La page de garde RCF - page 3

Aujourd'hui, un florilège, c'est-à-dire un bouquet, c'est-à-dire un assortiment de nos fleurs préférées. Antoine Labye et Vincent Wilmet vous proposent une promenade par les bruyères (celles de Guillaume Apollinaire et Thomas Hardy), et d'autres fleurs imaginaires ou... maladives (Charles Baudelaire). Une émission au ras des pâquerettes à ne pas mettre sur toutes les étagères.

Au menu de la page de garde cette semaine: Western spaghetti arrosé d’alcool de contrebande. Antoine Labye et Vincent Wilmet reviennent sur la carrière d’un des plus célèbres réalisateurs italiens à savoir Sergio Leone. Antoine se penche sur la figure de l’homme sans nom interprété par le jeune Clint Eastwood, tandis que Vincent évoque le dernier chef d’oeuvre du maître italien: « Il était une fois en Amérique ».

L'aventure, c'est... l'aventure ! Mais encore ? Antoine Labye et Vincent Wilmet vous emmènent dans les tropiques des Îles Fidji et dans les marécages de la grande guerre. C'est à travers : - Thomas l'imposteur, roman de guerre et d'aventure de Jean Cocteau - La ballade de la mer salée, un tome de la BD Corto Maltese, par Hugo Pratt.

Aujourd'hui, en rêve et contre tout, Antoine Labye et Vincent Wilmet se risquent à décortiquer les songes un peu fous, très inspirés, voire... expirés des grands auteurs. Parmi eux et en vrac : Raymond Queneau, Victor Hugo, André Breton ou encore Jean Cocteau.

Aujourd'hui dans La page de garde : le vide. "L'espace vide tient le milieu entre la matière et le néant", écrivait Blaide Pascal. Antoine et Vincent reviennent sur cette notion de vide, ce qui est sans être tout à fait. Au programme : - Le taoïsme (Lao Tseu, Tchouang Tseu) - 2001, L'odyssée de l'espace (Stanley Kubrick)

Un autre voyage en absurdie avec Antoine et Vincent, qui vous proposent cette semaine quelques morceaux choisis de : - L'Os à moelle, le journal loufoque du non moins non-sensique Pierre Dac - Brazil, fresque onirique, dystopique et absurde de Terry Gilliam.

Avez-vous parfois l'impression de passer du simple au double, ou d'être... un simple double ? Cette semaine, soignez vos complexes de dédoublement grâce à La page de garde, et retrouvez : - Avec Vincent, l'étrange cas de Docteur Jeckyl et Mister Hyde, de Stevenson - Avec Antoine, le fabuleux Bernard Frédéric, dans Podium de Yann Moix.

Pour vous aujourd'hui, Vincent Wilmet et Antoine Labye ont soigné leur tenue, leur langage, en somme leur style. Ils entendent bien donner du relief au monde, en commençant par leur émission. Parce que le dandysme est avant tout une attitude, ils se sont penchés sur celles de : - Dorian Gray, dans l'oeuvre éponyme d'Oscar Wilde - Alexandre, dans La Maman et la Putain de Jean Eustache.

Ils font peur ! Qui ? Antoine et Vincent, mais surtout : FU MANCHU (Sax Rohmer) et FANTÔMAS (Pierre Souvestre et Marcel Allain). Epopée du crime en deux épisodes, sur fond de chansonnette et de pièces radiophoniques.

Absurde ! Vous avez dit absurde ? Voilà le fil de cette semaine, duquel les équilibristes Antoine et Vincent essaieront de ne pas tomber. Au programme : - Bartleby le scribe (1853, Herman Melville) - Rubber (2010, Quentin Dupieux)

Antoine et Vincent de retour dans une émission mythique ! Entre mythes modernes et modernité des mythes, vous entendrez parler d'Icare, à travers 'Le vol d'Icare' (1968) de Raymond Queneau et d'Ulysse, à travers O'Brother (2000) des frères Cohen.

Cette semaine, Antoine et Vincent nous parlent de mépris... ou plutôt du mépris ! Le Mépris et Le Mépris, en deux épisodes radiophoniques : - En première partie, Vincent nous présente et nous lit Le Mépris, roman d'Alberto Moravia (1955). - Après la pause musicale, Antoine nous fait entendre quelques extraits de son adaptation, Le Mépris, par Jean-Luc Godard (1963).

Le première émission de LA PAGE DE GARDE ! Antoine et Vincent font leurs débuts, et vous parlent des débuts des autres. Au programme : - Vincent nous lit "Les choses que l'on ne dit pas" (2008), entrée en littérature d'un mystérieux auteur liégeois à découvrir : Daniel Arnaut - Antoine nous fait entendre les débuts des "Quatre Cents Coups" (1959), premier film de François Truffaut et Jean-Pierre Léaud, à travers les archives de la Cinémathèque Française.