Les 150 jeunes partis avec le diocèse de Nice ont participé à une soirée d'échange pour se retrouver un mois après le pèlerinage à Faro et Lisbonne.
Quelques tables, beaucoup de chaises, un saladier de chips et une projection sur le mur des photos souvenirs. Ce 6 septembre, un mois après les Journées Mondiales de la Jeunesse, ceux qui ont vécu le rassemblement international avec le Pape François à Lisbonne se retrouvent pour un moment convivial.
Sur les visages, des sourires nombreux. Après les JMJ, tous ont noués des liens, des amitiés et ne se quittent plus parfois. Se revoir est donc un moment de bonheur. Partager aussi. Et ils l'ont fait pour la plupart dès la sortie du bus qui a ramené les jeunes du diocèse de Nice à bon port. Sixtine a repris le travail juste après le pèlerinage et confirme la curiosité de ses collèges de travail.
"On m'a posé des questions au boulot, ils étaient impressionnés" par les 1,5 M de personnes présentes. Héléna rentre changée par ce chiffre qui permet de "se rendre compte du nombre de jeunes dans l'Eglise Catholique. Cela fait beaucoup de bien et j'ai hâte de continuer à transmettre que ce genre d'événements existent, que l'Eglise elle est jeune !"
J'ai découvert une autre facette de moi-même
La soirée se poursuit plus solennellement: passage devant tout le monde pour se livrer sur son expérience. Ce qui a le plus marqué un mois après avoir vécu les Journées Mondiales de la jeunesse se sont "les rencontres, le fait de continuer à voir ceux qui ont été rencontrés pendant ce temps ou nous étions hors de notre zone de confort". Jean, lycéen, a témoigné de "moments forts qui ont permis d'être soudés". Plus personnellement, il raconte avoir découvert des facettes de lui-même qu'il ne connaissait pas.
Prochain rendez-vous ? Séoul. "J'ai déjà dit à une copine d'économiser pour y aller" dit Héléna en rigolant. Ce sera en 2027.
RCF est une radio associative et professionnelle.
Pour préserver la qualité de ses programmes et son indépendance, RCF compte sur la mobilisation de tous ses auditeurs. Vous aussi participez à son financement !