Le kiosque à musique - page 2

Des chansons interprétées par Edith Piaf ou encore Elvis Presley et bien d'autres mélodies, seront revisitées dans ce nouvel épisode de la série métamorphoses musicales du Kiosque à musique.

Deuxième émission pour s'imprégner de la musique classique autrichienne.
Vienne semble avoir été, le pôle d'attraction de bien des musiciens et le lieu de bien des créations musicales, en rivalité avec Berlin ou Munich.

L'Autriche a laissé une forte empreinte dans l'histoire du patrimoine de la musique classique. Elle a des liens très forts avec ses voisines germanophones, les musiques allemande et suisse.
Découvrons quelques extraits de cette grande musique autrichienne.

A nouveau des mélodies totalement revisitées tant classique que des musiques de films ou des mélodies de variété.
Vous retrouverez les musiques des chansons de Brassens, des Beatles, de Dalida et bien d'autres dansdes réorchestrations exceptionnelles voir inconnues qui redonneront un coup de jeune à toutes ces mélodies.

Des mélodies totalement revisitées tant classique que des musiques de films ou des mélodies de variété. Entres autres dans ce numéro, du Julien Clerc, du Shubert, du Gilbert Bécaud...

Robert Stolz est connu notamment pour ses opérettes (il en composa plus de 50) et ses musiques de film.
Découvrons quelques mélodies à succès, interprétées par le philharmonique de Vienne et l'orchestre d'André Rieu.

Un rendez-vous avec celui qui est devenu le dernier compositeur de musique viennoise. Il est né aux balbutiements de l'automobile, il est mort après avoir connu l'ordinateur et le premier pas de l'Homme sur la lune !
Robert Stolz est décédé en 1975, découvrons ses compositions.

A nouveau un programme éclectique avec des interprétations pleines d’originalités, le tout rempli d’une joyeuse mélancolie, direction la place Rouge !

Nous retrouvons des anciennes mélodies qui font le charme de l'ancienne Russie, des «yeux noirs» par «stenka razin» en passant par «Katiouchka» ou «la danse du sabre» tout un programme !

A découvrir, des immenses succès de Straus tout spécialement composés pour deux vénérables institutions de Vienne, l'une de 1843 pour le choeur d'hommes et l'autre du 16ème siècle pour le choeur d'enfants.

Ce sont deux vénérables institutions de Vienne, l'une de 1843 pour le choeur d'hommes et l'autre du 16ième siècle pour le choeur d'enfants que nous allons découvrir.

Johann Strauss (fils) composa spécialement valses, marches, polkas pour le choeur d'hommes.

Ecoutons différents orchestres du monde entier avec des interprétations classiques et variées que l'on pouvait écouter en plein air, par exemple dans les kiosques à musique dès le 19ème siècle.

Le kiosque des places publiques accueille depuis sa création au 19ème siècle des spectacles d'artistes et des concerts de musiciens. Ainsi des concerts en plein air y sont joués.

Moment de découvertes, de trouvailles musicales comme chaque semaine dans ce kiosque à musique virtuel !

Nous allons avoir un sérieux coup de soleil en écoutant ce kiosque à musique consacré une nouvelle fois a des reprises version exotique, de grands airs par l'orchestre Edmundo Ros dans les années 40 et 70.

L'orchestre sud-américain Edmundo Ros qui a étudié à la prestigieuse Royal Academy of Music de Londres, fit danser le tout Londres jusqu'en 1970 en adaptant des airs de son époque en leur insufflant un gout exotique.

Cette émission sera le moment d'écouter quelques fabuleuses trouvailles interprétées par des Big Band sur un un style jazzy, swing, une partie intégrante du jazz pour danser...

Le swing c'est la musique des big band ces ensembles dont le nom que l'on retient est lié à l'époque de la dernière guerre : Glenn Miller.

Ils s’appelaient : KOMZAK, se prénommaient tous, Karel. Il y avait, le père, le fils et le petit-fils.
Comme la tradition le voulait, ils ont tous été mi-militaires mi civils, ils sont totalement oubliés de nos jours et pourtant…

Il est encore impossible de savoir à qui revient la paternité de ce qu’ils ont écrits, tant ils furent prolifiques et exceptionnellement audacieux dans leur recherche harmonique !

Ils s’appelaient : KOMZAK, se prénommaient tous, Karel. Il y avait, le père, le fils et le petit-fils.

Ils étaient de Bohême du Sud et ils ont enflammé Vienne durant la fin de l’empire Austro-hongrois au XiXème siècle.
Ils étaient appelés les Bohémiens de Vienne.

Un grand moment historico-musical… de musique viennoise.

Opéra ne signifie pas hermétisme.
Le rendez-vous d'aujourd'hui sera à nouveau celui des plus beaux airs de cet art lyrique.