La chronique européenne de François Hervouet

Après la crise Covid, l'Union européenne a mis en place un plan appelé "Nouvelle Génération" au profits des États. Ce plan a pour objectif d'aider à faire face aux nouvelles exigences résultant d'une économie moderne ; il est aussi accompagné d'un contrôle de l'Union.

La défense européenne est à la fois nécessaire et impossible. Est-il envisageable de sortir de cette contradiction en distinguant défense européenne et défense par les États européens ?

Le Canada et l'Union européenne ont signé un accord de libre échange mais la ratification de celui-ci pose difficulté en France comme dans d'autres États européens. Il en va en effet de l'acceptation ou du refus des règles du libre échange international.

Le triangle de Weimar regroupe l'Allemagne, la France et la Pologne. Après une période de sommeil, il a été réveillé du fait de la crise en Ukraine.

Des élections parlementaires se sont déroulées dimanche 10 mars au Portugal. Au délà du cas particulier de ce pays, le résultat montre des similitudes avec ce que l'on peut constater dans beaucoup d'autres pays européens.

Des manifestations à Bruxelles organisées par les agriculteurs venus de beaucoup de pays européens montrent que la crise agricole n'est pas seulement française. Elle trouve sa cause dans de nombreuses contradictions qui rendent une solution très difficile à trouver.

Mettant fin à deux siècles de neutralité, la Suède va adhérer à l'OTAN après le vote du parlement hongrois ; il faut en effet l'unanimité des membres par accepter une nouvelle adhésion et la Hongrie est le dernier pays à se prononcer.

2 ans après le début de la guerre, la donne est en train de changer et conduit les États européens à s'investir davantage dans le soutien à l'Ukraine. Mais cette aide est dispersée et ne peut ainsi pas atteindre son efficacité maximum.

Les accords de Maastricht qui prévoyaient un déficit maximum de 3% des budgets publics et un endettement de 60% des États ont été mis de côté pendant la crise du Covid et le début de la guerre en Ukraine. La Commission, le Conseil et le Parlement européens discutent de leur renouveau.

Deux sujets abordés par l'Union européenne cette semaine sont emblématiques de la question de savoir s'il est opportun de confier à celle-ci un certain nombre de compétences ou si les États ne seraient pas mieux avisés de décider par eux-mêmes.
Il n'y a pas de réponse évidente à ces interrogations.

L'idée d'une défense européenne remonte aux origines de la construction. Mais elle n'a jamais abouti, elle ressurgit cependant actuellement du fait des événements internationaux.

Des manifestations agricoles se déroulent dans plusieurs pays européens. Elles montrent que la politique agricole actuelle est à bout de souffle. Une solution est difficile à trouver car les causes des difficultés sont multiples.

Jacques Delors a marqué l'histoire européenne du fait de son action en faveur de la modification des traités fondateurs de l'Union européenne. Il a pu bénéficier des conditions favorables de l'époque qu'il a su utiliser grâce à son talent de négociateur.

Comme tous les 6 mois, la "Présidence" de l'Union européenne change et c'est au tour de la Belgique de l'assurer. Mais on se rend compte que ce président ne dispose que de peu de pouvoirs.

Le conseil européen s'est à nouveau prononcer sur la candidature de l'Ukraine à L'Union Européenne et a acccepté d'examiner sa candidature. Les raisons peuvent paraître obscures.

Le conseil européen s'est à nouveau prononcer sur la candidature de l'Ukraine à L'Union Européenne et a acccepté d'examiner sa candidature. Les raisons peuvent paraître obscures.

Un accord entre l'Union européenne et le Mercosur, Marché commun d'États d'Amérique du Sud, devait être signé le 7 décembre mais au dernier moment, cet accord a échoué. Il faut en déterminer les motifs.

La volonté de faire entrer l'Ukraine dans l'Union européenne est manifeste. Mais est-ce une bonne idée ? Ce pays est-il prêt à remplir les conditions exigées pour adhérer à l'Union ?

Jusqu'au début de cette année, l'Union européenne essayait de se montrer vaille que vaille protectrice en matière d'environnement. Sous l'effet de différents phénomènes, cette politique semble remise en cause.

Les États membres de l'Union européenne ne sont pas parvenus à se mettre d'accord sur une interdiction au moins partielle du glyphosate. De ce fait, c'est la Comission qui a pris la main et qui a purement et simplement confirmé l'utilisation de ce produit pour une période de 10 ans.