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Le centre de vaccination du Puy-en-Velay déménage
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Le centre de vaccination du Puy-en-Velay déménage

Un article rédigé par Cédric Bonnefoy - RCF Haute-Loire, le 27 août 2021  -  Modifié le 11 janvier 2024

Dès lundi prochain (le 30 août), le centre de vaccination du Puy-en-Velay change de lieu. Les injections ne seront plus réalisées au sein du gymnase de Massot mais dans l'enceinte des tennis couverts. 

Jusqu'à 1.200 doses pourront être administrées chaque jour dans l'enceinte des tennis couverts. ©Cédric Bonnefoy Jusqu'à 1.200 doses pourront être administrées chaque jour dans l'enceinte des tennis couverts. ©Cédric Bonnefoy

Après plusieurs mois dans l'enceinte du gymnase de Massot, le centre de vaccination du Puy-en-velay va déménager. Direction les tennis couverts à 50 mètres de là. Pour Michel Chapuis, le maire de la cité ponote, le gymnase présentait plusieurs avantages comme "la proximité avec le Centre Hospitalier Émile Roux, l'accessibilité ou encore le Wi-Fi pour les professionnels de santé". Seulement avec la rentrée et la reprise des activités sportives des clubs, les locaux devaient se libérer. Ce sont les tennis couverts qui ont été choisis car ils présentent les mêmes avantages mais avec un seul inconvénient : "ça impacte le club de tennis" glisse Michel Chapuis. L'enjeu c'était surtout de rester sur le site de Massot. 

Infos locales Michel Chapuis - Déménagement du centre de vaccination du Puy

 

La vaccination progresse en Haute-Loire

 

Avec ce changement, les acteurs de l'organisation de la vaccination souhaitent "continuer l'effort" selon Jean-Marie Bolliet, directeur du Centre Hospitalier Émile Roux. Position partagée par Aurélien Duvergey, directeur des services du cabinet du préfet : "c'était une nécessité d'être présent sur le bassin du Puy-en-Velay et d'avoir un site facilement accessible".

 

Côté chiffre la couverture vaccinale progresse dans le département. Huit altiligériens sur 10 ont reçu au moins une dose à ce jour. Mais c'est surtout la vaccination des 12-17 ans qui est "prometteuse" selon Jean-Marie Bolliet. Un peu plus de 42% des adolescents du département ont un schéma vaccinal complet. Pour améliorer ce chiffre, un recensement des jeunes volontaires sera fait à la rentrée dans les établissements scolaires pour leur permettre d'accéder rapidement à la vaccination. 

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