La crème des péchés mignons · RCF Alsace - page 2

Je vous disais qu’en fait pour vraiment se faire plaisir en pâtisserie, il suffit de redevenir des petits enfants ! Et un des grands classiques de nos souvenirs d’enfance, c’est bien la Tarte encore chaude, sortie à peine du four et qui embaumait la cuisine de maman ou de mamy.

Il y a eu une grande émulation dans la profession, avec l'ouverture de nouveaux lieux où on peut déguster des gâteaux signature, découvrir de nouvelles saveurs, de nouvelles techniques, de nouveaux visuels. Les pâtissiers ont multiplié les points de vente. Cette pâtisserie-là est à l'univers de la gastronomie ce que le parfum est à celui de la haute couture : glamour et accessible. Aujourd'hui, le résultat est là. Les statuts de la pâtisserie et des pâtissiers bougent.

L’on est entre les plats cuisinés et la pâtisserie développera aussi ces mélanges sucrés-salés, qui sont loin d’être des fautes de goût !

Les tendances gastronomiques ont été depuis une vingtaine d’années de présenter des desserts sous forme de verrines, par strates de saveurs et de couleurs. A l’origine, une verrine est un simple récipient en verre. Par extension, la verrine devient un plat servi dans un verre que l’on consomme à l’aide d’une petite cuillère. Une mise en bouche servie dans les restaurants pour vous faire patienter à votre arrivée.

Ceux que l’on ne voyait pratiquement jamais, sont maintenant mis en scène dans les revues spécialisées, sur les réseaux sociaux, sur leurs propres blogs, à l’écran, dans les ateliers où ils donnent des cours de pâtisserie. Regardez le succès de certaines émissions télévisées qui sont produites aujourd’hui et dans le monde entier ! La pâtisserie chic est devenue le petit luxe que chacun peut s’offrir et produire, enfin c’est ce que l’on voudrait faire croire !

On constate nettement le retour des pâtisseries traditionnelles telles que la tarte aux pommes, la tarte au citron, l’opéra, le Paris-Brest, le flan ou encore le millefeuille. Mais tous ces desserts sont revisités et allégés.

Les plus grands pâtissiers du moment sont devenus maîtres dans l'art de s'approprier les recettes traditionnelles et d'en faire des mets modernes aux textures diverses.

Et principalement, ce sont les chrétiens, qui, le dimanche matin à la sortie de la messe, vont s’y rendre pour rapporter paris-brest ou millefeuille.

Il marqua un tournant décisif pour le genre sucré. On commence à séparer distinctement entre les mets salés et les mets sucrés ;

En fait, un siècle durant lequel il n’y a que peu d’évolution dans le domaine de la pâtisserie. Les desserts servis en fin de repas n’évoluent pas vraiment non plus. On reste à cette époque sur les définitions traditionnelles des desserts, autant sucrés que salés. En revanche, on développe bon nombre d’ouvrage autour de la confiserie et l’art de faire toutes sortes de confitures

Il s’agissait en fait des espagnols, dont Hernan Cortes était le chef de l’expédition. Les Aztèques lui offrirent quand même de leur boisson : le Tchocolati. Cette boisson était considérée comme une « chose très précieuse », et était consommé par les nobles et les guerriers, qui étaient les seuls à pouvoir en consommer régulièrement

Cette semaine dans la Crème des péchés mignons, la recette des pets de nonne.

Appelés oublayeurs, les Pâtissiers du13e siècle étaient rassemblés en guilde (Une guilde, désignait au Moyen ge ( XI – XIV siècle) une association ou coopération de personnes pratiquant une activité commune) et les Maîtres demandèrent que leur statut soit authentifié et distingué du métier de Cuisinier.Les pâtisseries n’étant plus réservées aux offices religieux et étant symbole de fêtes, les ancêtres des Pâtissiers commencèrent à inventer et créer de nouveaux gâteaux et entremets.

Au Moyen Age, les « aphotécarii », terme regroupant les apothicaires et les épiciers. étaient également des confiseurs. En cette période, les produits sucrés étaient associés à des médicaments et donc prescrits aux malades. Au Moyen ge, apothicaires et épiciers vendent le même type de produits : des plantes, des épices et notamment du sucre, considéré comme un remède plus qu'un aliment. Cette nouvelle denrée qu’est le sucre, était rare et chère, et sa consommation assez rare et réservée aux classes élevées.

Un grand classique pour cette recette de st Jacques. Recettes pour 4 personnes Ingrédients : une vingtaine de noix de St Jacques (pour cette recette vous pouvez utiliser des noix surgelées) 1 échalote 1 noix de beurre 1 filet d’huile 50 ml de vin blanc 100 ml de crème fraîche 50 g de petits champignons de Paris un peu de persil et d’estragon hachés sel et poivre Préparation : Un peu à l’avance faites décongeler les St Jacques au frais sur une assiette. Epluchez et coupez l’échalote en tout petits bouts. Faites fondre le beurre dans une poêle avec l’huile puis faites cuire les noix de St Jacques 1 minute de chaque côté, le temps qu’elles prennent une légère coloration. Mettre de côté. Dans la même poêle faire revenir l’échalote et rajouter le vin blanc. Ajoutez les champignons ettoyés et coupés en deux. Laissez cuire deux minutes supplémentaires avant de verser la crème fraîche. Rectifiez l’assaisonnement. Si nécessaire vous pouvez épaissir la sauce avec un peu de maïzena ou de fond de poisson. Répartissez les St Jacques dans les cassolettes et versez la sauce par dessus. Laissez cuire à couvert 10 minutes dans le four préchauffé à 180°. Parsemez de persil et d’estragon hachés juste avant le service.

Macarons de Noël à la noix de coco

Leurs délices de nouvelles saveurs, et la cuisine « aigre-douce ».’

Ils étaient avec leur famille attachés à leur boulangerie et n’avaient plus la possibilité d’en sortir.

Au Moyen Age, les « aphotécarii », terme regroupant les apothicaires et les épiciers. étaient également des confiseurs. En cette période, les produits sucrés étaient associés à des médicaments et donc prescrits aux malades. Au Moyen ge, apothicaires et épiciers vendent le même type de produits : des plantes, des épices et notamment du sucre, considéré comme un remède plus qu'un aliment. Cette nouvelle denrée qu’est le sucre, était rare et chère, et sa consommation assez rare et réservée aux classes élevées.

Une version salée de tarte à la courge pour profiter de ce cucurbitacée de saison..