Nous avons tous assisté impuissants durant l’automne dernier à la guerre qui a opposé l’Azerbaïdjan à l’Arménie. Un Azerbaïdjan puissamment armé et soutenu en milices par la Turquie dans sa ¬conquête sanglante du Haut-Karabakh arménien.
Une agression qui n’a pas manqué de nous remettre en mémoire le monstrueux génocide arménien commis par la Turquie en 1915 qui fit 1,5 million de morts. Comme si il y avait une malédiction de la haine et du sang versé qui se répétait inlassablement.
Or dans toute cette horreur, une petite lumière est apparue, comme la flamme tremblante et fragile d’une bougie dans les ténèbres.