Volvic : vers un prolongement de l’étude sur l’état actuel de l’impluvium

Le dernier conseil d’agglomération de Riom, Limagne et volcans (RLV) s’est déroulé mardi 14 novembre salle de l’Arlequin à Mozac. Une quarantaine de rapports a été passé au crible, portant sur l’économie locale, le tourisme ou encore l’assanissement.

Des velléités de croissance pour Innovation plasturgie composites (IPC). Cette société présente depuis 5 ans sur le biopôle de Saint-Beauzire va acheter une parcelle de 5000 mètres carrés à la communauté d'agglomération afin d'y construire ses propres locaux. Frédéric Bonnichon, président de la collectivité, se félicite que l'entreprise ait fait le choix d'investir sur Saint-Beauzire, et de conforter ainsi son action sur le territoire :

Sur le volet des équipements, l’Agglo a confirmé l'ouverture prochaine du centre aquatique intercommunal Béatrice Hess, juste avant les vacances scolaires de Noël. « Le chantier se déroule bien, avec seulement un mois de retard sur le prévisionnel », a assuré l’exécutif. Après deux ans de chantier, le site est depuis quelques mois partiellement rouvert. Il rouvrira entièrement après deux ans de chantier le 16 décembre prochain. Nouveau bassin de nage, nouvel espace ludique, équipements modernisés et outil moins énergivore : une montée en gamme à destination du bassin de population. 

Comment fonctionne l’impluvium de Volvic ? Quels sont les secrets de cette ressource en eau que l’on croyait inépuisable ? Pour le savoir, une étude a été lancée depuis un an et demi par les pouvoirs publics et financée par l’État, RLV et le syndicat mixte des utilisateurs d’eau de la région de Riom (Smuerr). Un travail qui devait s’achever fin 2023. Finalement, il prendra un peu plus de temps que prévu :

L’agglo de Riom, Limagne et volcans qui vient d’être passé au crible par la cour régionale des comptes. Si la situation financière de la communauté d’agglomération est encore correcte, les réserves héritées des communautés de communes fusionnées s’amenuisent et la reprise des dettes principalement portées par les communes membres au titre des compétences transférées d’eau et d’assainissement, a multiplié par 2,5 l’encours de la dette intercommunale. L’instance qui adresse 8 recommandations à la communauté d’agglomération concernant la gouvernance et l’exercice des compétences, la tenue de la comptabilité et les ressources humaines.