Halte spirituelle - page 29 | RCF

On dit que le diable se cache dans les détails quand une broutille est susceptible de mettre en péril un projet en cours ou une situation quelconque. On pourrait dire exactement la même chose de Dieu, à ceci près que Dieu ne met rien en péril ! Au contraire, c'est souvent dans les trois fois rien de la vie ordinaire qu'il s'invite, apportant un supplément de vie, un souffle léger.

Véronique Alzieu reçoit le Père Raphaël Buyse, prêtre du diocèse de Lille, membre de la Fraternité diocésaine des parvis, auteur de "Rikiki tutti - Ou la saveur secrète du trois-fois-rien" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).

Les rites ont toujours fait partie de la vie humaine, ils viennent marquer d’une pierre blanche le cours de nos existences, depuis le berceau de la naissance jusqu'à l'extrémité de nos parcours. S’appuyant sur cette donnée anthropologique, les grandes traditions religieuses ont créé leurs propres rites, qui prennent la forme de multitude de gestes, de paroles et de symboles. La tradition chrétienne a les siens qu’elle propose depuis plus de 2.000 ans. En quoi ces rites peuvent-ils rejoindre nos contemporains ? Comment leur donner sens et chair ? Des éléments de réponse avec Gabriel Ringlet, auteur de "La Grâce des jours uniques" (éd. Albin Michel).

Les rites ont toujours fait partie de la vie humaine, ils viennent marquer d’une pierre blanche le cours de nos existences, depuis le berceau de la naissance jusqu'à l'extrémité de nos parcours. S’appuyant sur cette donnée anthropologique, les grandes traditions religieuses ont créé leurs propres rites, qui prennent la forme de multitude de gestes, de paroles et de symboles. La tradition chrétienne a les siens qu’elle propose depuis plus de 2.000 ans. En quoi ces rites peuvent-ils rejoindre nos contemporains ? Comment leur donner sens et chair ? Des éléments de réponse avec Gabriel Ringlet, auteur de "La Grâce des jours uniques" (éd. Albin Michel).

Les rites ont toujours fait partie de la vie humaine, ils viennent marquer d’une pierre blanche le cours de nos existences, depuis le berceau de la naissance jusqu'à l'extrémité de nos parcours. S’appuyant sur cette donnée anthropologique, les grandes traditions religieuses ont créé leurs propres rites, qui prennent la forme de multitude de gestes, de paroles et de symboles. La tradition chrétienne a les siens qu’elle propose depuis plus de 2.000 ans. En quoi ces rites peuvent-ils rejoindre nos contemporains ? Comment leur donner sens et chair ? Des éléments de réponse avec Gabriel Ringlet, auteur de "La Grâce des jours uniques" (éd. Albin Michel).

Que va-t-il advenir de l'Église catholique ? Faut-il la réformer ? Avant de la transformer pour qu'elle poursuive sa mission, commençons par relire son histoire : c'est ce que propose Mgr Joseph Doré, archevêque émérite de Strasbourg. Pour l'auteur de l'ouvrage "Le salut de l'Église est dans sa propre conversion" (éd. Salvator), la conversion de l'Église passe par un retour au cœur de la foi et une conversion à la mission.

Que va-t-il advenir de l'Église catholique ? Faut-il la réformer ? Avant de la transformer pour qu'elle poursuive sa mission, commençons par relire son histoire : c'est ce que propose Mgr Joseph Doré, archevêque émérite de Strasbourg. Pour l'auteur de l'ouvrage "Le salut de l'Église est dans sa propre conversion" (éd. Salvator), la conversion de l'Église passe par un retour au cœur de la foi et une conversion à la mission.

Que va-t-il advenir de l'Église catholique ? Faut-il la réformer ? Avant de la transformer pour qu'elle poursuive sa mission, commençons par relire son histoire : c'est ce que propose Mgr Joseph Doré, archevêque émérite de Strasbourg. Pour l'auteur de l'ouvrage "Le salut de l'Église est dans sa propre conversion" (éd. Salvator), la conversion de l'Église passe par un retour au cœur de la foi et une conversion à la mission.

Que va-t-il advenir de l'Église catholique ? Faut-il la réformer ? Avant de la transformer pour qu'elle poursuive sa mission, commençons par relire son histoire : c'est ce que propose Mgr Joseph Doré, archevêque émérite de Strasbourg. Pour l'auteur de l'ouvrage "Le salut de l'Église est dans sa propre conversion" (éd. Salvator), la conversion de l'Église passe par un retour au cœur de la foi et une conversion à la mission.

Que va-t-il advenir de l'Église catholique ? Faut-il la réformer ? Avant de la transformer pour qu'elle poursuive sa mission, commençons par relire son histoire : c'est ce que propose Mgr Joseph Doré, archevêque émérite de Strasbourg. Pour l'auteur de l'ouvrage "Le salut de l'Église est dans sa propre conversion" (éd. Salvator), la conversion de l'Église passe par un retour au cœur de la foi et une conversion à la mission.

En 1999, avec la Déclaration commune sur la justification par la foi, catholiques et luthériens se sont accordés sur une formulation commune de leur foi, affirmant ensemble que le salut était accordé aux hommes par la grâce de Dieu et non selon leurs mérites. Cet accord, qui s'étend désormais aux réformés et aux anglicans du monde entier, mettait un terme à 500 ans de contentieux théologiques à l'origine de la Réforme protestante. Les chrétiens sont donc unanimes pour accorder à la grâce la primauté. Mais comment comprendre ce qu'est la grâce ? Béatrice Soltner reçoit le théologien André Birmelé, auteur de "L'horizon de la grâce" (éd. Cerf, 2013).

En 1999, avec la Déclaration commune sur la justification par la foi, catholiques et luthériens se sont accordés sur une formulation commune de leur foi, affirmant ensemble que le salut était accordé aux hommes par la grâce de Dieu et non selon leurs mérites. Cet accord, qui s'étend désormais aux réformés et aux anglicans du monde entier, mettait un terme à 500 ans de contentieux théologiques à l'origine de la Réforme protestante. Les chrétiens sont donc unanimes pour accorder à la grâce la primauté. Mais comment comprendre ce qu'est la grâce ? Béatrice Soltner reçoit le théologien André Birmelé, auteur de "L'horizon de la grâce" (éd. Cerf, 2013).

En 1999, avec la Déclaration commune sur la justification par la foi, catholiques et luthériens se sont accordés sur une formulation commune de leur foi, affirmant ensemble que le salut était accordé aux hommes par la grâce de Dieu et non selon leurs mérites. Cet accord, qui s'étend désormais aux réformés et aux anglicans du monde entier, mettait un terme à 500 ans de contentieux théologiques à l'origine de la Réforme protestante. Les chrétiens sont donc unanimes pour accorder à la grâce la primauté. Mais comment comprendre ce qu'est la grâce ? Béatrice Soltner reçoit le théologien André Birmelé, auteur de "L'horizon de la grâce" (éd. Cerf, 2013).

En 1999, avec la Déclaration commune sur la justification par la foi, catholiques et luthériens se sont accordés sur une formulation commune de leur foi, affirmant ensemble que le salut était accordé aux hommes par la grâce de Dieu et non selon leurs mérites. Cet accord, qui s'étend désormais aux réformés et aux anglicans du monde entier, mettait un terme à 500 ans de contentieux théologiques à l'origine de la Réforme protestante. Les chrétiens sont donc unanimes pour accorder à la grâce la primauté. Mais comment comprendre ce qu'est la grâce ? Béatrice Soltner reçoit le théologien André Birmelé, auteur de "L'horizon de la grâce" (éd. Cerf, 2013).

En 1999, avec la Déclaration commune sur la justification par la foi, catholiques et luthériens se sont accordés sur une formulation commune de leur foi, affirmant ensemble que le salut était accordé aux hommes par la grâce de Dieu et non selon leurs mérites. Cet accord, qui s'étend désormais aux réformés et aux anglicans du monde entier, mettait un terme à 500 ans de contentieux théologiques à l'origine de la Réforme protestante. Les chrétiens sont donc unanimes pour accorder à la grâce la primauté. Mais comment comprendre ce qu'est la grâce ? Béatrice Soltner reçoit le théologien André Birmelé, auteur de "L'horizon de la grâce" (éd. Cerf, 2013).

 

À quoi sert notre foi chrétienne si l’on considère que la non-violence relève de l’utopie ? Si l'on pense, comme le reste de la société, qu’il faut obéir à la loi du plus fort ? Au sein du mouvement Pax Christi, dont il a été l’aumônier, Dominique Lang a rencontré des militants de la non-violence. Religieux assomptionniste et journaliste à l'hebdomadaire Le Pèlerin, il nous propose une méditation sur la non-violence évangélique. Il est l'auteur de "Forts dans la faiblesse - Au cœur de la non-violence évangélique" (éd. Salvator, 2021).

À quoi sert notre foi chrétienne si l’on considère que la non-violence relève de l’utopie ? Si l'on pense, comme le reste de la société, qu’il faut obéir à la loi du plus fort ? Au sein du mouvement Pax Christi, dont il a été l’aumônier, Dominique Lang a rencontré des militants de la non-violence. Religieux assomptionniste et journaliste à l'hebdomadaire Le Pèlerin, il nous propose une méditation sur la non-violence évangélique. Il est l'auteur de "Forts dans la faiblesse - Au cœur de la non-violence évangélique" (éd. Salvator, 2021).

Après avoir été un Dieu d'alliance, à Noël, Dieu abolit la distance avec l'humanité et se donne totalement en venant habiter parmi nous. Cette année l'émission Halte spirituelle est aux couleurs du Liban, avant la programmation spéciale Noël qui se fera en direct de Beyrouth. Véronique Alzieu reçoit le Père Gabriel Khairallah, curé de l'église Saint-Joseph à Beyrouth.

Après avoir été un Dieu d'alliance, à Noël, Dieu abolit la distance avec l'humanité et se donne totalement en venant habiter parmi nous.

Après avoir été un Dieu d'alliance, à Noël, Dieu abolit la distance avec l'humanité et se donne totalement en venant habiter parmi nous. Cette année l'émission Halte spirituelle est aux couleurs du Liban, avant la programmation spéciale Noël qui se fera en direct de Beyrouth. Véronique Alzieu reçoit le Père Gabriel Khairallah, curé de l'église Saint-Joseph à Beyrouth.

Après avoir été un Dieu d'alliance, à Noël, Dieu abolit la distance avec l'humanité et se donne totalement en venant habiter parmi nous. Cette année l'émission Halte spirituelle est aux couleurs du Liban, avant la programmation spéciale Noël qui se fera en direct de Beyrouth. Véronique Alzieu reçoit le Père Gabriel Khairallah, curé de l'église Saint-Joseph à Beyrouth.

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