Aujourd’hui retiré de la vie politique, Jean-Louis Debré estime qu’il faut laisser la place à « une nouvelle génération qui est arrivée, avec une nouvelle façon de faire la politique ».
Il ne se définit pas comme un homme de droite mais comme un « gaulliste » : « qu’on soit à droite à gauche ça m’est égal, pourvu qu’on soit républicain ».
Sur la politique d’Emmanuel Macron il déclare « après un Etat de bienveillance, on est rentrés dans un Etat d’interrogations et de doutes ». Il dénonce le fait que la vie politique française, pour « la gauche et la droite républicaine, ils ne savent pas où ils vont c’est le désert ».
Il publie "Nos illustres inconnus - Ces oubliés qui ont fait la France" chez Albin Michel, comme il le dit ce n'est pas un travail d'homme politique mais d'historien. « Des villages entiers ont été saigné en 1914 et il ne jamais oublier cela car on voit ce que peut amener la guerre et la violence, regardons l’histoire pour ne pas qu’elle recommence ».
« Le devoir de mémoire est un devoir individuel, chacun et chacune doit penser et avoir un petit geste pour le souvenir ».
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