Halte spirituelle RCF - page 27

À quoi tient la sérénité ? Pour François de Sales, la réponse est dans le désir que nous avons de confier notre vie à Dieu. Surnommé "docteur de l'amour", ce saint du XVIIe siècle a laissé des écrits d'une grande profondeur pour les chrétiens d'aujourd'hui. Tout particulièrement ses textes sur l'abandon en Dieu et à Dieu. Pour en parler, Madeleine Vatel reçoit Joël Guibert, prêtre du diocèse de Nantes et auteur de "Le secret de la sérénité - La confiance en Dieu avec saint François de Sales" (éd. Artège, 2022).

À quoi tient la sérénité ? Pour François de Sales, la réponse est dans le désir que nous avons de confier notre vie à Dieu. Surnommé "docteur de l'amour", ce saint du XVIIe siècle a laissé des écrits d'une grande profondeur pour les chrétiens d'aujourd'hui. Tout particulièrement ses textes sur l'abandon en Dieu et à Dieu. Pour en parler, Madeleine Vatel reçoit Joël Guibert, prêtre du diocèse de Nantes et auteur de "Le secret de la sérénité - La confiance en Dieu avec saint François de Sales" (éd. Artège, 2022).

À quoi tient la sérénité ? Pour François de Sales, la réponse est dans le désir que nous avons de confier notre vie à Dieu. Surnommé "docteur de l'amour", ce saint du XVIIe siècle a laissé des écrits d'une grande profondeur pour les chrétiens d'aujourd'hui. Tout particulièrement ses textes sur l'abandon en Dieu et à Dieu. Pour en parler, Madeleine Vatel reçoit Joël Guibert, prêtre du diocèse de Nantes et auteur de "Le secret de la sérénité - La confiance en Dieu avec saint François de Sales" (éd. Artège, 2022).

À quoi tient la sérénité ? Pour François de Sales, la réponse est dans le désir que nous avons de confier notre vie à Dieu. Surnommé "docteur de l'amour", ce saint du XVIIe siècle a laissé des écrits d'une grande profondeur pour les chrétiens d'aujourd'hui. Tout particulièrement ses textes sur l'abandon en Dieu et à Dieu. Pour en parler, Madeleine Vatel reçoit Joël Guibert, prêtre du diocèse de Nantes et auteur de "Le secret de la sérénité - La confiance en Dieu avec saint François de Sales" (éd. Artège, 2022).

"La Bible est porteuse de connaissances anthropologiques très profondes qui nourrissent la psychanalyse." Même si la notion d'inconscient n'était pas formulée ainsi par les rédacteurs de la Bible, ceux-ci en ont fait l'expérience. "L'inconscient a toujours mû l'homme", nous dit Marie-Reine Mezzarobba et c'est dès les récits de la création du monde qu'ils nous parlent de la jalousie. Pour la bibliste et théologienne, professeur d'anthropologie chrétienne, la Bible nous aide justement à reconnaître les symptômes de la jalousie. Elle publie "Ce que dit la Bible sur la jalousie" (éd. Nouvelle cité).

"La Bible est porteuse de connaissances anthropologiques très profondes qui nourrissent la psychanalyse." Même si la notion d'inconscient n'était pas formulée ainsi par les rédacteurs de la Bible, ceux-ci en ont fait l'expérience. "L'inconscient a toujours mû l'homme", nous dit Marie-Reine Mezzarobba et c'est dès les récits de la création du monde qu'ils nous parlent de la jalousie. Pour la bibliste et théologienne, professeur d'anthropologie chrétienne, la Bible nous aide justement à reconnaître les symptômes de la jalousie. Elle publie "Ce que dit la Bible sur la jalousie" (éd. Nouvelle cité).

"La Bible est porteuse de connaissances anthropologiques très profondes qui nourrissent la psychanalyse." Même si la notion d'inconscient n'était pas formulée ainsi par les rédacteurs de la Bible, ceux-ci en ont fait l'expérience. "L'inconscient a toujours mû l'homme", nous dit Marie-Reine Mezzarobba et c'est dès les récits de la création du monde qu'ils nous parlent de la jalousie. Pour la bibliste et théologienne, professeur d'anthropologie chrétienne, la Bible nous aide justement à reconnaître les symptômes de la jalousie. Elle publie "Ce que dit la Bible sur la jalousie" (éd. Nouvelle cité).

"La Bible est porteuse de connaissances anthropologiques très profondes qui nourrissent la psychanalyse." Même si la notion d'inconscient n'était pas formulée ainsi par les rédacteurs de la Bible, ceux-ci en ont fait l'expérience. "L'inconscient a toujours mû l'homme", nous dit Marie-Reine Mezzarobba et c'est dès les récits de la création du monde qu'ils nous parlent de la jalousie. Pour la bibliste et théologienne, professeur d'anthropologie chrétienne, la Bible nous aide justement à reconnaître les symptômes de la jalousie. Elle publie "Ce que dit la Bible sur la jalousie" (éd. Nouvelle cité).

"La Bible est porteuse de connaissances anthropologiques très profondes qui nourrissent la psychanalyse." Même si la notion d'inconscient n'était pas formulée ainsi par les rédacteurs de la Bible, ceux-ci en ont fait l'expérience. "L'inconscient a toujours mû l'homme", nous dit Marie-Reine Mezzarobba et c'est dès les récits de la création du monde qu'ils nous parlent de la jalousie. Pour la bibliste et théologienne, professeur d'anthropologie chrétienne, la Bible nous aide justement à reconnaître les symptômes de la jalousie. Elle publie "Ce que dit la Bible sur la jalousie" (éd. Nouvelle cité).

Après les 40 jours de Carême, après la Passion et la Résurrection du Christ célébrée le jour de Pâques, les chrétiens entrent dans le temps pascal. Une période liturgique que l'on oublie parfois. Mais a-t-on bien compris de quoi il s'agit ? Mesure-t-on l'inouï de la Résurrection ? Comment comprendre qu'elle n'appartient ni au passé ni aux débats d'idées sur la fin des temps ? Qu'elle se joue tous les jours ici et maintenant, "jusqu'à la fin des temps" ?

Madeleine Vatel reçoit le Père Christophe Danset, prêtre du diocèse de Lille, vicaire épiscopal pour l'Enseignement catholique et la pastorale des jeunes, spécialiste de la christologie, c'est-à-dire l'étude du mystère du Christ. Il est l'auteur d'un mémoire réalisé à partir de l'œuvre du théologien protestant Karl Barth, "Comment parler du Christ glorifié ?"

Après les 40 jours de Carême, après la Passion et la Résurrection du Christ célébrée le jour de Pâques, les chrétiens entrent dans le temps pascal. Une période liturgique que l'on oublie parfois. Mais a-t-on bien compris de quoi il s'agit ? Mesure-t-on l'inouï de la Résurrection ? Comment comprendre qu'elle n'appartient ni au passé ni aux débats d'idées sur la fin des temps ? Qu'elle se joue tous les jours ici et maintenant, "jusqu'à la fin des temps" ?

Madeleine Vatel reçoit le Père Christophe Danset, prêtre du diocèse de Lille, vicaire épiscopal pour l'Enseignement catholique et la pastorale des jeunes, spécialiste de la christologie, c'est-à-dire l'étude du mystère du Christ. Il est l'auteur d'un mémoire réalisé à partir de l'œuvre du théologien protestant Karl Barth, "Comment parler du Christ glorifié ?"

Après les 40 jours de Carême, après la Passion et la Résurrection du Christ célébrée le jour de Pâques, les chrétiens entrent dans le temps pascal. Une période liturgique que l'on oublie parfois. Mais a-t-on bien compris de quoi il s'agit ? Mesure-t-on l'inouï de la Résurrection ? Comment comprendre qu'elle n'appartient ni au passé ni aux débats d'idées sur la fin des temps ? Qu'elle se joue tous les jours ici et maintenant, "jusqu'à la fin des temps" ?

Madeleine Vatel reçoit le Père Christophe Danset, prêtre du diocèse de Lille, vicaire épiscopal pour l'Enseignement catholique et la pastorale des jeunes, spécialiste de la christologie, c'est-à-dire l'étude du mystère du Christ. Il est l'auteur d'un mémoire réalisé à partir de l'œuvre du théologien protestant Karl Barth, "Comment parler du Christ glorifié ?"

Après les 40 jours de Carême, après la Passion et la Résurrection du Christ célébrée le jour de Pâques, les chrétiens entrent dans le temps pascal. Une période liturgique que l'on oublie parfois. Mais a-t-on bien compris de quoi il s'agit ? Mesure-t-on l'inouï de la Résurrection ? Comment comprendre qu'elle n'appartient ni au passé ni aux débats d'idées sur la fin des temps ? Qu'elle se joue tous les jours ici et maintenant, "jusqu'à la fin des temps" ?

Madeleine Vatel reçoit le Père Christophe Danset, prêtre du diocèse de Lille, vicaire épiscopal pour l'Enseignement catholique et la pastorale des jeunes, spécialiste de la christologie, c'est-à-dire l'étude du mystère du Christ. Il est l'auteur d'un mémoire réalisé à partir de l'œuvre du théologien protestant Karl Barth, "Comment parler du Christ glorifié ?"

Après les 40 jours de Carême, après la Passion et la Résurrection du Christ célébrée le jour de Pâques, les chrétiens entrent dans le temps pascal. Une période liturgique que l'on oublie parfois. Mais a-t-on bien compris de quoi il s'agit ? Mesure-t-on l'inouï de la Résurrection ? Comment comprendre qu'elle n'appartient ni au passé ni aux débats d'idées sur la fin des temps ? Qu'elle se joue tous les jours ici et maintenant, "jusqu'à la fin des temps" ?

Madeleine Vatel reçoit le Père Christophe Danset, prêtre du diocèse de Lille, vicaire épiscopal pour l'Enseignement catholique et la pastorale des jeunes, spécialiste de la christologie, c'est-à-dire l'étude du mystère du Christ. Il est l'auteur d'un mémoire réalisé à partir de l'œuvre du théologien protestant Karl Barth, "Comment parler du Christ glorifié ?"

Les récits de la Passion reviennent chaque année dans le calendrier liturgique chrétien. Du Jeudi saint au dimanche de Pâques, nous écoutons des textes qui narrent les derniers jours de la vie du Christ. Ces textes pascals sont au cœur de ce que l'on appelle le kérygme, c'est-à-dire le noyau de la première prédication des apôtres : à savoir que Jésus est fils de Dieu et sauveur du monde. Une fois que l'on a dit cela, reste à comprendre ce que fut l'expérience concrète d'un Jésus qui souffre, qui meurt et qui donne sa vie au monde. Pour parler de la Passion et de la résurrection, Béatrice Soltner reçoit non pas un théologien mais un philosophe : Emmanuel Falque, auteur de "Triduum philosophique" (éd. Cerf, 2015).

Les récits de la Passion reviennent chaque année dans le calendrier liturgique chrétien. Du Jeudi saint au dimanche de Pâques, nous écoutons des textes qui narrent les derniers jours de la vie du Christ. Ces textes pascals sont au cœur de ce que l'on appelle le kérygme, c'est-à-dire le noyau de la première prédication des apôtres : à savoir que Jésus est fils de Dieu et sauveur du monde. Une fois que l'on a dit cela, reste à comprendre ce que fut l'expérience concrète d'un Jésus qui souffre, qui meurt et qui donne sa vie au monde. Pour parler de la Passion et de la résurrection, Béatrice Soltner reçoit non pas un théologien mais un philosophe : Emmanuel Falque, auteur de "Triduum philosophique" (éd. Cerf, 2015).

Les récits de la Passion reviennent chaque année dans le calendrier liturgique chrétien. Du Jeudi saint au dimanche de Pâques, nous écoutons des textes qui narrent les derniers jours de la vie du Christ. Ces textes pascals sont au cœur de ce que l'on appelle le kérygme, c'est-à-dire le noyau de la première prédication des apôtres : à savoir que Jésus est fils de Dieu et sauveur du monde. Une fois que l'on a dit cela, reste à comprendre ce que fut l'expérience concrète d'un Jésus qui souffre, qui meurt et qui donne sa vie au monde. Pour parler de la Passion et de la résurrection, Béatrice Soltner reçoit non pas un théologien mais un philosophe : Emmanuel Falque, auteur de "Triduum philosophique" (éd. Cerf, 2015).

Les récits de la Passion reviennent chaque année dans le calendrier liturgique chrétien. Du Jeudi saint au dimanche de Pâques, nous écoutons des textes qui narrent les derniers jours de la vie du Christ. Ces textes pascals sont au cœur de ce que l'on appelle le kérygme, c'est-à-dire le noyau de la première prédication des apôtres : à savoir que Jésus est fils de Dieu et sauveur du monde. Une fois que l'on a dit cela, reste à comprendre ce que fut l'expérience concrète d'un Jésus qui souffre, qui meurt et qui donne sa vie au monde. Pour parler de la Passion et de la résurrection, Béatrice Soltner reçoit non pas un théologien mais un philosophe : Emmanuel Falque, auteur de "Triduum philosophique" (éd. Cerf, 2015).

Les récits de la Passion reviennent chaque année dans le calendrier liturgique chrétien. Du Jeudi saint au dimanche de Pâques, nous écoutons des textes qui narrent les derniers jours de la vie du Christ. Ces textes pascals sont au cœur de ce que l'on appelle le kérygme, c'est-à-dire le noyau de la première prédication des apôtres : à savoir que Jésus est fils de Dieu et sauveur du monde. Une fois que l'on a dit cela, reste à comprendre ce que fut l'expérience concrète d'un Jésus qui souffre, qui meurt et qui donne sa vie au monde. Pour parler de la Passion et de la résurrection, Béatrice Soltner reçoit non pas un théologien mais un philosophe : Emmanuel Falque, auteur de "Triduum philosophique" (éd. Cerf, 2015).

L'émission Halte spirituelle continue à conduire les auditeurs vers Pâques à la lumière de la spiritualité fransiscaine. La conversion à laquelle invite le carême passe par la réconciliation : avec soi-même, avec les autres, avec la Création et finalement avec Dieu. Le Capucin Frère Eric Bidot revient sur ce qui dans la crucifixion du Christ vient guérir nos blessures.