Il y a beaucoup de causes à défendre : la paix dans le monde, le respect de la vie, la réinsertion des personnes éloignées de l’emploi, la laïcité pour que chacun puisse vivre sa religion, l’amour du prochain etc… Cependant, aujourd’hui, le sujet de l’écologie est devenu une nouvelle actualité, permanente, au même titre que l’économie ou que la politique et les unes et les autres s’en imprègent, tout est lié.
Ne pas en prendre la mesure conduit à l’amplification des grands problèmes qu’on viens de nommer et pointons seulement la grande probabilité de l’immigration massive de populations du Sud vers le Nord pour fuir la montée des eaux et la pauvreté, aggravée par l’augmentation des sècheresses dues aux nouvelles conditions climatiques.
Depuis seulement un ou deux ans, - et pour les catholiques depuis 2015 avec l’encyclique Laudato Si, il n’a plus guère de propos niant le réchauffement climatique.
Les scientifiques du GIEC qui le constataient depuis vingt ans ont gagné la bataille de la reconnaissance en même temps que chacun d’entre nous le constatons déjà sensoriellement.
Alors aujourd’hui, il faut faire face au réchauffement climatique. C’est l’enjeu de ce siècle, voire des dix années à venir, il faut s’adapter et ne pas risquer l’aggravation.
Mais comment ? Par exemple :
- Changer les procédures agricoles tel que le prône notamment Bruno Parmentier, l’ancien directeur de l’école d’agriculture
(cf Commune planète lundi 10 janvier 19:45)
- Abandonner les coûteux et polluants incinérateurs pour des fossilisateurs qu’a inventé Nicolas Cruaud le patron de Néolithe à Chalonnes (Commune Planète lundi 3 janvier 19:45 et samedi 8 janvier 10:03)
Les initiatives des entreprises et des collectivités ont le plus grand rôle à jouer pour diminuer notre empreinte carbone
Parce que ce sont les politiques et les finances publiques qui ont les leviers sur 80 % du changement.
Nos changements de comportement individuels jouent au grand maximum sur 1/3 de l’empreinte carbone globale. Ce n’est pas à négliger. Certes il faut convertir notre économie mais il faut aussi parrallèlement se convertir.
Se changer pour changer le monde, s’encourager et pointer toutes les joies des changements en cours.
Plus du tiers des voitures neuves vendues l’an passé en France sont électriques
Quand on sait que le secteur du transport est le second poste le plus émetteur de Gaz à effet de serre, prendre la décision de changer sa voiture au diesel pour une voiture à l’électrique, et marcher plus ou prendre le vélo, c’est une lourde décision à l’échelle familiale et personnelle et qui a impact réel. On ne peux que s’en réjouir. Et on l’appris cette semaine : plus du tiers des voitures neuves vendues l’an passé en France sont électriques ! Le résultat est du à la fois à la prise de conscience environnementale des Français et à l’Etat qui a mis une prime à l’achat d’un véhicule électrique. Chacun a pris sa part.
Alors bonne année, qu’ensemble nous fassions face aux enjeux de notre Maison commune !