JavaScript is required
© RCF

Intermezzo RCF - page 6

Chaque semaine, Christian Robin vous fait découvrir une oeuvre de la musique classique.

Partager
S'abonner

Episodes

  • © RCF
    17 septembre 2022

    Jean-Sébastien Bach, Suite pour orchestre n°3

    26 min
    La 3 e suite pour orchestre de Bach, BWV 1068 est très connu à cause de l’aria qui est devenu l’un des morceaux les plus célèbres du Cantor, ornement obligé à une certaine époque des mariages religieux. Mais il est bien plus important de relever que Mendelssohn fit la découverte de cette partition, d’une copie à tout le moins, à Leipzig et qu’il en fit une transcription pour piano qu’il joua en mai 1830 devant Goethe qui fut impressionné par le premier mouvement. Nul doute que Mendelssohn n’ ait été ébloui par l’aria de cette suite. Quoi qu’il en soit, il dirigea la version orchestrale au Gewandhaus, 8 ans plus tard, le 15 février et il contribua à remettre à l’honneur l’oeuvre de Bach qui avait été en grande partie oubliée.
    Cette suite (ou ouverture) est en ré majeur, ce qui ne surprendra guère car elle fait appel à trois trompettes, et Bach qui avait composé une partition plus allégée pour Köthen a enrichi son orchestre de ces trompettes, de 2 hautbois et de timbales. il voulait ainsi certainement saluer les fastes que cultivaient les compositeurs de Versailles.
  • © RCF
    10 septembre 2022

    Jean-Sébastien Bach, Suite pour orchestre n°2

    29 min
    Nous poursuivons l’audition des suites pour orchestre de Bach, et l’émission d’aujourd’hui sera réservée à l’une des plus célèbres de la série, la deuxième en si, dominée par la présence de la flûte, au point qu’on a pu parler de concerto à son sujet.

    D’après ce qu’on peut savoir elle aurait en réalité été parmi les dernières composées à Köthen, mais jouée à Leipzig, lors des Concerts du Collegium musicum Telemann, Telemann qui faillit être nommé à la place de Bach comme Cantor.
  • © RCF
    3 septembre 2022

    Jean-Sébastien Bach, Suite pour orchestre n°1

    31 min
    La suite de danses, composées dans le même ton généralement, fut très tôt appréciée par les compositeurs, dès le Moyen Age pense – t-on. L’Allemagne et la France contribuèrent à lui donner une forme dont Jean-Sébastien Bach est pour nous l’éminent représentant.

    Les danses sont en en général alors encadrées par une ouverture dite à la française, mouvement lent, mouvement vif, mouvement lent, ce qui a eu pour conséquence de nommer aussi les suites de Bach Ouvertures. Bach lui même préférait le terme d’ouverture, signalant par là qu’il respectait le forme mise à la mode par Lulli. Il réservait le mot suites au instruments solistes.
  • © RCF
    23 août 2022

    Roméo et Juliette de Tchaïkovski

    26 min
  • © RCF
    16 août 2022

    Proust et Chopin

    32 min
  • © RCF
    9 août 2022

    Weber, Concerto pour piano N°2

    29 min
  • © RCF
    2 août 2022

    La truite de Schubert

    29 min
  • © RCF
    26 juillet 2022

    Oeuvres pour saxophones de Glazounov

    30 min
  • © RCF
    19 juillet 2022

    Haydn

    28 min
  • © RCF
    12 juillet 2022

    Concerto pour orgue et clavecin

    27 min
  • © RCF
    5 juillet 2022

    Telemann, le fidèle maitre en musique

    30 min
  • © RCF
    1 juillet 2022

    La Cantate du café de Bach

    30 min
  • © RCF
    24 juin 2022

    Brahms, concerto pour piano N°1, 2ème et 3ème mouvement

    29 min
  • © RCF
    17 juin 2022

    Concerto pour piano N°1, 1er mouvement de Brahms

    28 min
  • © RCF
    10 juin 2022

    Ravel, le tombeau de Couperin

    28 min
  • © RCF
    3 juin 2022

    Mozart, concerto pour flûte en sol majeur

    28 min
  • © RCF
    27 mai 2022

    Les Gladiateurs inspirent-ils les compositeurs ?

    27 min
    Les Gladiateurs inspirent-ils les compositeurs ?
    La réponse est oui, mais s’il n’y avait pas eu le cinéma ou le cirque, il n’y aurait eu guère de partitions qui leur soient consacrées.

    L’une des plus célèbres est l’Entrée des Gladiateurs, op 68 de Julius Fusik, qui la conçut d’abord comme une marche militaire, en 1897, et qui devint peu de temps après une musique de cirque, introduisant des clowns ou d’autres artistes.
  • © RCF
    20 mai 2022

    Schubert, Messe en mi bémol majeur, D 950, extraits

    32 min
    Quelques mois avant de disparaître, Schubert fit part à l’un de ses éditeurs de son intention de lui envoyer une messe avec d’autres œuvres. Selon toute probabilité il composa cette messe en juin et juillet 1828. C’était sa sixième messe en latin où il prenait quelques libertés avec le texte omettant des versets essentiels sur le dogme catholique, oublis qui comblent cela va sans dire le sectarisme de Brigitte Massin.

    Il s’agit sans doute d’une commande pour une petite église , l’Église des Minorites, Sainte-Trinité, Alserstrasse, où l’oeuvre fut créée sous la direction du frère de Schubert Ferdinand, mais presque un an après le décès de Franz, elle fut reprise le 15 novembre en l’église de Maria Trost.
  • © RCF
    13 mai 2022

    Haydn, Le Printemps extrait des Saisons

    29 min
    La Création de Haydn connut un tel succès que le librettiste le Baron van Swieten poussa le compositeur à imaginer une autre œuvre dans le même style. Mais Haydn vieillissait et était déjà atteint par la maladie. Van Swieten insista et obtint du musicien qu’il s’inspire des Saisons d’un poète anglais, James Thomson, mort en 1748.
    Le sujet des Saisons plaisait à Haydn, ainsi que la philosophie des Lumières que dispensait cette sorte d’épopée. Il connaissait fort bien la campagne, les paysans, inséparable de sa jeunesse et même de sa vie à Estherazy, ce qui n’était pas le cas de son librettiste, citadin, et imbu de ses certitudes. Malgré quelques tensions, Haydn acheva sa partition en février 1801, épuisé, ce fut son dernier grand chef d’œuvre.
  • © RCF
    6 mai 2022

    Weber, Quintette avec clarinette

    28 min
    Carl_Maria von Weber fut certainement le compositeur romantique qui sollicita la clarinette avec le plus grand bonheur. Il lui faisait jouer un rôle déterminant dans ses opéras. Mais il lui consacra aussi plusieurs œuvres concertantes et de musique de chambre. Il fut aidé en cela par la rencontre en mars 1811 en Bavière d’un soliste Joseph Barmann qui avait augmenté le nombre de clefs de l’instrument de 5 à 10, et qui fut le dédicataire des 6 oeuvres pour clarinette écrites par Weber.
    Aujourd’hui nous écouterons le quintette avec clarinette op 34 en si bémol majeur. Elle fut composée en plusieurs morceaux, on sait qu’elle fut achevée le 25 août 1815, et créée le lendemain par le dédicataire Barmann.

Vous avez parcouru 20 épisodes sur 142

Afficher plus

RCF vit grâce à vos dons

RCF est une radio associative et professionnelle.
Pour préserver la qualité de ses programmes et son indépendance, RCF compte sur la mobilisation  de tous ses auditeurs. Vous aussi participez à son financement !

Faire un don
Qui sommes-nous ?

RCF est créée en 1982, à l'initiative de l'archevêque de Lyon, Monseigneur Decourtray, et du Père Emmanuel Payen. Dès l'origine, RCF porte l'ambition de diffuser un message d'espérance et de proposer au plus grand nombre une lecture chrétienne de la société et de l'actualité.

Forte de 600.000 auditeurs chaque jour, RCF compte désormais 64 radios locales et 270 fréquences en France et en Belgique. Ces 64 radios associatives reconnues d'intérêt général vivent essentiellement des dons de leurs auditeurs.

Information, culture, spiritualité, vie quotidienne : RCF propose un programme grand public, généraliste, de proximité.Le réseau RCF compte 300 salariés et 3.000 bénévoles.

RCF
toujours dans
ma poche !
Téléchargez l'app RCF
Google PlayApp Store
logo RCFv2.14.0 (21796db) - ©2024 RCF Radio. Tous droits réservés. Images non libres de droits.