Commune planète (Drôme-Ardèche) - page 2 | RCF

Chaque 1er samedi du mois, l'association Marcheurs Cueilleurs de Valence vous propose de ramasser les déchets de 10h à 12h dans un secteur de la ville. Ce samedi 4 mai, le rendez-vous est donné au rond-point du KFC à Valence Sud.

Les Français consomment en moyenne 147 litres d'eau potable par jour et par habitant. C’est un quart de la consommation totale d'eau. Entretien avec Simon Lalauze, chargé de mission "ressource en eau" à l'EPTB Ardèche - Etablissement Public Territorial du Bassin Versant de la rivière Ardèche - qui organise en ce printemps la deuxième édition de l'opération "les Bons tuyaux pour économiser l'eau"

En 2013, l’UFC-que-Choisir dénonçait la présence de produits indésirables, notamment des perturbateurs endocriniens dans nos gels douches, baumes hydratants ou shampoings. D’autres alternatives existent-elles ? Quelles différences y a-t-il entre un savon et un cosmétique solide ? Nous en parlons par le prisme de Sabine Peiffer des savons Gaiia à Montélier.

Arche Agglo développe plusieurs axes pour vous permettre de vous passer de votre voiture pour vos trajets du quotidien : transports en commun, vélo ou covoiturage.

Le 6 mars dernier, à Jaujac, à la maison du Parc naturel régional des Monts d’Ardèche, le collectif Pétale 07 a présenté deux ans de projets accompagnés et les résultats de la recherche-action en Ardèche sur ce qu’on appelle “L’école dehors”

On lève le nez vers le ciel cette semaine dans Commune planète pour observer la migration des oiseaux. Elle a lieu en ce moment en France pour les retours sur les zones de production, notamment au col de l'Escrinet (Ardèche) et au col de Pierre-Aiguille (Drôme)

Il y a quelques semaines, les brasiers noirs de pneus illustraient la colère des agriculteurs. D’autres mobilisations ont été moins spectaculaires : notamment celles des apiculteurs qui dénoncent notamment la suspension du plan Ecophyto. L’écologie est-elle devenue l’ennemie de l’agriculture ? Comment comprendre cette colère ? Et à quels endroits réunit-elle un monde agricole pourtant protéiforme ?

Depuis 2015, Franck Armand transforme des champs en monoculture en un lieu accueillant pour le sauvage. Au jardin de Coplet, cet ancien directeur de recherches cultive, sans engin thermique ou presque, des plantes aromatiques et médicinales et développe une activité arboricole. Système vertueux ou utopique ? Nous sommes allés à sa rencontre.

Le Parc des Monts d’Ardèche et la Compagnie La Ligne s’emparent du sujet de l’urgence écologique et climatique et s’associent autour d’un projet de création théâtrale. Ce projet, mené sur trois ans, avec les habitants, s'intitule "Il n’est pas trop tard, puisqu’on est là". Elisa Jaffrenou, chargée de mission au Parc, nous en dit plus

“La vie rêvée des choses”... C’est le nom de cette exposition de fin de résidence artistique et de restitution des ateliers avec le personnel de la ressourcerie Trimaran, en centre Ardèche. Une autre façon de voir la récup’, les objets, leur histoire et ce qu’ils font aux gens. C’est un projet qui associe art, insertion et environnement. On en parle avec la première artiste en résidence, Judith Lesur

En France en moyenne 20% de l'eau potable utilisée dans une maison, l'est dans les toilettes. Les toilettes sèches sont-elles une solution pour réduire sa consommation d'eau ? Quels sont les avantages ? Quelles sont les limites ?

En Europe, en 40 ans, la population d’oiseaux a diminué de 25%. Ce sont en moyenne 20 millions d’oiseaux qui disparaissent chaque année. Les causes de ce déclin vertigineux sont anthropiques : agriculture intensive, urbanisation, destruction de milieux. En Drôme Brice le Maire est devenu en 2016 « agri-nichoiriste » : il a fabriqué et installé près de 17 000 nichoirs sur des parcelles agricoles. Que permettent-ils ? Quel est le bilan ? Et est-ce une fin en soi ?

On les appelle biodéchets, déchets organiques, ou plus prosaïquement épluchures, restes de repas, et déchets verts du jardin. Depuis le 1er janvier, ils ne sont plus censés se retrouver dans nos poubelles classiques. Les communautés de communes et d’agglo, en charge des déchets, sont tenues de mettre en place un tri à la source des biodéchets. Mais les initiatives sont bien disparates, voire inexistantes. Expérience en centre Ardèche

En Drôme, l’entreprise Prestival, fabricant de volets de roulants réutilise depuis peu ses emballages cartons. Un système qui lui permet aujourd’hui de ne plus consommer de bobine de papier pour sécuriser ses produits. Quels avantages ? Quelles difficultés ? Le dirigeant Stéphane Belval nous répond.

Après les fêtes de Noël, dans Commune Planète on s’intéresse aux cadeaux : comment faire plaisir tout en essayant de limiter son impact ? C’est en tout cas un enjeu important puisque ces cadeaux auront représenté 57% des émissions de gaz à effet de serre pendant ces fêtes. Comment faire autrement ? L’occasion peut être une solution. Le magasin Mille et Un Playmo a quitté Valence pour s’agrandir à Saint-Peray.

On a déjà parlé des bienfaits de la déconnection que vous allez peut-être essayer pour Noel. Cette année, il faut passer à l’étape supérieure et questionner nos pratiques numériques : nos mails, les photos qu’on s’envoi sur les applications de messageries, les heures passées sur nos ordinateurs. De l’extraction des minerais à la fin de vie d’un téléphone portable ou d’une tablette : chaque étape est la source d'une pollution massive à l'échelle mondiale. Alors comment faire pour réduire notre impact, tout en continuant à utiliser ces outils ?

Réponse avec Louise et Jeremy Pastouret, auteurs d’un ouvrage intitulé « Comment réduire l’impact de nos pratiques numériques : les clefs pour agir » (Editions Eni – mai 2023)

Ils tournoient au-dessus de nos têtes. A la fois menaçant et majestueux, ils sont là presque depuis toujours. Les vautours.
Mais si ils sont là aujourd’hui, c’est grace au travail et à la passion sans limite de racapcologues qui ont œuvré sans relache pour leur reintroduction. Les vautours ont failli disparaitre de nos régions, il n’y a pas si longtemps.
Pour rendre hommage à ce travail, et en connaitre plus sur les vautours et le travail de naturalistes, on se penche ce matin sur un livre « histoires de vautour » auto-publié par Patrick Balluet et Christian Tessier, livre au profit des actions pour les rapaces en aura.
Un petit ouvrage passionnant qui changera votre regard sur les rois des crêtes.

Ils tournoient au-dessus de nos têtes. A la fois menaçant et majestueux, ils sont là presque depuis toujours. Les vautours.
Mais si ils sont là aujourd’hui, c’est grace au travail et à la passion sans limite de racapcologues qui ont œuvré sans relache pour leur reintroduction. Les vautours ont failli disparaitre de nos régions, il n’y a pas si longtemps.
Pour rendre hommage à ce travail, et en connaitre plus sur les vautours et le travail de naturalistes, on se penche ce matin sur un livre « histoires de vautour » auto-publié par Patrick Balluet et Christian Tessier, livre au profit des actions pour les rapaces en aura.
Un petit ouvrage passionnant qui changera votre regard sur les rois des crêtes.

C’est un nouveau collectif chrétien et écologiste qui vient de se lancer à Paris et à Lyon. Depuis fin septembre , «Lutte et contemplation » propose aux chrétiens de réfléchir sur comment porter la parole chrétiennes dans les luttes écologiques et sociales et comment passer à l’action.

De la prière à l’action collective ?

On en parle ce matin avec notre invité Louise Groccia, membre du collectif Lutte et contemplation à Lyon.

La COP28 ouvre ce jeudi 30 novembre à Dubaï, aux Emirats arabes unis. C’est le grand rendez-vous international du climat qui réunit 195 pays et l’Union européenne. L’objectif est de limiter à 1,5 degrés le réchauffement climatique.
C’est aussi un haut lieu de rencontre des associations écologiques, des entreprises, des ONG, des syndicats, des peuples autochtones qui se mobilisent sur le sujet.
Pour décrypter les enjeux de cet évènement, et son impact en France, rencontre avec Barbara Nicoloso, directrice de l’association Virage Energie.