchons ou dépasser sur l’autoroute. Cela garantira sans doute un meilleur confort !

Le temps de l’expérimentation de la mobilité autonome.

A l’horizon 2050, un certain nombre de voitures en circulation pourrait être autonome. Sans avoir à patienter jusque-là, des navettes ou des bus sans chauffeur devraient être capables de se déplacer sur des périmètres définis, avec toujours une personne pour intervenir et garantir le service des voyageurs.

La voiture autonome oui, mais pas partout.

La mise en place des voitures autonomes sur l’ensemble des territoires nécessite des aménagements particuliers comme des lignes blanches pour les repères. Dans un premiers temps, nos voitures autonomes rouleront sur les grands axes.

 

Cette dynamique autour des nouvelles mobilités s’intègre pleinement à la transition écologique à l’image de l’engouement pour la voiture électrique.

 

Voiture électrique, la voie de l’avenir ?

Vers le mix énergétique

L’évolution du débat autour des voitures électriques tend à nous faire douter de leur bienfait écologique. Cependant bien que les émissions ne soient pas totalement neutres, elles sont bien moins importantes que sur des voitures thermiques. Il ne s’agit pas d’être radical, mais aussi d’adopter un comportement qui participera à réduire notre propre impact (auto-partage, transports en commun ou vélo).

La voiture électrique est un bénéfice pour l’avenir et il existe plusieurs possibilités pour parvenir sereinement à cette transition. Notamment par le mix énergique, avec des voitures hybrides, du bio-carburant, du gaz naturel et de l’hydrogène dans un second temps pour les voitures particulières.

Le monde rural, principal obstacle pour la voiture électrique ?

Pour l’instant c’est le cas, mais pour Damien Pichereau, il ne faut pas surtout pas exclure les zones rurales ! Si l’on prend l’exemple de Sillé-le-Guillaume, les utilisateurs de voitures électriques auront pour l’instant un problème de recharge. Pour pallier à cela, les villes, les entreprises et les supermarchés doivent assurer l’installation régulières de bornes. Les nouvelles voitures électriques disposant d’une autonomie allant jusqu’à 400km, un aller-retour entre Sillé et le Mans ne semble pas irréalisable.

 

Quel avenir politique pour Damien Pichereau à l’horizon 2022 ?

Damien Pichereau n’a pour l’instant pas de réponse ferme à nous donner, il faudra donc attendre ses vœux pour l’année 2022 afin de savoir s’il souhaite à nouveau se présenter comme député de la première circonscription de la Sarthe. Les questions et enjeux autour de la nouvelle mobilité sont une grande motivation pour le député et une seconde mandature lui permettrait de poursuivre son travail dans ce domaine.