Le tribunal de grande instance de Paris a tranché ce mardi après-midi : il a estimé que "le trouble manifestement illicite et le dommage imminent" invoqués par quatre partis ou associations de gauche et 143 particuliers n’étaient pas démontrés.
L’analyse du politologue Thomas Guénolé, maître de conférences à Sciences-Po.
Ce changement intervient à deux ans de l'élection présidentielle. Thomas Guénolé détaille les différentes raisons pour lesquelles un parti politique peut vouloir changer de nom.
L’un des avocats requérants a annoncé qu’il allait probablement faire appel. Les demandeurs peuvent également engager une action de fond.
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