Objectif : Elever un dialogue engagé, fédérateur pour redéfinir le sens, les responsabilités et les actions d'un tourisme qui contribue positivement à la santé de la planète et de l’humanité.
On vous emmène dans un voyage vers un tourisme respectueux de la santé de la planète et du vivant en partant à la rencontre d’acteurs engagés. A travers leurs histoires vous allez découvrir, des femmes et des hommes visionnaires, des leviers d’engagements qui sèment maintenant les graines de réflexion et d’actions pour un tourisme positif.
Saviez vous que les personnes en situation d'handicap mental, visuel ou moteur représentent plus 1/4 de la population française ? Quand une personne en situation d'handicap voyage, elle ne voyage jamais seule. Elle est accompagnée d'au moins une personne. Ces personnes souhaitent aussi pouvoir vivre des expériences enrichissantes, avoir accès à des activités. Et pourtant ! L'accessibilité est encore trop limitée. Pourquoi ? Manque de connaissances, manque de formation? Des peurs ou des préjugés ? Quelles que soient les raisons, le tourisme positif se doit d'être humaniste, inclusif, non culpabilisant. Il doit permettre de réduire les différences.
« Moi je veux guérir la terre » sont les mots à 9 ans de Sabrina Benmecheri à son professeur de géographie. 15 ans de petits pas dans le désert qui ont permis à Sabrina Benmecheri de se régénérer intérieurement et de guérir d'une maladie dont elle était atteinte depuis l'âge de 9 ans...
« Moi je veux guérir la terre » sont les mots à 9 ans de Sabrina Benmecheri à son professeur de géographie. Inspiré par la lecture de grands naturalistes, elle débute une carrière comme entomologiste au musée de l’Homme et de l’Histoire Naturelle à Paris. Pour répondre à l’appel de l’inconnu, elle part en Mauritanie à la rencontre du désert et de ses peuples nomades pour vivre une expérience grandeur nature pour se retrouver à travers les différents apprentissages de ses petits pas dans le désert. 15 ans d’expérience dans le domaine du développement de l’écotourisme dans les déserts du monde, expert auprès de l’Organisation Mondiale du Tourisme pour l’élaboration du manuel des, « Lignes directrices pour un tourisme durable dans les déserts du Monde. »
À l'occasion des Rencontres de DéfisMed à Nice en décembre, François Huet a rencontré Nicolas Monquaut, chargé de mission Culture-Tourisme au secrétariat général du ministère de la Culture. Avec lui, nous explorons la façon dont l'écotourisme peut tirer parti du patrimoine culturel immatériel en développant l'empreinte et l'identité de la population d'un territoire. Une telle démarche se doit aussi d'être accompagnée d'une profonde transformation du tourisme avec des ajustements à apporter à nos territoires dans l'espace et le temps, mais aussi dans l'accueil, afin de rendre tous nos territoires attrayants. Nous avons l’imagination et la créativité nécessaires pour réaliser ces objectifs qualitatifs ensemble en respectant la spécificité de chacun.
L'association Parcours le Monde, a pour objet de "promouvoir et développer à travers l’éducation formelle et non-formelle, la mobilité européenne et internationale, le dialogue interculturel et la citoyenneté, particulièrement auprès des jeunes et/ ou des publics qui en sont éloignés, et ceci dans un objectif d’autonomisation, de lien social et d’insertion sociale et professionnelle.” C'est une invitation au voyage pour permettre au jeunes de gagner confiance en eux, de s'épanouir. Les expériences proposées par l'association permettent aux jeunes de suivre leurs aspirations et de devenir acteur de leur vie.
Il n’y a pas que le chemin éducatif vers le bac : il existe d’autres possibilités pour des jeunes qui ne se retrouvent pas sur cette voie tracée par l’éducation nationale. Ado, l’école ne me proposait pas un environnement dans lequel je m’épanouissais. Mes parents ont eu l’intelligence de me diriger vers l’apprentissage. J’ai choisi l’hostellerie comme terre d’exploration pour aller au bout de mon rêve de voyages à travers le monde et pour découvrir ses différentes cultures. L'environnement était mon rêve. De nombreux jeunes sont à la recherche de sens dans leur vie. L’Écotourisme peut les accompagner sur leur chemin de vie.
Avec Caroline Le Roy, nous essayons comprendre la dynamique collective au travers de ce qui se vit à Time for the Planet. Medhi et Denis nous partagent comment ils ont créé collectivement une culture avec une vision très claire et des valeurs clés auquel adhère une communauté. Ensemble, ils tentent, ils avancent, ils corrigent et communiquent toujours avec une touche d'humour.
Animer une communauté, c’est aussi de créer des événements de vie en commun pour fédérer autour de rencontres humaines.
Vous avez envie de rejoindre Time for the Planet, cliquer ici: time-planet.com
Créé en 1984 par Jean-Maurice Thurot et Gaëtane Thurot, Docteurs en Économie du Tourisme, convaincus et bien placés pour le savoir que le modèle universitaire était inadapté pour accompagner des étudiants vers l’emploi (référentiels trop peu évolutifs, pas de stages…). Ils décident de lancer une école de commerce dédiée à 100% au tourisme.
L’ESCAET est une école qui participe activement depuis plus de 30 ans à l’évolution du secteur et a fait sa place en tant que référence auprès des professionnels du tourisme et des voyages. De l’accompagnement à l’immersion terrain, en passant par la proximité et la transparence, ce sont ces valeurs qui ont fait de l’école une référence. Elle doit aussi cette place à la qualité des profils étudiants qui en sortent, à la pertinence des formations professionnelles proposées, aux contenus approfondis de ses publications et à la réussite de ses événements professionnels.
Avec des exemples précis, Béatrice Kremer Cochet et Gilbert Cochet, tous les deux naturalistes, nous expliquent qu’un environnement naturel préservé a beaucoup plus de valeur pour le tourisme qu’un environnement vidé de vie.
Le monde de l’agriculture en France et dans le monde est en souffrance et disparaît peu à peu... Le tourisme est une opportunité de diversifier les activités agricoles et de redonner de la dignité aux paysans. Jean Marie Perrier, Président de Paysans du Monde, nous explique que les paysans sont hospitaliers et vont à la rencontre de l’autre. Ils ont cette capacité à sensibiliser les touristes, car ils aiment partager leurs savoirs et leurs liens avec la nature.
Se ressourcer dans le parc naturel de l’Aoubré seul, en famille ou entre amis est une pause que l’on s’accorde remplie de bien faits pour notre santé. C’est l’opportunité de stimuler à nos sens, de faire des découvertes inattendues, d’apprendre librement entourer d’une équipe de professionnels passionnés par le monde naturel avec l’envie de le partager au plus grand nombre de manière ludique. C'est ce qu'a développé Rémy Roseau depuis 20 ans dans le Var.
Observer la nature, la sentir, la toucher, l’écouter, nous fait réaliser que nous avons besoin d’elle, que nous devons la préserver, qu’elle contribue à notre équilibre mental et physique.
Le 18 Octobre, près de 300 professionels du tourisme se sont retrouver à cette journée du tourisme durable : "vers une hôtellerie plus vertueuse", organisée par le Credit Agricole Provence Cote d'Azur au Village by Crédit Agricole Provence Côte d'Azur à Sophia Antipolis.
Un village exposant avec 30 stands d'entreprises et de startup porteuses de solutions RSE et innovantes pour les professionnels du secteur s'est tenu en parallèle toute la journée sur la place du Village. 5 tables rondes se sont enchaînées tout au long de la journée, 10 ateliers différents menées par des entreprises porteuses de solutions, plus de 200 rendez-vous business l'après-midi, un business lunch. Bref pour une première, c'était une très belle réussite.
Le Credit Agricole par sa nature est une banque tournée vers son territoire et son économie locale. L'intention de cette journée était non seulement de répondre à une attente sur cette thématique sur un territoire où l'activité touristique est importante. mais aussi de pousser à l'engagement, à la transformation des modèles, revoir son logiciel en répondant aux enjeux actuels.
S’appuyer sur le sens du partage pour développer le travail collaboratif en interne et externe d’un office du tourisme valorisant les savoirs faire de chacun, ses équipes. C’est aussi la passion de développer son territoire ’en travaillant avec les habitants pour co construire des projets touristiques qui mettent en avant la singularité d’une destination offrant une expérience authentique et qui améliorent la qualité de vie locale.
Mylène Reuter avec un master en management de projets touristiques et e-tourisme nous partage son expérience de mise en œuvre de ce projet à Mons en cohérence avec ce qui l’anime dans ses valeurs et en synergie avec les différents acteurs de ce projet.
Cassandra Ouazzar et Xavier Bouniol de l’office de tourisme intercommunal du Pays de Fayence nous présente un concept de maison de village à Mons qui vit et qui valorise la relation entre les habitants, les voyageurs, la vie d’un village et la nature en travaillant dans le partage.
Cassandra Ouazzar et Xavier Bouniol de l’office de tourisme intercommunal du Pays de Fayence nous présente ce qui les anime et leur passion pour leur territoire, ses habitants, son patrimoine culturelle et naturelle et leurs engagements au quotidien pour un construire un tourisme positif.
Depuis plus de 30 ans, les croisières PONANT, basées à Marseille emmènent ses passagers dans les endroits les plus secrets de la planète, où la nature règne en majesté. Ce choix induit des responsabilités vis-à-vis des écosystèmes qui les composent et des communautés qui y vivent.
Abandon du fuel lourd, études d’impact environnemental, limitation de la vitesse moyenne des navires… Ils ont mis en place une série de mesures visant à réduire au maximum l' empreinte écologique dans les régions qu'ils visitent.Ils emmènent leurs passagers découvrir aussi bien des destinations exceptionnelles que rencontrer les populations qui y vivent depuis des siècles. Aussi, les itinéraires sont pensés en concertation avec les autorités locales et ils sensibilisent leurs équipages, leurs guides naturalistes et leurs passagers aux bonnes pratiques à adopter avec les communautés qui les accueillent.
Le cyclotourisme nous invite à découvrir des sites, des lieux, des paysages, des sites ou aller à la rencontre de la culture locale en utilisant le vélo comme moyen de transport. Il y a différents types de cyclotourisme. Il y a celui qui nous permet d'aller acheter la baguette et le croissant au boulanger du village. Il y a aussi celui de la randonnée sympathique qui permet de faire une boucle d'une journée et d'une demi-journée tranquillement et puis il y celui un peu plus sportif qui parcourt de plus grandes distances sur de plus grandes durées. Pour accueillir cette forme de tourisme, il y a besoin d'acteurs du tourisme qui s'engagent et croient au cyclo tourisme; hébergeurs, loueurs de vélos mécaniques ou électriques, des guides, des réparateurs de vélos et l'office du tourisme.
Pour ce reportage, je suis en Provence Verte, située entre le littoral et le Parc du Verdon pour rencontrer Claude Fussler, propriétaire du lieu "Une campagne en Provence".
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