L'inattendu de Dieu - page 2

Le projet de l’Évangile au cœur est de reprendre la tradition et les méthodes des premières communautés chrétiennes pour transmettre l’Évangile. Elles avaient une culture orale et apprenaient ainsi l’Évangile par cœur, par petits groupes de 6 apprenants, puis chacun des 6 allait à son tour faire apprendre à 6 autres, de cœur à cœur. Apprendre par cœur L’Évangile, c’est possible ! Semaine après semaine, perle par perle, puis collier par collier, en reprenant les méthodes de mémorisation de toutes les civilisations orales.
L’Évangile au Cœur propose ainsi de revenir à la pédagogie instituée par Jésus et les apôtres : apprendre l’Évangile par cœur, de cœur à cœur, par petits groupes, pour l’avoir en soi, le méditer et être capable ensuite de le redonner à celui qui en a besoin.
C’est cette méthode que nous expose l’un des co- fondateurs de ces groupes Bernard Scherrer, accompagné par deux témoins pratiquants.

La lecture d’un livre consacré à Thérèse d’Avila a bouleversé la vie de Bernard Guidez. Sa proximité avec la sainte espagnole lui a enseigné à se lier d’amitié avec Jésus et lui a fait découvrir la prière d’oraison. La découverte de la parole de Dieu dans un foyer de charité lui a permis d’établir un lien fort entre la lecture de l’Evangile et les écrits de la sainte. Ce sont ses deux « jambes » qui lui permettent de marcher en Eglise.

Les deux derniers mots de la main correspondent à l'annulaire pour symboliser l'alliance du baptisé avec le peuple de Dieu et du peuple avec son Dieu. L'auriculaire correspond à l'ami qui vient parler à l'oreille et révéler les secrets de l'amitié. Dans paume de la main de chacun de nous, les lignes dessinent un M...le M de Marie...tout passe par la paume de la main et par Marie.

La lecture d’un livre consacré à Thérèse d’Avila a bouleversé la vie de Bernard Guidez. Sa proximité avec la sainte espagnole lui a enseigné à se lier d’amitié avec Jésus et lui a fait découvrir la prière d’oraison. La découverte de la parole de Dieu dans un foyer de charité lui a permis d’établir un lien fort entre la lecture de l’Evangile et les écrits de la sainte. Ce sont ses deux « jambes » qui lui permettent de marcher en Eglise.

Au cours d'une école d'oraison, il demande, pour mémoriser la spiritualité de la sainte, à retenir ces 5 mots "Fais de Jésus ton ami".en regardant sa main et en plaçant un mot sur chaque doigt.
Son directeur spirituel lui demande d'écrire ce livre dans lequel il développe le sens de chaque mot.Il donne la parole à la sainte en citant des extraits de ses écrits pour expliquer l'oraison.
Dans cette émission, les trois premiers, pouce, index et majeur correspondent pour le pouce à la volonté indispensable pour commencer, à l'index pour l'identité de la personne et de Dieu et enfin au majeur pour l'humanité du Christ, si chère à Thérèse de Jésus, nom religieux de la sainte.

La lecture d’un livre consacré à Thérèse d’Avila a bouleversé la vie de Bernard Guidez. Sa proximité avec la sainte espagnole lui a enseigné à se lier d’amitié avec Jésus et lui a fait découvrir la prière d’oraison. La découverte de la parole de Dieu dans un foyer de charité lui a permis d’établir un lien fort entre la lecture de l’Evangile et les écrits de la sainte. Ce sont ses deux « jambes » qui lui permettent de marcher en Eglise.

Passionné par la vie de la sainte, BG lit plusieurs biographies pour bien connaître son amie carmélite, lit l'ensemble de ses écrits au début de sa retraite d'agriculteur et découvre l'existence du Carmel séculier dans lequel il entre et fait ses voeux, ce qui l'amènera à animer des écoles d'oraison en lien avec les Carmes.

La lecture d’un livre consacré à Thérèse d’Avila a bouleversé la vie de Bernard Guidez. Sa proximité avec la sainte espagnole lui a enseigné à se lier d’amitié avec Jésus et lui a fait découvrir la prière d’oraison. La découverte de la parole de Dieu dans un foyer de charité lui a permis d’établir un lien fort entre la lecture de l’Evangile et les écrits de la sainte. Ce sont ses deux « jambes » qui lui permettent de marcher en Eglise.

Agriculteur et engagé dans des responsabilités professionnelles agricoles, BG, au départ croyant mais peu pratiquant, est entrainé par son épouse dans une retraite spirituelle dans un foyer de charité. Il y découvre l'Evangile et la vie de quelques saints dont Thérèse d'Avila qui la séduit par son enthousiasme et sa proximité de Jésus.Son parcours, que nous allons visiter, le conduira jusqu'à écrire ce livre.

Aidés par des bénévoles, anciens pèlerins, devenus hospitaliers, les frères de la fraternité monastique de Jérusalem, accueillent tous les marcheurs qu’ils soient ou non chrétiens ; ces pèlerins bénis lors de la messe d’envoi ne se sentent plus seuls. Le fondateur Pierre Marie qui a vécu dans le désert du Sahara a choisi de créer 2 institutions, une masculine et l’autre, pour évangéliser par une vie de prière dans les églises, oasis de paix et de tranquillité, loin de l’agitation des villes. Moine dans la cité, c’est être priant dans la cité de Dieu, donc à Jérusalem. Une fraternité n’est pas constituée que de prêtres ou religieux. Ils nous montrent comment le chemin de vie proposé par Marie Madeleine, chemin de lumière, recoupe nos propres chemins de vie. Pour parcourir ce chemin nous sommes invités à lever les yeux vers la lumière divine, en regardant vers les voûtes de la basilique.
Nous écoutons le frère Jean-Yves présenter la fraternité de Jérusalem, sise à Vézelay.

Les polonais ont une grande vénération pour la Vierge Marie. Prêtre polonais, le père Adam Jozefaciuk nous fait découvrir l’importance de la dévotion à la Vierge Noire de Czestochowa. Celle-ci est considérée comme la protectrice de la nation polonaise. Il nous décrit les pèlerinages vers ce sanctuaire auquel il a participé plusieurs fois. Le père Adam Jozefaciuk rappelle que la France possède, elle aussi plusieurs sanctuaires mariaux : des lieux célèbres d’apparition et des sanctuaires moins connus dont certains sont proches de chez nous.

Du patronage de la Vierge Marie à celui de Ste Marie Madeleine, Vézelay, haut lieu de la spiritualité de l’Europe , connaît des visites des rois de France qui viennent supporter ce lieu de chrétienté mais également des heures sombres comme la dispersion des reliques et les destructions de la Révolution Française. C’est grâce à Viollet le Duc, qui redonne à Vézelay son lustre dépouillé, que nous allons tous en pèlerinage, depuis le 22 juillet 1946 dans une croisade de la paix, demander à Marie Madeleine et à la Vierge Marie leur intercession pour la paix. De nos jours l’actualité de Vézelay ce sont, plusieurs fois par an, les arrivées des pèlerinages, dont celui des scouts et l’afflux des visiteurs qui viennent en touristes et repartent en pèlerins.
Nous écoutons le frère Jean-Yves de la fraternité de Jérusalem nous conter cette belle histoire.

Aussi discrète qu’elle fut, parce qu’elle l’a souhaité, laissant au Christ- son fils- la première place, on ne saurait imaginer que Marie, mère de Dieu, n’ait pas joué un rôle prééminent à ses côtés. Sa douceur et sa ferme volonté de servir sont encore, plus de 2000 ans après, un exemple et un modèle que l’on ne cesse d’admirer, de louer et de vénérer. En ce mois de mai, rendons lui plus particulièrement sa vraie place dans nos vies.
Ecoutons Suzanne Gabus, enseignante biblique et protestante, nous donner sa vision de la mère de Jésus Christ, vrai Dieu et vrai homme.

La Vierge Marie, source d’un invincible amour, a été toujours présente, dans la vie de Frédérique Lemarchand, avec un grand cœur ouvert, au milieu des ténèbres. Elle est source de sa dévotion au quotidien, avec Marie-Madeleine, Ste Thérèse et Jeanne d’Arc. La Vierge Marie est pour elle une présence, elle ne l’appelle pas, mais elle la sent et elle lui permet de tenir, là où plus aucune main humaine n’est en mesure de l’aider. Mère des lumières et de la Résurrection, La Vierge Marie apparaît chaque jour dans le cœur de Frédérique Lemarchand. Preuve en est dans le magnifique tableau que Frédérique Lemarchand nous décrit sur la 3e partie de cette émission.
L'artiste peintre à Vézelay est à découvrir sur son site Internet.

« Le chemin de la synodalité est celui qui attend l’Eglise du troisième millénaire. » Fort de cette conviction, le pape François invite aujourd’hui l’Eglise entière à s’interroger sur ce thème décisif pour sa vie et sa mission.

Il est proposé à tous les baptisés ensemble de cheminer et réfléchir sur un chemin parcouru, de se mettre à l’écoute les uns des autres, de se laisser déplacer ou surprendre, d’aller simplement vers l’autre différent, d’avoir une vraie écoute : « Ecoutez l’Esprit Saint en vous écoutant vous-mêmes et ne laissez personne en dehors ou en arrière ».

Il n’échappe à personne que cette ambition, qui s’inscrit dans le sillage de l’aggiornamento de l’Eglise proposé par le Concile Vatican II, est d’ampleur !

Il s’agit avant tout de vivre une expérience pour apprendre de l’Esprit Saint et entrer ainsi dans une démarche de conversion.

Le Carême est un temps favorable pour vivre cette démarche.

Nous recevons pour en parler le Père Patrick Bonafé, curé des paroisses St Luc en Garrigues, Marcel Callo - Sources du Lez, et St Julien de la Mosson, et enseignant en Théologie au Centre d'Etudes Guilhem de Gellone ainsi que Marie-Thérèse Biseau, laïc salariée du diocése de Montpellier, intégrée à l'équipe du Synode.

Dans son livre « Nous irons tous au paradis, Des réponses claires à LA question : la vie, et après ? », le Père Fabrice Chatelain, examine les données des Écritures à partir desquelles se fonde la foi en la vie éternelle.
Dans cette dernière émission, il nous parle de la Résurrection de notre corps, finalement mal compris par beaucoup de chrétiens; du jugement personnel; de la vie éternelle, en présence de Dieu ou sans Dieu; de l'Enfer, du Paradis, du Purgatoire afin d'envisager le Plan de Dieu pour l'homme depuis l'origine.

Dans son livre « Nous irons tous au paradis, Des réponses claires à LA question : la vie, et après ? », le Père Fabrice Chatelain, examine les données des Écritures à partir desquelles se fonde la foi en la vie éternelle. Dans cette première émission, il s’appuie sur la foi en la toute-puissance de l’amour de Dieu qui nous a créés pour l’éternité.

A l'occasion de cette nouvelle année pastorale, Mgr Pierre-Marie Carré a donné des conférences à Béziers et Montpellier sur la présentation du nouveau livret de partage biblique intitulé "La Bonne Nouvelle de la création dans la Bible".

Dans la deuxième partie de la conférence donnée à Montpellier, notre évêque continue de commenter le premier chapitre (Genèse 1 - 2, 4a) puis le second (Genèse 3, 1-21), le troisième (Genèse 9, 1-17) et enfin le quatrième (Ps 103) et le septième (Matthieu 6, 24-34).

A l'occasion de cette nouvelle année pastorale, Mgr Pierre-Marie Carré a donné des conférences à Béziers et Montpellier sur la présentation du nouveau livret de partage biblique intitulé "La Bonne Nouvelle de la création dans la Bible".

Dans la première partie de la conférence donnée à Montpellier, notre évêque nous explique pourquoi avoir choisi cette année de parcourir la Bible avec un thème, celui de la création; de quoi se compose le livret; de quoi s'agit-il quand on parle de la création. Enfin, le premier chapitre (Genèse 1 - 2, 4a) est développé.

L'iconographie orthodoxe de la Nativité s'inspire, pour sa typologie, du récit de l' évangliste Luc et du Kontakion de la Nativité, de Saint Romain le Mélode.

Le Père Pierre Kazarian-Toumanoff nous décrit et explique cette icône de la Nativité avec une icône de la Nativité de Patmos, en grand format.

Les humains doivent tous passer par la mort. Mais pour les chrétiens, elle n'est pas la fin de toute vie : il y a quelque chose après la mort ... Que nous dit l'Eglise catholique de l'au delà? Emission Présentée par Mathilde Hauvy avec comme invité le P. Paul Denizot, prêtre de la communauté Saint-Martin, sanctuaire de Montligeon, centre de prière pour les défunts.

On n'a jamais autant parlé de « laïcité » que ces derniers temps ! Le même mot n’a cependant pas la même signification pour tous. A travers cette diversité de compréhensions, s’expriment différentes façons de penser les relations entre les religions et l’État républicain. Essayons d’y voir un peu plus clair et de décrire ce que peut être pour des catholiques une laïcité qui soit respectueuse tout à la fois de l’expérience religieuse et d’une vie citoyenne au sein de la République. Conférence donnée dans le cadre de la Pastorale du Tourisme et des Loisirs du diocèse de Montpellier qui s'est tenue en l' église Saint-Pierre et Paul à Palavas-les-Flots.

Dans cette seconde émission, Bernard Geoffroy bibliste, guide de pèlerinage et de voyage d'étude en Israël, producteur d'émissions sur la connaissance de la Bible sur RCF Maguelone Hérault, continue la présentation de son livre "Lekh Lekha - Abraham conté par son serviteur Eliezer" où il nous fait découvrir quelques pans de l'histoire d'Abraham révélé par la tradition juive. Pour toute commande du conte "LEKH LEKHA! - Abraham conté par son serviteur Eliezer" Ed. AQUIPRINT (janvier 2021) au prix de 20 € s’adresser a : Bernard GEOFFROY - nahumgeoffroy@yahoo.fr

Bibliste, guide de pèlerinage et de voyage d'étude en Israël, Bernard Geoffroy est bien connu de RCF Maguelone Hérault puisqu'il anime des émissions sur la connaissance de la Bible. Il vient d'écrire un livre sur Abraham "Lekh Lekha - Abraham conté par son serviteur Eliezer". Présentation de ce conte biblique Pour toute commande du conte "LEKH LEKHA! - Abraham conté par son serviteur Eliezer" Ed. AQUIPRINT (janvier 2021) au prix de 20 € s’adresser à : Bernard GEOFFROY - nahumgeoffroy@yahoo.fr