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En Bretagne, se niche l’une des plus anciennes seigneuries du pays bigouden : le Manoir de Kerazan. Construit au XVI e siècle dans un style typiquement breton, il semble figé dans le temps depuis le leg de son dernier propriétaire, Joseph-Georges Astor, à l’Institut de France, en 1928. Avec son parc à l’anglaise de cinq hectares et son potager, le Domaine invite à une véritable immersion dans l’art de vivre en Bretagne à la fin du XIX e siècle.

Le Manoir de Kerazan propose tout au long de long de l'année des jeux de piste, des visites guidées et des ateliers adaptés à tous les publics. Il offre également des prestations spécialement conçues pour les groupes ainsi que pour les établissements scolaires.

Pour plus d'information, rdv sur le site internet ou par mail à kerazan@institutdefrance.fr

www.kerazan.fr
https://www.amisdekerazan.com/
https://www.institutdefrance.fr/?

Le hérisson est un habitant emblématique de notre beau pays. On le croise souvent dans nos jardins et parcs, où il arpente les lieux à la recherche de ses mets favoris, les petites bêtes, grâce à son museau pointu. Facilement reconnaissable grâce à son dos couvert de piquants, cet animal familier est désormais en danger. Très récemment, il a changé de statut sur la liste des espèces menacées, en raison d’un déclin alarmant de ses populations. Il est aujourd’hui classé comme quasi menacé d’extinction. Comment en sommes-nous arrivés là ? Quelles sont les menaces qui pèsent sur lui ? Et surtout, comment pouvons- nous le protéger pour continuer à le voir évoluer dans nos jardins ? Éclairons ces questions et bien d’autres avec Victoire Kuhn !

Au cœur d’un havre de paix verdoyant, le Moulin à papier de Brousses proche de Carcassonne, est l’un des derniers encore en activité d’Europe. Papetiers depuis 7 générations, la famille d’André Durand y transmet avec passion l’histoire et les secrets du papier que nous connaissons finalement si peu…
Que l’on s’y rende pour donner vie à un projet personnalisé ou simplement pour visiter, ce lieu vivant tisse un lien fort avec le public. Êtes-vous prêts à le découvrir et à mettre la main à la pâte pour créer votre propre papier ?

 

Connaissez-vous ces planeurs à l’envergure imposante les vautours ? Saviez-vous que nous avions 4 espèces en France ? Ces charognards à la mauvaise réputation sont des éboueurs naturels de la nature. Or, depuis maintenant quelques temps, certains syndicats agricoles prétendent que les vautours attaquent le bétail. Qu’en est-il ? Est-ce que les vautours changent de comportement alimentaire ? Discutons avec Olivier Duriez de ces questions et bien d’autres !

Parce que le temps nous a manqué le mois dernier, je vous propose de continuer de découvrir l’abbaye de la Clarté-Dieu, en Indre-et-Loire. Quels travaux ont déjà été effectués ? Quels sont ceux à venir ? Quels prix ont été reçus, récompensant ainsi le passionnant travail de restauration mené par Patrick, Julita Moussette et leur association ? Et enfin, comment découvrir ce lieu : visite guidée ou récital de musique classique ? Ce lieu captivant aux 800 ans d’histoire n’attend plus que votre visite !

Lorsque Julita et son mari Patrick découvrent l’abbaye en 2002, cette dernière est totalement laissée à l’abandon et envahie de végétation. Loin de se décourager, le couple s’engage dans la découverte et la rénovation du site. Leurs métiers respectifs – ébénist et restaurateur de meubles pour lui et sculptrice pour elle – sont un atout pour réaliser de premiers travaux avant de faire appel à des experts aux compétences variées. Niché au cœur de la commune de Saint-Paterne Racan, ce lieu a encore beaucoup à raconter. Sous la charpente datant de 1274, on pourrait presque encore entendre les voix de la soixantaine de convers qui y résidaient…

Parlons de bouse et de bousier. Cet insecte, spécialisé dans le processus de recyclage des déjections, joue un rôle crucial en convertissant les excréments en une substance nutritive utilisable par les plantes. De plus, il constitue une source alimentaire essentielle pour divers autres animaux tels que les oiseaux ou les chauves-souris. En France, on recense près de 200 espèces ! Les bousiers se retrouvent dans une variété d'habitats, allant des zones forestières aux prairies, en passant par les zones côtières. Mais quelles sont ses principales caractéristiques ? Est-ce qu’il existe plusieurs types de bousier ? Comment les protéger ?
Nous répondrons à ces questions et bien d’autres avec notre invité.

Connaissez-vous ces planeurs à l’envergure imposante les vautours ?

Saviez-vous que nous avions 4 espèces en France ? Ces charognards à la mauvaise réputation sont des éboueurs naturels de la nature. Discutons avec Antoine Adam, ornithologue à la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) Occitanie de ces magnifiques volatiles !

Déjà présentes sur Terre il y a 200 million d'années, les libellules sont regroupés dans l’ordre des Odonates. Elles apprécient les milieux
aquatiques et sont des as de la voltige. Cependant, malgré leur ancienneté sur notre belle planète, elles sont à l’heure actuelle menacée.
Heureusement, des actions de protection et de sensibilisation sont en cours au niveau national et local en Occitanie. Deux salariés de
l’Office pour les insectes et leur environnement viennent nous en parler.

Parlons un peu des tiques. Vous savez : ces petits acariens pas forcément très sympathiques qui aiment bien rester sur nous pour profiter d’un bon repas sanguin... Ballade en forêt, randonnée dans la montagne ou même en plaine, voir même dans nos villes, les tiques sont partout. Le problème, c’est qu’elles nous transmettent tout un tas de joyeuses maladies dont la très célèbre maladie de Lyme.

En 2021, 47 000 cas auraient été diagnostiqués en France pour cette maladie. Alors c’est quoi une tique ? Pourquoi nous transmettent-elles autant de maladies alors qu’on ne leur a rien demandé ? Nous en discutons avec Frédéric Stachurski, chercheur au CIRAD, vétérinaire et spécialiste des acariens.

Dans l'histoire du projet d'autoroute A69 qui doit relier Castres à Toulouse et qui suscite de nombreux débats depuis plusieurs mois, le ministre délégué aux Transports Clément Beaune, a indiqué que pour chaque arbre abattu lors de ce chantier, il y aura 5 arbres replantés.

Cette idée de recréer à un endroit la nature qu'on détruit à un autre, on appelle cela, la compensation écologique. Souvent utilisée par des promoteurs de grands projets de construction qui ont un impact sur des forêts, des plans d'eau, bref sur des habitats ou directement sur des espèces animales ou végétales, cette compensation est aussi critiquée et certains y voient même un "droit à détruire".

Nous parlons avec notre invité Léo Pelloli, directeur et gérant du bureau d’étude Altemis, de ce concept de compensation écologique.

Pour en savoir plus le site internet de l'entreprise : ALTEMIS – Faire de l'écologue un acteur du projet (altemis-environnement.fr)

Aujourd’hui, nous allons parler du plus gros carnivore d’Europe présent depuis longtemps dans notre imaginaire, admiré, vénéré pensé comme un parent ou un ancêtre de l’homme. Cet animal a côtoyé l’homme depuis ses débuts. Du nounours en peluche jusqu’aux multiples films où il est en vedette, cet animal nous fascine et en même temps nous effraie. Essayons aujourd’hui d’en savoir un peu plus sur l’ours présent dans notre beau pays. Pour en parler, nous recevons aujourd’hui dans notre émission, Alain Reynes, directeur de l’association Pays de l’ours- Adet.

Pour en savoir plus le site internet de l’association : Accueil - Pays de l'Ours (paysdelours.com)

Quelles sont les principales stratégies de conservation de la biodiversité ? En quoi consiste une aire protégée ? Est-ce efficace ? Faut-il s'inquiéter du trafic illégal croissant d'animaux dans notre pays ? Comment agir à l'échelle du citoyen ?

Nos invités dans le cadre de cette émission :

> Camille Sanchez, animatrice scientifique au Parc de Lunaret
> jean-Louis Martin, directeur de recherche émérite au CNRS - Centre national de la recherche scientifique au sein du Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive ;
> Laurent Retiere, inspecteur de l'environnement à l'Office français de la biodiversité.

Émission présentée par Guillaume Bagnolini et Lionel Coste

Médiatrice culturelle de formation, Adeline Guillemaut a créé son propre métier en 2019, celui de Cueilleuse de mémoires. Écouter des récits de vie, capturer l’esprit d’un lieu, révéler l’histoire d’un objet ou encore mettre en lumière l’aventure humaine d’une structure sont autant de talents qu’elle met à disposition des territoires et notamment du sien : la Bresse. Équipée d’un carnet de notes et d’un enregistreur, elle part à la rencontre des hommes et des femmes qui souhaitent laisser une trace.
Sa plume sensible sublimera ensuite ces échanges dans divers supports : livres, articles ou encore expositions.

Ceuilleuses de Mémoires
Association D'Artagnan

Parlons de bouse et de bousier. Cet insecte, spécialisé dans le processus de recyclage des déjections, joue un rôle crucial en convertissant les excréments en une substance nutritive utilisable par les plantes. De plus, il constitue une source alimentaire essentielle pour divers autres animaux tels que les oiseaux ou les chauves-souris. En France, on recense près de 200 espèces ! Les bousiers se retrouvent dans une variété d'habitats, allant des zones forestières aux prairies, en passant par les zones côtières. Mais quelles sont ses principales caractéristiques ? Est-ce qu’il existe plusieurs types de bousier ? Comment les protéger ?
Nous répondrons à ces questions et bien d’autres avec notre invité.

Que met-on en valeur sur un site ? Où souhaite-t-on accueillir le public ? Quel lieu doit être préservé ? Comment surprendre les visiteurs, locaux ou touristes et leur faire découvrir le caractère d’un lieu, ses atouts, ses fragilités ? De nombreuses questions sont posées avant de se lancer dans la création d’outils d’interprétation sur un site.
Benoît Deboskre, co-directeur du CPIE Haut-Doubs, en sait quelque chose puisqu’il utilise cet outil de médiation depuis maintenant plus de 30 ans. Avec son équipe d’éco-interprètes, il participe à traduire le territoire dans la langue des visiteurs, tissant ainsi un lien fort et favorisant la compréhension, l’appréciation et la protection.