GRANDEURS ET MISÈRES DE L’OLYMPISME
Nous avons vécu l’été dernier de bien belles célébrations et de formidables exploits. Prenons le temps de revenir sur ce que nous avons vu, entendu, vécu
Drapeaux olympiquesN’est-ce pas en effet l’occasion de nous replonger dans nos origines sportives ? Celles de la Grèce de 776 avant JC dans le Péloponnèse, celles des Jeux modernes fin 19e et bien sûr celles de l’actualité immédiate des 33e olympiades de l’été 2024
Parmi toutes les approches possibles de cette manifestation hors normes, nous serons invités par les prochaines Libres Intuitions à nous arrêter sur trois d’entre elles : la place des religions dans les Jeux, certaines polémiques inévitables et le relief pris par les Jeux paralympiques.
Vous pourrez ainsi redécouvrir la figure de Pierre de Coubertin, la place du sport dans la Bible, les liens entre le Comité International Olympique et les initiatives de l’Eglise de France joliment intitulées Holy Games. Bien sûr tout n’est aussi facile et lisse : la géopolitique très tendue n’était pas loin, pas non plus les tentatives de communication biaisée et les ambiguïtés du wokisme.
Mais, même si beaucoup reste à faire en matière d’inclusion des plus fragiles et des personnes handicapées, même si le handisport manque de notoriété et de moyens, même s’il souffre d’un énorme paradoxe, ces Jeux paralympiques nous ont offert un bilan très positif, une superbe réussite humaine. Laissons-la résonner en nous !
P. Yves GERARD
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