Carte Blanche RCF - page 34

Nous l’avons souvent dit et répété ici : laisser nos enfants libres de tout regarder, c’est les exposer à de multiples dangers. Les informations, les images, les séquences sont en effet de plus en plus intrusives, séduisantes et souvent brutales et risquent donc de laisser des dommages considérables dans la tête et le cœur de nos enfants. Mais imaginer les préserver totalement, les placer dans une sorte de bulle est illusoire, car ce sont chez les amis, dans les cours de récréation, sur les smartphones que nos enfants seront à un certain moment mis face à face avec ces images.

Nous le savons tous,on dénombre au fil des années de plus en plus de centenaires, dans notre monde des humains.C'est en soi une très bonne nouvelle,encore faut-il aborder cet âge canonique dans un état de santé convenable. Mais il est un drôle de personnage,qui vient de fêter allègrement ses 100 ans d'existence.Je veux parler de" La vache qui rit",ce fromage fondu créé en avril 1921 à Lons le Saulnier et qui a depuis longtemps franchi nos frontières.

Vous connaissez peut-être Bernard Henri Lévy. Escorté de gardes du corps et de cameramen, il se rend souvent sur les conflits armés pour proclamer ses visions de la liberté et de la démocratie. Il a une sœur prénommée Véronique, juive comme lui, qui s’est convertie au catholicisme une nuit de Pâques 2012. Acte courageux et louable. Si je vous parle d’elle aujourd’hui, c’est parce qu'une autre haute conscience de notre République des Lettres vient d’évoquer son « chemin perdu » en la traitant de « femme fragile manipulée par l’extrême-droite identitaire anti-sioniste ». Le propos est de Jacques Attali, ancien Sherpa de François Mitterrand à la grande époque, donneur de leçons et heureux de l’être… Véronique Lévy ne mâche pas ses mots en proclamant sa foi catholique d’une manière élevée et mystique...

Il est des livres qu'il faut parfois souligner pour en conseiller la lecture. Je vous parle ce matin de "L'année de Jeanne". Jeanne est une jeune femme de 18 ans, elle ne vient pas de Lorraine et cependant toute ressemblance avec un personnage historique portant le même prénom et totallement assumé par l'auteur, Franck Ferrand.

C’est une femme, belle, tunisienne de naissance, musulmane et naturalisée française en 2010. Elle est multi-diplômée en Tunisie et à la Sorbonne, journaliste, amoureuse de la France, omniprésente sur les radios et télévision, auteur de plusieurs livres, et elle insuffle actuellement un air nouveau et revigorant dans les médias français. Son nom : Sonia Mabrouk, on en parle de plus en plus. La presse internationale aussi commence à s’y intéresser de près.

Au cours du week-end qui vient de s'écouler,comme chaque année,ce dernier dimanche d'avril a été dédié à la célébration de la mémoire des victimes de la déportation dans les camps de concentration et d'extermination nazis,lors de la seconde guerre mondiale.

Comme la marée en baissant laisse émerger peu à peu les récifs, l’actuelle pandémie en frappant notre pays révèle de nombreux défauts, certains hélàs bien français, en particulier – comment le dire de façon soft – celui de prendre certaines libertés avec la vérité. Un problème récurrent chez nous semble-t-il…Et l’entrée dans cette année pré-électorale risque d’alimenter fortement ce sentiment. C’est pourquoi il n’est sans doute pas indifférent, voire salutaire de nous replonger dans les paroles de SS Jean-Paul II lors de son audience générale de février 1979. Des paroles extraordinairement d’actualité. Que nous disait-il ?

Le secrous catholique, Caritas France, a publié un rapport le 15 mars dernier sur le non-recours. Pour l'établir, il s'est appuyé sur ses enquêtes annuelle depuis 2014 et un questionnaire sur le non-recours réalisé en 2020 et pour lequel le Secours Catholique de Vendée a participé. Je vais juste, en 3 minutes, vous présenter quleques éléments pour vous donner envie de lire ce rapport de 56 pages...

Lundi 4 mars 2019 à l’Elysée. La veille Philippe de Villiers a regardé à la télévision le match du « Barça » pour se détendre. Le président de la République et son épouse Brigitte ont convié à diner l’ancien président du Conseil départemental de la Vendée. Revenons donc à l’Elysée ce 4 mars d’il y a deux ans...

Permettez-moi de revenir une fois encore sur ma carte blanche du 10 février dernier consacrée à ce projet de loi indigne visant à autoriser l’euthanasie dans notre pays. Proposition rejetée grâce notamment aux amendements déposés par un groupe de 5 parlementaires déterminés et courageux et à de nombreuses prises de position de médecins, de philosophes et de quelques rares hommes politiques.

La naure n'est pas maitrisable."En avril, ne te découvre pas d'in fil!" un dicton que l'on a tendance à oublier.La nature, aujourd'hui, nous le rappelle!

Quatre vingt mille personnes sortent chaque année de prison! La suite à deux issues possibles: La réinsertion dans la société comme un citoyen à peu près normal,ou le retour à des pratiques en dehors de la légalité. Selon des statistiques fondées,après une peine sans aménagement,60% des anciens détenus sont condamnés en récidive dans les cinq ans suivant leur sortie de prison. Pourtant,il y a de beaux exemples de reconstruction qui méritent d'être mis en lumière.

En pleine pandémie mondiale, il est normal que les alertes en tous genres fonctionnent bien et que les dérapages de quelques-uns soient connus et réprimés. Depuis plus d’un an, il faut s’habituer aux laisser-passer et autres autorisations à présenter aux forces de l’ordre. Pendant ce temps-là, et c’est logique, certains se croient plus égaux que d’autres, j’en veux pour preuve cette histoire de diners entre amis à Paris organisés au palais Vivienne par un chef étoilé et un saltimbanque collectionneur admirateur de l’Empereur. Avec menus à la carte et vins choisis. A 450 euros le couvert pour faire simple!

Il est temps de quitter vos tombeaux! Pâques ! Resurrection ! Un temps qui parle de la mort et bien plus encore de la vie. Deux termes qui hantent les esprits et les discussions depuis le temps maintenant bien long où le mot covid nous est devenu trop familier.