Alors que le président de la république E. Macron a évoqué à Marseille, l'enjeu politique, économique ou écologique que constitue la Méditerranée, les Églises aussi se mobilisent pour construire des relations méditerranéennes apaisées. Dans notre région, l'Institut Catholique de la Méditerranée s'est lancé dans un "processus méditerranéen." On en parle avec le Père Patrice Chocholski directeur de l'ICM et Thibault Posado.
L’Institut Catholique de la Méditerranée (ICM) a fait sa rentrée au début du mois d’octobre en présence de Dominique Bourel, directeur de recherche au CNRS et “grand biographe du philosophe Martin Buber qui avait une vision pour le dialogue en Méditerranée.”
Une figure qui s’inscrit donc dans le cadre des relations maritimes paisibles. Grâce au processus méditerranéen, un rapprochement de chaque tronçon de Méditerranée est dans la ligne de mire et apparemment, “cela répond bien de tous les côtés des rives” selon le Père Patrice Chocholski, directeur de de l’ICM.
Le dialogue est sur les divers questionnements liés à l’image méditerranéenne de l’Europe, qui s’est fragilisée du fait de différends démocratiques, écologiques ou encore migratoires.
Ces enjeux, portés par le processus méditerranéen, trouveront réponse dans la religion, comme l’explique Thibault Posado, étudiant et stagiaire au sein de l’ICM, au micro d’Amaury Guillem.
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