Happée par la mer, la maternité sous toutes ses formes

Il y a de multiples façons d’être mère. C’est ce que nous raconte Isabelle Schmidt dans son premier roman. Elle-même n’est pas maman, mais ce livre, c'est comme son bébé qu’elle est venue nous confier lors de notre entretien. 

Être ou ne pas être mère 

Quand le livre commence, Gisèle perd son travail et décide de mettre un terme à sa relation de trois ans. Elle se retrouve donc célibataire et sans enfant. Et pourtant, en pensée, elle parle à Tom qu’elle a porté pendant quelques semaines. Tom, qu’elle a décidé de ne pas garder et dont elle fait encore le deuil. 

D’autres femmes du livre ont, quant à elles, fait le choix de devenir mère à tout prix. À travers les difficultés à tomber enceinte ou malgré le peu d’amour présent dans leur couple. Des femmes qui ont voulu protéger leur enfant du monde et de ses dangers au risque de les perdre. 

Les enfants qu’on (ne) choisit (pas)

Et puis il y a les enfants qui arrivent dans votre vie, que vous le vouliez ou non. Des enfants que vous adoptez en plus des vôtres pour les protéger de leur famille. D’autres que vous avez désirés hardiment et qu’une dépression postpartum vous rend incapable d’aimer. 

Isabelle Schmidt nous offre un tableau de la maternité à travers les relations mère-enfant, toutes générations confondues. 

Retrouvez notre entretien avec Isabelle Schmidt dans Tu m’en liras tant.