FORMULE CLUB / Crise irano-américaine / La contre-attaques de Carlos Ghosn / Cinq ans après Charlie

TRUMP SUR L'iran : des sanctions économiques plutôt que militaires

Donald Trump semble vouloir calmer le jeu au Moyen-Orient si en croit son allocution donnée depuis La Maison Blanche mercredi.  Aux représailles iraniennes après l’exécution ciblée du général Soleimani, les Etats-Unis veulent opposer les sanctions économiques plutôt que la réponse miliaire. Donald Trump a par ailleurs appelé les européens à se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien comme les Etats-Unis l’ont fait  en 2017.

CARLOS GHOSN contre attaque

Assigné à résidence au Japon pour cause de malversations financières, l’ex patron de Renault Nissan Carlos Ghosn est parvenu, grâce à un scénario digne d’un film d’espionnage, à quitter le pays pour se rendre au Liban dont il a la nationalité. C’est depuis la capitale, Beyrouth, qu’il a commencé à orchestrer sa riposte médiatique en organisant, mercredi, une conférence de presse. Au cours de celle-ci, il a notamment dénoncé une "collusion" entre Nissan et la justice japonaise. Son arrestation était, selon lui, « un coup monté ».

ATTENTATS CHARLIE ET HYPER CASHER, 5 ans après

Un attentat islamique a coûté la vie, le 7 janvier 2015 à une partie de la rédaction du journal satirique Charlie Hebdo. Nous nous souvenons aussi des victimes de l’hyper casher de Vincennes et de la policière municipale de Montrouge tués par un autre terroriste, le lendemain. Ces attentats ont suscité un grand élan d’indignation et de mobilisation à travers une grande manifestation inédite à Paris le 11 janvier 2015. 5 ans après, sommes-nous toujours Charlie ? Ne sommes-nous pas, comme l’indique le journal satirique dans son dernier numéro, victimes de nouvelles censures ?

mobilisation contre la réforme des retraites : quelles issues?

La mobilisation contre le projet de réforme des retraites continue. Une manifestation nationale eu lieu hier. Une autre est prévue demain. En parallèle, les négociations se poursuivent entre un gouvernement très peu disposé à lâcher du lest et des syndicats qui ont tendance à se diviser. Le compromis ne semble pas être pour tout de suite même si un texte devrait tout de même être présenté le 24 janvier en conseil des ministres.