Au nom des mères, avec Alain Rémond et Marie Petitcuéno

Ma mère avait ce geste (Plon)

Dans son nouveau récit, Alain Rémond revient sur la figure maternelle, celle qui l’accompagne encore, des années après son décès. Confidente et travailleuse, généreuse et discrète, la mère était là, d’une présence sereine alors que le fils prenait son envol. Avec le visage maternel, c’est l’enfance qui remonte, nostalgique et éternelle. Ma mère avait ce geste, d’Alain Rémond, est publié aux éditions Plon.

Journaliste, écrivain, billettiste dans La Croix, Alain Rémond revient une nouvelle fois sur sa famille, sur ses origines, la vie de famille nombreuse, en Bretagne, petit village de Trans-la-Forêt.

Ce qui gronde (Flammarion)

Dans cet premier roman, c’est une autre mère de famille qui vit et subit toutes les contrariétés, grandes et petits, d’une vie familiale animée par trois bambins. La narratrice leur écrit, pour leur dire tout l’amour qu’elle a pour eux, et aussi le profond sentiment qu’on lui vole sa propre existence. Au fut et à mesure des lettres se creuse l’impérieux désir d’être encore et toujours femme, en dépit de la maternité. Ce qui gronde, de Marie Petitcuénot, est publié chez Flammarion.

Marie Petitcuénot travaille comme conseil dans un ministère. Mère de famille, elle signe son premier roman.