RCF Anjou vous emmène à la découverte de ces coins parfois oubliés (à tort !), du Maine et Loire. Découvrez ou redécouvrez tous les charmes de l’Anjou, ses paysages, ses savoir-faire, ses traditions. Reconnectez-vous avec votre territoire dans cette promenade radiophonique quotidienne qui va vous faire du bien.
Nous poursuivons notre déambulation à Cap Loire, le parc à thème de Montjean consacré à l'histoire du fleuve et à l'évolution de la batellerie... Au début du XXe siècle, les coques en bois laissent peu à peu place à celles en acier. C'est l'émergence des premiers automoteurs de Loire. Parmi les plus emblématiques, Le Cap Vert, un bateau à fond plat de 32m de long, principalement connu pour ses cargaisons d'arachides. Créé en 1928 à Nantes, il a navigué jusque dans les années 60. Il passe aujourd'hui une retraite paisible dans les jardins de Cap Loire. Pour en savoir plus, nous retrouvons Bastien Lallier accompagné d'Aline Hardou, directrice de Cap Loire.
Nous poursuivons notre découverte de Cap Loire... L'éco-musée de Montjean-sur-Loire met en avant l'histoire de la commune, l'évolution de la batellerie et le quotidien des mariniers sur le fleuve. C'est sur ce dernier point que nous nous penchons aujourd'hui avec Bastien Lallier et Aline Hardou, responsable de Cap Loire.
Cette semaine dans “A deux pas de chez vous”, nous nous intéressons à la Loire à travers un éco-musée implanté à Montjean. Montjean dont l’histoire et le développement sont intimement liés au fleuve. Direction Cap Loire. Un site pédagogique et ludique dédié à l’histoire de la batellerie et à la vie des mariniers. Aline Hardou, responsable de Cap Loire nous emmène dans l’espace qui abrite l’exposition permanente pour évoquer le riche passé de la commune.
http://www.caploire.fr/
Pour se retrouver seul avec Dieu, pour faire le point sur sa vie, pour prendre une décision importante... Quelle que soit la raison, les soeurs de Notre-Dame des Gardes accueillent toute l'année des personnes extérieures dans leur abbaye. Une ouverture aux autres essentielle dans leur équilibre de vie. Bastien Lallier nous emmène aujourd'hui dans une des salles à manger de l'hôtellerie de la communauté religieuse cistercienne. Il y retrouve Sœur Marguerite-Marie. Son rôle : être au service des hôtes en séjour pour des retraites individuelles.
Toute cette semaine, Bastien Lallier nous emmène à Saint-Georges des Gardes à la rencontre de la communauté cistercienne sur place. Si les 29 religieuses vivent cloîtrées dans leur abbaye, cela ne signifie pas qu'elles sont déconnectées des réalités extérieures... Bien au contraire. Pour nous en rendre compte, nous suivons la mère-abbesse Soeur Béatrice jusqu'à la boutique du monastère, lieu de rencontre avec la société civile.
Le travail, c’est avec la prière l’autre grand pilier de la communauté des religieuses de Notre-Dame des Gardes. Elles y consacrent en moyenne 6 à 7h par jour. Car les cisterciennes ne vivent pas de dons mais bien de leur labeur. Et ce sont des touches-à-tout. Pendant de longues années, elles étaient sous-traitantes de l’entreprise Bodet, à la gestion du département publicitaire puis au montage des circuits électriques. Mais ce sont surtout leurs confitures qui les ont fait connaître dans toute la France. Le succès est tel que la communauté vient d’investir dans un tout nouvel outil de production.
Cette semaine, Bastien Lallier est à Saint Georges des Gardes à la rencontre de la communauté de soeurs cisterciennes qui vit dans l'Abbaye Notre-Dame. Gros plan sur leur quotidien organisé selon la règle de St Benoît. La mère-abbesse, Soeur Béatrice, et Soeur Geneviève-Marie nous en expliquent les grands principes.
Cela fait plus de 200 ans qu’elles sont perchées sur la colline de Saint Georges des Gardes, point culminant du Maine-et-Loire… Dans “A deux pas de chez vous”, Bastien Lallier nous emmène cette semaine à la rencontre de la communauté de sœurs de l’Abbaye Notre-Dame. Si ce sont des ermites de St Augustin qui occupent en premier les lieux au 17e siècle, ils sont chassés au moment de la Révolution. Les religieuses cisterciennes elles, arrivent sur place en 1818. Et dès le départ, elles nouent des liens extrêment forts avec la population locale comme en témoigne Soeur Marguerite-Marie.
Dernière étape de notre visite de Cointreau… Après la salle des alambics, après l'espace muséographique, Bastien Lallier nous emmène dans un autre lieu incontournable : le bar. Derrière son plan de travail, Sylvain Marsollier, le monsieur cocktail de Cointreau. Car si la liqueur angevine a longtemps été promue pour la fin de repas, elle est avant tout une référence pour la préparation de cocktails partout dans le monde, et ce, depuis le début du 20e siècle. On la retrouve notamment dans de nombreux "classiques".
Le succès de Cointreau s'est construit autant sur la recette de sa fameuse liqueur d'écorces d'oranges que sur sa communication. De la bouteille carrée, iconique, aux slogans accrocheurs, tout est minutieusement réfléchi. Edouard Cointreau était un visionnaire et le marketing faisait partie de son ADN. Direction l’espace muséographique consacré à la publicité Cointreau. Corinne Lava, directrice du Carré Cointreau nous entraîne dans une salle où les murs sont couverts d’affiches promotionnelles. Beaucoup mettent en scène une icône emblématique de la marque… le Pierrot, célèbre personnage de la commedia dell’arte.
Après la salle des alambics, Carole Quinton, maître distillateur chez Cointreau, me propose de passer par le laboratoire de contrôle… contrôle des matières premières jusqu’au produits finis. C’est ici que plusieurs salariés en blouse blanche, entourés d’échantillons, valident la qualité de la liqueur tout au long du cycle de production. Le lieu semble approprié pour évoquer le terroir, l’origine des fruits qui ont donné sa renommée à la marque.
Tout le monde connait la marque Cointreau. Mais connaissez-vous bien le processus de distillation ancestral à la base de la fameuse liqueur d'oranges douces et amères ? Pour bien comprendre le succès de la recette d'Edouard Cointreau, il faut nécessairement passer par la salle des alambics du site de Saint-Barthélémy-d'Anjou. C’est en quelque sorte l’atelier de travail de Carole Quinton, maître distillateur. Chaque matin, dès 7h, les appareils tournent à plein régime. Bastien Lallier nous fait entrer dans cette immense pièce, unique lieu de production de la liqueur angevine…
Dans “A deux pas de chez vous”, nous vous proposons cette semaine de visiter une entreprise emblématique du département. Une entreprise célèbre pour sa liqueur d’orange. Créée au milieu du 19e siècle, Cointreau a vu sa notoriété s’accroître au fil des décennies. Si bien que le liquoriste bénéficie aujourd’hui d’une renommée internationale. Bastien Lallier est allé à la rencontre d'Alfred Cointreau. Le trentenaire, représentant de la 6e génération de Cointreau, est aujourd’hui à la tête de l’entreprise. Il retrace pour nous un bout de l’épopée familiale…
A deux pas de chez vous est consacré cette semaine au musée des métiers de Saint-Laurent-de-la-Plaine... Bastien Lallier est accompagné de Jeanne Vielville, médiatrice culturelle et Joseph, bénévole depuis 10 ans. Dans la cour centrale du musée, tous les trois s'arrêtent face à un préau où est entreposée une sorte de gros marteau à bascule. L’outils symbolise à la fois la passion de Victor Perrault, le fondateur du musée, pour ces objets traditionnels et toute sa détermination à ce que ce patrimoine ne tombe pas dans l’oubli.
Cette semaine est consacrée au Musée des métiers de Saint Laurent de la Plaine. Un musée riche d'une collection de près de 40 000 objets dont la moitié est exposée dans l'une des 12 salles du site. Après avoir déambulé dans la rue pavée, changement d’ambiance… Bastien Lallier nous emmène dans la Maison de la mode. Un petit bâtiment qui rassemble les collections liées à l’habillement et qui en met notamment une en valeur, celle léguée par une ancienne mannequin. Poursuite de la visite avec Joseph, bénévole et Jeanne Vielville, médiatrice culturelle.
Cette semaine, focus sur le musée des métiers de Saint Laurent de la Plaine qui abrite une collection de plus de 17 000 objets. Principalement des outils, témoins des savoir-faire artisanaux de nos aïeux. Direction l'une des 12 salles du musée, la rue pavée. Le visiteur est plongé dans le bourg d’un village rural. De chaque côté, des échoppes mettent en scène les ateliers de plusieurs métiers traditionnels…
"Réchauffer le cœur des anciens et faire jaillir une étincelle de curiosité chez les plus jeunes"… Voilà résumé en une phrase par son créateur, l’ambition du Musée des métiers de Saint Laurent de la Plaine. Dans “À deux pas de chez vous”, Bastien Lallier vous propose cette semaine une plongée dans l’univers de ce site créé il y a un demi-siècle qui met à l’honneur les professions artisanales traditionnelles. Avant de visiter les lieux, une page d’histoire s’impose avec Jeanne Vielville, médiatrice culturelle au musée.
On conclu cette balade dans le Sud-Baugeois avec un peu de féérie… Cap vers un lieu où l’homme et le cheval ont tissé un lien unique, presque fusionnel. Et qui l'eut cru, cet endroit se trouve dans le petit village de Fontaine-Guérin, au Nord de Beaufort. C’est là, à quelques encablures du bourg qu’Alexandra Macé et son mari Arnaud ont installé leur propre cabaret équestre en 2018. Un rêve devenu réalité.
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