La trisomie 21 est la plus grande cause de déficience intellectuelle dans le monde. Un handicap de mieux en mieux connu et pris en charge. Mais pour les familles, l’inclusion d’un enfant trisomique, dans une activité de loisir ou à l’école, relève souvent d’un parcours du combattant. Heureusement, l’entraide et la solidarité entre famille aident à affronter les défis ! Rencontre avec des mamans de Haute-Savoie.
Un café, des viennoiseries et des confidences entre copines. Marilyne et Gwendoline ont un point commun : un enfant porteur de trisomie 21. Et ce matin à Seynod, MariIyne, partage ses expériences de recherche d'activités extra-scolaires, pour sa fille de onze ans:
Les mamans se soutiennent. Elles partagent les galères, les petites victoires du quotidien. Et se donnent le nom des professionnels de santé qui connaissent bien le handicap. Gwendoline, dont le dernier enfant est une petite fille de quatre ans, porteuse de trisomie 21:
Les deux amies se sont connues par l’intermédiaire d’un pédiatre. Aujourd’hui, elles rencontrent pour la première fois Pauline, croisée, elle, sur les réseaux sociaux ! Il y a dix-huit mois, c'est à la naissance que Pauline a découvert le handicap de sa fille, avec une malformation associée. La maman a tout de suite eu le réflexe "Internet":
Une communauté de parents solidaire… et qui appelle, en ce 21 mars, toute la société à se mobiliser à leurs côtés, pour avancer vers plus d’inclusion au quotidien.
Pour trouver et rencontrer des parents concernés par la trisomie 21 en Pays de Savoie, vous pouvez notamment lancer un appel sur le groupe national Facebook Trisomie au quotidien
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